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  • Sur la couverture de ce numéro 402 (mars 2011) quatre photos montrent des anomalies proches d’avions ou d’hélicoptères photographiés en vol. Il s’agit de « photos-surprises », c’est-à-dire que le photographe, au moment de la prise de vue, n’a pas remarqué l’anomalie. On peut se demander, dès lors, pourquoi il a pris un cliché d’un aéronef si éloigné de lui, et qu’on ne voit donc que médiocrement. La réponse est la suivante : depuis que les appareils photo numériques se sont généralisés, beaucoup de personnes se sont aperçues que des anomalies apparaissaient sur bon nombre de leurs photos. Certaines de ces personnes ont cherché à approfondir la question, pour tenter de savoir si ces anomalies étaient dues à « des cochonneries quelconques », ou bien à des causes plus clairement identifiables. Dans ce but, elles mitraillent abondamment… et obtiennent effectivement bien des anomalies, sans qu’on puisse dire, au stade actuel, à quoi celles-ci sont dues.
  • Les anomalies qu’on remarque sur nos quatre photos ne sont que des « taches » de faibles dimensions angulaires. Deux d’entre elles sont blanches, et les deux autres sont d’un gris moyen, plus sombre que le ciel. Celle de ces quatre vues qui montre le mieux l’aéronef (un A321 italien immatriculé I-BIXR) est aussi celle où l’anomalie est la moins flagrante. C’est pourtant la plus intéressante, car trois photos ont été prises ‘’en rafale’’, à intervalles de 1 seconde, et il est facile de montrer que la petite tache blanche se déplaçait, à une vitesse angulaire respectable. Nous verrons cela, non pas dans LDLN 403 (qui sortira en juin), mais dans le 404.
  • Revenons au contenu de notre numéro 402. Quatre éminents scientifiques américains, Deardorff, Haish, Maccabee et Puthoff nous expliquent comment ils conçoivent les conséquences de la théorie de l’inflation, sur la possibilité de visites extraterrestres. Cet article intéressera essentiellement les lecteurs férus d’astrophysique et de cosmologie. Les notions que développent les auteurs sont ‘’pointues’’, mais il faut vivre, paraît-il, avec son temps, et de nos jours, même si on n’est pas physicien, il est prudent de ne pas trop ignorer l’état de la science… sous peine de se réveiller, un beau matin, dans un monde auquel on ne comprendrait plus rien.
  • L’article suivant a été écrit suite à la rencontre, en décembre, avec une association aussi active que sympathique : l’association « Phénomènes », qui pratique une très bonne ufologie dans la Bresse, et a obtenu des résultats. C’est l’occasion d’un retour sur la notion d’[OMGD|/article/omgd||OMGD] (observations multiples à grande distance), avec un tableau récapitulatif de 21 exemples d’[OMGD|/article/omgd||OMGD] en France, du 16 août 1965 au 4 octobre 2010. Il serait sans doute très productif, pour le développement de l’ufologie, de faire connaître ces ‘’vagues-éclair’’ qui frappent toute une région et ont de nombreux témoins, parfaitement indépendants les uns des autres. Si l’on prend connaissance de l’une d’elles (par exemple, de la soirée du 10 août 1998), on a là tous les éléments nécessaires pour comprendre à quel point le problème ovni est réel, concret, et non pas illusoire ou ‘’culturel’’. Si ces [OMGD|/article/omgd||OMGD] étaient connues du public, les doutes qui pèsent sur la question disparaîtraient du jour au lendemain, et les ovnis cesseraient de faire l’objet de plaisanteries dans les médias. Il en résulterait un progrès substantiel. Mais avouons que les personnes qui s’intéressent aux ovnis sont en partie responsables de la situation présente : elles se passionnent infiniment plus pour les rencontres rapprochées (et de préférence très rapprochées), qui ont tout pour ne pas convaincre grand monde (même si elles sont authentiques), que pour ces preuves massives que sont les [OMGD|/article/omgd||OMGD].
  • Cela nous amène à une question importante : qu’est-il urgent de faire en priorité ? Approfondir tel ou tel cas de RR4, 5, 6 ou 7 ? ou bientravailler, patiemment, à faire connaître les évidences massives qui restent inconnues de presque tout le monde ? Le jour où nous voudrons vraiment sortir de la marginalité qui est la nôtre depuis 60 ans, il faudra bien commencer (enfin) par le commencement, et faire connaître les évidences les plus fortes. Mais dans cette perspective, les vocations sont plutôt rares. D’où l’état actuel de la situation…
  • Vient ensuite, dans ce numéro 402, la rubrique ‘’Observations Récentes en France’’, avec l’exposé de sept affaires survenues entre le 2 juillet et le 13 décembre 2010. Plusieurs d’entre elles (notamment celle du 18 septembre à Aire-sur-la-Lys, par six personnes) posent beaucoup de questions… et donnent une idée assez précise de ce que peut être, en fait, une « observation d’ovni » : un événement complexe, dont la nature nous échappe.
  • Jean-Pierre Brutails nous raconte ensuite une observation faite sur l’aéroport d’Orly, un soir de mai ou juin 1991. Le plus remarquable, dans cette affaire, est que l’incident, malgré le nombre et la qualité des témoins « n’a pas fait de bruit » : pas de publication, pas de réactions, pas de suites… Cela illustre un aspect du phénomène OVNI dont nous prenons progressivement conscience, depuis quelques années : dans certains cas (pas dans tous !), les témoins sont comme inhibés, suite à une apparition. Ils ont vu, mais ne réagissent pas, ne manifestent guère d’étonnement… et ne font pas connaître leur expérience.
  • Ensuite, Emmanuel Chenot nous expose un cas de ce qu’on appelle le ‘’facteur Oz’’. On voit là que certaines rencontres avec le phénomène ne se limitent pas à la vision d’un objet d’apparence matérielle. Elles présentent des caractéristiques autrement plus complexes et, pour tout dire, impénétrable, en l’état actuel des choses.
  • Suivent le récit de l’observation (brève) d’un animal a priori très étrange, dans la région de Lencloître, en août 2010. (On trouvera dans LDLN 403, en juçin, une proposition d’explication, que nous devons à Didier Leroux).
  • L’article suivant évoque, en quelque sorte, le fond du problème : qu’est-ce réellement qu’une expérience de type OVNI. Un nombre sans cesse croissant de témoignages révèlent une relation complexe entre les témoins et ce qu’ils voient (ou pensent voir) : lors de la rencontre, et aussitôt après, ils agissent parfois d’une manière qui paraît irrationnelle, comme s’ils n’étaient plus maîtres d’eux-mêmes, comme si un agent extérieur influençait leur comportement.
  • On trouve ensuite le récit de l’observation, le 31 juillet 2008 en fin de soirée, à Rambouillet, d’une objet triangulaire portant trois lumières à chacun de ses sommets. Le fait qu’un seul témoin se soit fait connaître, alors que des dizaines de personnes auraient dû voir un spectacle de cette ampleur, nous ramène à la question précédente : la vision d’un ovni a bien souvent l’apparence d’une expérience personnelle, intime, autrement plus subtile que la simple vision d’un phénomène ordinaire.
  • En pages 30 et 31, vous trouverez le compte-rendu détaillé d’une observation faite par le petit Willy, 7 ans au moment des faits. Ce petit garçon (remarquablement sage et sérieux) a vu un objet « en forme de parpaing » qui tout d’abord suivait un avion, puis a plongé vers le sol, est passé sous une ligne à haute tension, à quelques mètres seulement de Willy, puis est remonté et a disparu à sa vue.
  • Les deux contributions suivantes, dues à Pierre Gillet et à Claude Lavat, concernent le mystère des « émissions radio non identifiées », ou « number stations », qui a intrigué les spécialistes de la radio depuis le milieu du siècle dernier. (Une explication, ou tentative d’explication, suivra dans LDLN 403, et nous n’en aurons alors pas terminé avec cette énigme.
  • Après une mise au point sur les nombreuses observations de la soirée du 25 avril 1975, qui ne sont certainement pas explicables par une cause unique, on trouvera un commentaire, par C. Leduc, sur le récent livre de Jean Goupil, OVNIS : une intelligence artificielle, qui propose une thèse originale, laquelle, toutefois, n’explique pas tout. Nous sommes au cœur d’un discret mais puissant processus d’exploration d’un mystère qui semble insondable…
  • Le numéro 403 de LDLN a été expédié aux abonnés le vendredi 17 juin. Voici un aperçu de ce qu’ils y trouveront :
  • Tout d’abord, et dans la foulée de plusieurs articles récents semblant indiquer un lien entre les ovnis et le nucléaire, Jean-Marie Bigorne nous expose une observation faite en fin de soirée, le 19 juin 1974, par des militaires qui assuraient la sécurité de la base aérienne de Cambrai (où était basé un escadron de Mirage IV, avions conçus pour les frappes nucléaires). C’est la 3ème fois qu’il est question de Mirage IV dans LDLN : tout d’abord (dans le numéro 330), nous avons eu le témoignage d’un pilote, le commandant Giraud, qui a vu de près, en vol, à deux reprises, un objet non identifié, le 7 mars 1977. Plus récemment (n°401), nous avons eu le récit d’un militaire qui assurait lui aussi, de nuit et avec ses collègues, le gardiennage d’une base FAS (Forces Aériennes Stratégiques), celle de Saint-Dizier.
  • Il se trouve que cette observation de Cambrai s’est produite à peine 4 heures après un incident exceptionnel, survenu en Côte d’Or ce soir-là. Cette affaire (une RR3) fait l’objet du second article de ce numéro. Elle comporte des éléments plus qu’étonnants : en effet, l’un des témoins (qui se trouvait à un bon kilomètre du site de l’atterrissage), n’a pas hésité à tirer au fusil de guerre, par une fenêtre de HLM (!) en direction de l’objet posé au sol. A première vue, un tel cas peut paraître incroyable. Si on veut aller un peu au-delà des apparences, il faut replacer l’événement dans son contexte : une suite impressionnante d’observations hors du commun, autour des années 1974-1975, dans les environs de Beaune. Trente-sept ans plus tard, des habitants de la région se souviennent de certains de ces épisodes extraordinaires. Comment de tels faits ont-ils pu rester à ce point confidentiels ? Les témoins étaient chaque fois peu nombreux (deux, dans le cas du 19 juin 1974), ce qu’ils disaient paraissait invraisemblable… et l’indifférence quasi générale a fait le reste. Dans dix ou quinze ans, il sera facile de mettre en doute l’authenticité de ces événements, les témoins étant devenus introuvables. Tant qu’ils sont là, personne ne se soucie d’aller recueillir des confirmations auprès d’eux. Nous avons constaté ce type de situation à maintes reprises.( L’un des exemples les plus récents nous est fourni par la vague de début août 1998, maintes fois évoquée dans LDLN : que faudrait-il faire pour qu’elle ne sombre pas dans l’oubli ?)
  • Toujours à propos d’une relation ovnis-nucléaire sans cesse plus affirmée, Jean-Michel Farnault nous relate ensuite deux observations faites à Montsoreau (dans la région de Saumur), dans les années soixante-dix. Dans les deux cas (l’un en 1970, l’autre en 1973), un objet en forme de cigare horizontal, de dimensions angulaires respectables, survole nuitamment la Loire en direction de la centrale nucléaire de Chinon.
  • Après cela, Mme Michèle Séguy nous expose l’observation rapprochée que sa fille et elle firent, un soir d’automne en 1987 ou 1988, près de Villeneuve-sur-Lot. L’objet, observé de près (quoique brièvement) est décrit de façon précise. Aucune confusion n’est envisageable avec quoi que ce soit de connu.
  • On se souvient (espérons-le !) de la rencontre très rapprochée vécue par l’ouvrier boulanger Pierre Lucas, à Loctudy, dans la nuit du 5 octobre 1954 (voir LDLN 374, p. 19, ou encore le monumental ouvrage de Jean Sider sur la Vague de 54). Gilles Delorme a recueilli les souvenirs d’une dame (elle avait 10 ans à l’époque) qui a vu de près les traces de l’atterrissage : le goudron était fondu, ou brûlé, à l’endroit où Pierre Lucas avait vu se poser l’objet.
  • Liliane Monnier nous rappelle ensuite ce qui s’est passé en août 1982, dans un village du Nord-Ouest de l’Argentine, nommé Londres : le survol à basse altitude et le bref atterrissage d’un ovni ont eu des conséquences dévastatrices : 2 blessés (brûlés), 11 maisons détruites, des vergers ravagés à 50%. Cette affaire s’ajoute à celles de Saladare (7 août 1970), de Baridiame (9 septembre 1980) et du Yunnan (18 octobre 1988), évoquées dans LDLN 389. Nous en sommes donc à quatre exemples de villages dévastés par des survols d’ovnis à basse altitude. Là encore, il s’agit de drames rapidement tombés dans l’oubli, malgré (ou à cause de ?) leur extrême étrangeté. Pourquoi tant de silence sur des faits aussi remarquables?
  • Et pourquoi tant de silence sur le ‘’petit crâne bulgare’’ (dont nous avons parlé, il y a sept ans, dans LDLN 368 et 369) ? Le Pr Lachezar Filipov, Directeur adjoint de l’Institut de Recherches Spatiales de l’Académie des Sciences bulgare, nous confirme l’existence du petit crâne : il l’a tenu entre ses mains !
  • Jacques Bonabot, un ufologue belge remarquablement documenté, nous fournit ensuite une explication (définitive ?) au mystère des ‘’ERNI/number stations’’ exposé par Jean-Claude Dufour et Claude Lavat dans le précédent numéro.
  • Retour, pp. 20 et suivantes, sur les événements (complexes !) de la soirée du 25 avril 1975. Il semble que la quinzaine d’observations (très cohérentes) faites vers 21 h 55 dans le quadrilatère Orly-Tergnier-Sedan-Châlons-sur-Marne soient explicables par une rentrée atmosphérique (qui se serait située au-dessus du Sud de la Belgique, sur une trajectoire SSE_NNW). Mais ensuite, les choses se compliquent : à Maubeuge, à 21h 10 précises, l’orientation de la trajectoire est en sens inverse. Vingt minutes plus tard, entre Warcq et Damouzies, on retrouve l’orientation des trajectoires décrites 55 minutes plus tôt ! Mais ce n’est pas tout : dans l’Eure, on trouve ensuite trois observations en des lieux très proches : deux vers 21h 30, et la dernière une heure plus tard. C’est à n’y rien comprendre, et cela rappelle fortement les événements du 5 novembre 1990 ou ceux du 31 mars 1993. A part l’hypothèse d’un parasitage de certaines rentrées atmosphériques (par « autre chose »), on ne voit vraiment pas ce qui pourrait expliquer ces séries d’événements quasi simultanés mais parfaitement contradictoires.
  • Grâce à Frédéric Perrodou, nous trouvons ensuite le récit d’une observation rapprochée (une quarantaine de mètres) faite par deux personnes le 3 mars 2007, de 1 h 45 à 2h du matin, à la limite du Vexin et de la Normandie. Dans ce cas, on n’a pas affaire à une imitation de rentrée atmosphérique, mais plutôt à une fausse montgolfière ! En effet, après un bon quart d’heure de présence immobile et silencieuse près d’une étable, l’objet (dont la description, précise, ne correspond en rien à celle d’une montgolfière) émet un faible bruit de brûleur à gaz, s’élève verticalement, et disparaît en altitude. Si l’idée d’un mimétisme OVNI ne s’imposait pas depuis une trentaine d’années, ce cas à lui seul pourrait la suggérer.
  • De la rubrique « observations récentes en France », on retiendra par exemple la vision, le 21 mai 2010, d’un «ovni transparent », en fait quelque chose qui ressemblait à une vitre, simplement repérable par les reflets du soleil sur sa surface. Le plus étonnant est qu’environ 90 minutes plus tard, voyant passer deux avions anciens devant un nuage à contre-jour, le témoin prit une photo, laquelle révéla la présence de deux « objets », l’un au-dessus de chaque avion. On retrouve ainsi une curiosité déjà exposée dans les numéros précédents : des photos-surprises de plus en plus nombreuses suggèrent que des « ovnis invisibles à l’œil nu » (mais qui apparaissent sur les photos !) escorteraient discrètement des avions. Il y a là, une fois de plus, de quoi faire peser une certaine suspicion sur l’ufologie. Pourtant, les clichés sont là, ils de demandent qu’à être examinés par des experts… lesquels ignorent systématiquement les matériaux accumulés par les ufologues. Toutes les conditions sont donc remplies pour que tout cela reste, longtemps encore, incompréhensible… ou ignoré.
  • Jean Sider nous expose ensuite une affaire dans laquelle on peut voir un cas d’abduction survenu en 1957, donc antérieur (de quatre années) à l’aventure de Betty et Barney Hill, laquelle n’a été divulguée (y compris en France, dans L’Express) qu’en 1966.
  • Gilles Delorme (qui a interrogé la dame qui n’a pas oublié les traces de Loctudy) nous initie ensuite à des notions d’épistémologie, en évoquant l’œuvre de Karl Popper, après quoi Maurice Thil, puis Dominique de Tarragon, nous exposent des faits énigmatiques très antérieurs à la seconde guerre mondiale. La rubrique « les Nouvelles » s’ouvre sur une note de Liliane Monnier, qui nous rappelle que l’affaire de Vrigne-aux-Bois, lors de la mémorable soirée du 10 août 1998 (LDLN 350) n’est pas le seul cas d’ « ovni musical ». Plus loin, il est question de kangourous (ou plus exactement de Wallabies) qui hantent la forêt de Rambouillet, et Didier Leroux nous apprend que l’étrange bête observée entre Lencloître et Richelieu, en août 2010, pourrait bien être un thylacine de Hobart, vulgairement appelé « tigre de Tasmanie ». Il reste à comprendre comment cet animal, si c’est bien de lui qu’il s’agit, a pu se retrouver là, et pourquoi il n’a, apparemment, pas été vu depuis. La faune sauvage de nos campagnes serait-elle en train de se diversifier de façon inattendue, alors que tant d’espèces se raréfient ou disparaissent ?
  • Sur la quatrième page de couverture, on découvre une étonnante photo-surprise, datée du 8 avril 2011, sur laquelle l’anomalie ressemble (assez vaguement)… à un V1 juste après son catapultage ! Le document nous vient de l’association Phénomènes, ce qui revient à dire qu’il est fiable.
  • Il y a dans tout cela beaucoup d’aspects du problème OVNI qui ne demandent qu’à être approfondis, en toute bonne foi et en dehors de tout préjugé. Bon courage à ceux qui voudront bien se pencher en toute candeur sur ces mystères. A bientôt !“

LDLN 404/ldln404.jpg||LDLN404, septembre 2011]\r\nSur la couverture de ce numéro 404 (qui a été envoyé aux abonnés le vendredi 9 septembre), vous trouverez une photo de La Valette (dans l’île de Malte), et deux \r\nagrandissements partiels qui montrent une anomalie dans le ciel. C’est Alain Bauquet qui a pris ce cliché, le 17 juin 2011. On se souvient (voir nos numéros 399 et 400) qu’il avait réalisé, tout aussi involontairement, un document extraordinaire, à Rome, le 27 mai 2010. L’anomalie visible sur la photo de La Valette est beaucoup moins remarquable que celle de Rome, et nous n’avons pas, cette fois-ci, les documents annexes (deux photos et une vidéo) qui corroboraient le cliché pris devant la Basilique Saint-Pierre. Toutefois, il est impossible de ne pas faire le rapprochement entre ces deux documents, d’autant plus que l’auteur de ces photos (un homme parfaitement digne de foi) a fait, au cours de sa vie, de nombreuses observations d’ovnis. Certains trouveront cela suspect, et leur méfiance est compréhensible. Mais s’ils se penchent vraiment sur le dossier ovni dans son ensemble, ils pourront constater que nous avons là une véritable caractéristique du phénomène : certaines personnes vivent plus souvent des expériences de type ovni, que le commun des mortels. C’est d’ailleurs un fait regrettable, car il ne peut que retarder une véritable reconnaissance officielle du problème. Mais c’est un fait.\r\n\r\n Jacques Bonabot nous expose un 29ème exemple de « crash de rien, de type 1 ». Cela s’est passé dans l’île Lewis (archipel des Hébrides, au nord-ouest de l’Ecosse), le 26 octobre 1998.\r\n\r\n Marie-Josée Lucio-Campergue nous raconte ensuite l’observation qu’elle a faite, sur la côte sud du Portugal, le 24 aout 2010, en compagnie de trois membres de sa famille : tous ont assisté, d’assez près, au passage d’un « cigare » portant quatre « hublots », qui présentait une caractéristique étonnante : il paraissait translucide ! \r\n\r\n Elle nous raconte également un incident qui s’est produit à Viseu (dans le Centre du Portugal) quand elle était adolescente : un après-midi, un bambin de 15 à 18 mois a disparu du lit dans lequel il dormait. La maison a été fouillée de fond en comble : il n’était plus là. Et soudain, il est réapparu, debout, à côté de son lit.\r\n\r\n Vient ensuite un exemple de « cas jumeaux », avec deux observations qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau : Ollioules le 5 juin 1999, et Calella, en août de l’année précédente. A propos de ce phénomène des « cas jumeaux », rappelons que l’exemple le plus frappant nous est fourni par les cas bretons de Landévennec et de Plérin (LDLN 397). Il semble difficile d’attribuer au seul hasard des analogies aussi marquées.\r\n\r\n Frédéric Perrodou nous raconte la vision que son frère et lui ont eue, en mai ou juin 2003, d’un objet qui se déplaçait horizontalement, à quelques mètres du sol. Cet objet avait la forme d’un obus muni de quatre fines protubérances coudées, qui dessinaient comme des pattes.\r\n\r\n Une description précise et détaillée d’un objet très structuré, de grande taille, observé à quelques mètres seulement de distance, nous est fournie par Véronique Abbotts, qui n’oubliera jamais les émotions qu’elle a subies, cette nuit-là, en compagnie du père de ses enfants.\r\n\r\n Depuis longtemps, la nécessité se faisait sentir, de dresser un bilan des observations du 18 mars 1972. Jean-Claude Dufour s’en est chargé, et l’on s’aperçoit que cette soirée présente une ressemblance certaine avec celle du 16 août 1965, également dans le quart sud-est de la France. Dans le cas du 18 mars 1972, les observations commencent vers 18 heures, et se succèdent jusqu’à 20 h 30. Il n’est donc pas possible d’invoquer un unique phénomène astronomique pour expliquer l’ensemble des apparitions de la soirée, bien que ce genre d’explication paraisse très probable pour les observations (très cohérentes entre elles) faites vers 19 h 15, dans le Var et les Bouches-du-Rhône. Mais au même moment, c’est un objet stationnaire qui est observé, à quelques mètres de distance seulement, à Pont-de-Chéruy ! Et comment comprendre le manège de trois boules lumineuses observé à Grenoble de 20 h 30 à 21 h 25 ? La soirée du 18 mars 1972 apparaît ainsi comme une réplique de celle du 16 août 1965, mais elle rappelle aussi les observations complexes du 18 juillet 1967 (pendant une rentrée de satellite !), et bien sûr, elle préfigure les événements du 5 novembre 1990 ou du 31 mars 1993.\r\n\r\n Il est précisément question du 5 novembre 1990 dans l’article suivant : nos amis suisses du GREPI nous exposent l’observation faite ce soir-là à Coppet (quelques kilomètres au nord-est de Genève). Le témoin est le conducteur d’une locomotive qui se trouvait alors à l’arrêt. Il voit tout d’abord un « énorme disque », muni de projecteurs à sa périphérie, qui surplombe un avion de ligne, puis l’objet plonge, traverse le lac au ras des flots, monte en chandelle au-dessus de la rive française du lac, et disparait. Ce témoignage, en lui-même remarquable, ressemble beaucoup à celui de Nathalie Stotzer, relaté dans notre numéro 362. Il semble très probable que ce soit le même objet qui ait été observé, de Coppet (en Suisse) et de Vésenaz (en France). Et il ne saurait s’agir d’une rentrée de satellite !\r\n\r\n Jean Sider examine ensuite le mystère des « milliers d’oiseaux morts », signalé en début d’année dans divers pays (notamment aux Etats-Unis). Il cite de nombreux exemples préalables, dont le plus ancien remonte au XIXème siècle. Il y a tant à dire sur ce sujet, que la seconde partie de l’article paraîtra dans notre prochain numéro.\r\n\r\n Gildas Bourdais évoque longuement divers aspects de la polémique au sujet des ovnis, telle qu’elle s’est développée ces dernières années, notamment aux Etats-Unis. De brillantes initiatives (comme le livre de Leslie Kean, intitulé simplement UFOs, ou les conférences de presse de novembre 2007, puis de septembre 2010, à Washington) peinent à faire progresser la situation de manière significative, car dans le même temps, on assiste à une triste floraison de livres absolument consternants, dont l’objet n’est que trop évident : décrédibiliser le sujet. On l’a compris depuis longtemps, mais c’est de plus en plus flagrant : au sujet des ovnis, la guerre de la désinformation fait rage.\r\n\r\n Jean-Pierre D’Hondt nous expose ensuite une observation rapprochée, faite en Belgique, à Frasnes-les-Anvaing, une nuit d’été, en 1998 ou 1999. Le témoin a fourni un beau dessin, réalisé sur ordinateur, de la face inférieure de l’objet.\r\n\r\n La rubrique « observations récentes en France » reflète le faible niveau d’activité du phénomène, que nous constatons depuis le début de l’année. On notera principalement la persistance du phénomène des photos-surprises, qui laisse la porte ouverte à diverses interprétations, puisque l’éventualité de vols d’insectes devant l’objectif, ou d’oiseaux à plus grande distance, peut rarement être écartée. (On notera à cet égard l’exception remarquable que constitue la photo du 27 mai 2010 devant Saint-Pierre de Rome : dans ce cas, on ne saurait parler d’oiseau, ni d’insecte !).\r\n\r\n Après cela, M. Jacques Rollet nous apporte une intéressante mise au point, au sujet de l’affaire du « crash vénézuélien », évoquée dans nos numéros 335 et 400. On a peu de chances, hélas, de connaître un jour le fin mot de l’histoire révélée par José Pereira…\r\n\r\n Il ne faut jamais perdre de vue le fait que des témoignages anciens attestent de la présence du phénomène ovni bien avant la seconde guerre mondiale. Un tel témoignage est celui de M. Dumontier, que son fils adoptif a confié à Frédéric Perrodou. En 1935, M. Dumontier a observé d’assez près les évolutions d’un objet qui, de toute évidence, n’était pas le fruit de la technologie de l’époque. Quant à Maurice Thil, que passionnent les recherches en archives, il nous expose un petit mystère qui remonte à 1907 : des apparitions de hiboux lumineux, en Angleterre ! Elles ont de grandes chances d’être sans rapport avec le problème ovni, mais il est utile de s’intéresser aux divers phénomènes qui, sans relever de l’ufologie, peuvent donner lieu à des confusions.”,“<p><a href=\”/blog/public/Couvertures/400/ldln404.jpg\“ title=\”LDLN404, septembre 2011\“><img src=\”/blog/public/Couvertures/400/.ldln404_m.jpg\“ alt=\”LDLN404, septembre 2011\“ style=\”float:right; margin: 0 0 1em 1em;\“ title=\”LDLN404, septembre 2011\“ /></a>\nSur la couverture de ce numéro 404 (qui a été envoyé aux abonnés le vendredi 9 septembre), vous trouverez une photo de La Valette (dans l’île de Malte), et deux\nagrandissements partiels qui montrent une anomalie dans le ciel. C’est Alain Bauquet qui a pris ce cliché, le 17 juin 2011. On se souvient (voir nos numéros 399 et 400) qu’il avait réalisé, tout aussi involontairement, un document extraordinaire, à Rome, le 27 mai 2010. L’anomalie visible sur la photo de La Valette est beaucoup moins remarquable que celle de Rome, et nous n’avons pas, cette fois-ci, les documents annexes (deux photos et une vidéo) qui corroboraient le cliché pris devant la Basilique Saint-Pierre. Toutefois, il est impossible de ne pas faire le rapprochement entre ces deux documents, d’autant plus que l’auteur de ces photos (un homme parfaitement digne de foi) a fait, au cours de sa vie, de nombreuses observations d’ovnis. Certains trouveront cela suspect, et leur méfiance est compréhensible. Mais s’ils se penchent vraiment sur le dossier ovni dans son ensemble, ils pourront constater que nous avons là une véritable caractéristique du phénomène&nbsp;: certaines personnes vivent plus souvent des expériences de type ovni, que le commun des mortels. C’est d’ailleurs un fait regrettable, car il ne peut que retarder une véritable reconnaissance officielle du problème. Mais c’est un fait.</p>\n\n\n<p>Jacques Bonabot nous expose un 29ème exemple de «&nbsp;crash de rien, de type 1 ». Cela s’est passé dans l’île Lewis (archipel des Hébrides, au nord-ouest de l’Ecosse), le 26 octobre 1998.</p>\n\n\n<p>Marie-Josée Lucio-Campergue nous raconte ensuite l’observation qu’elle a faite, sur la côte sud du Portugal, le 24 aout 2010, en compagnie de trois membres de sa famille&nbsp;: tous ont assisté, d’assez près, au passage d’un «&nbsp;cigare&nbsp;» portant quatre «&nbsp;hublots », qui présentait une caractéristique étonnante&nbsp;: il paraissait translucide&nbsp;!</p>\n\n\n<p>Elle nous raconte également un incident qui s’est produit à Viseu (dans le Centre du Portugal) quand elle était adolescente&nbsp;: un après-midi, un bambin de 15 à 18 mois a disparu du lit dans lequel il dormait. La maison a été fouillée de fond en comble&nbsp;: il n’était plus là. Et soudain, il est réapparu, debout, à côté de son lit.</p>\n\n\n<p>Vient ensuite un exemple de «&nbsp;cas jumeaux », avec deux observations qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau&nbsp;: Ollioules le 5 juin 1999, et Calella, en août de l’année précédente. A propos de ce phénomène des «&nbsp;cas jumeaux », rappelons que l’exemple le plus frappant nous est fourni par les cas bretons de Landévennec et de Plérin (LDLN 397). Il semble difficile d’attribuer au seul hasard des analogies aussi marquées.</p>\n\n\n<p>Frédéric Perrodou nous raconte la vision que son frère et lui ont eue, en mai ou juin 2003, d’un objet qui se déplaçait horizontalement, à quelques mètres du sol. Cet objet avait la forme d’un obus muni de quatre fines protubérances coudées, qui dessinaient comme des pattes.</p>\n\n\n<p>Une description précise et détaillée d’un objet très structuré, de grande taille, observé à quelques mètres seulement de distance, nous est fournie par Véronique Abbotts, qui n’oubliera jamais les émotions qu’elle a subies, cette nuit-là, en compagnie du père de ses enfants.</p>\n\n\n<p>Depuis longtemps, la nécessité se faisait sentir, de dresser un bilan des observations du 18 mars 1972. Jean-Claude Dufour s’en est chargé, et l’on s’aperçoit que cette soirée présente une ressemblance certaine avec celle du 16 août 1965, également dans le quart sud-est de la France. Dans le cas du 18 mars 1972, les observations commencent vers 18 heures, et se succèdent jusqu’à 20 h 30. Il n’est donc pas possible d’invoquer un unique phénomène astronomique pour expliquer l’ensemble des apparitions de la soirée, bien que ce genre d’explication paraisse très probable pour les observations (très cohérentes entre elles) faites vers 19 h 15, dans le Var et les Bouches-du-Rhône. Mais au même moment, c’est un objet stationnaire qui est observé, à quelques mètres de distance seulement, à Pont-de-Chéruy&nbsp;! Et comment comprendre le manège de trois boules lumineuses observé à Grenoble de 20 h 30 à 21 h 25&nbsp;? La soirée du 18 mars 1972 apparaît ainsi comme une réplique de celle du 16 août 1965, mais elle rappelle aussi les observations complexes du 18 juillet 1967 (pendant une rentrée de satellite !), et bien sûr, elle préfigure les événements du 5 novembre 1990 ou du 31 mars 1993.</p>\n\n\n<p>Il est précisément question du 5 novembre 1990 dans l’article suivant&nbsp;: nos amis suisses du GREPI nous exposent l’observation faite ce soir-là à Coppet (quelques kilomètres au nord-est de Genève). Le témoin est le conducteur d’une locomotive qui se trouvait alors à l’arrêt. Il voit tout d’abord un «&nbsp;énorme disque », muni de projecteurs à sa périphérie, qui surplombe un avion de ligne, puis l’objet plonge, traverse le lac au ras des flots, monte en chandelle au-dessus de la rive française du lac, et disparait. Ce témoignage, en lui-même remarquable, ressemble beaucoup à celui de Nathalie Stotzer, relaté dans notre numéro 362. Il semble très probable que ce soit le même objet qui ait été observé, de Coppet (en Suisse) et de Vésenaz (en France). Et il ne saurait s’agir d’une rentrée de satellite&nbsp;!</p>\n\n\n<p>Jean Sider examine ensuite le mystère des «&nbsp;milliers d’oiseaux morts », signalé en début d’année dans divers pays (notamment aux Etats-Unis). Il cite de nombreux exemples préalables, dont le plus ancien remonte au XIXème siècle. Il y a tant à dire sur ce sujet, que la seconde partie de l’article paraîtra dans notre prochain numéro.</p>\n\n\n<p>Gildas Bourdais évoque longuement divers aspects de la polémique au sujet des ovnis, telle qu’elle s’est développée ces dernières années, notamment aux Etats-Unis. De brillantes initiatives (comme le livre de Leslie Kean, intitulé simplement UFOs, ou les conférences de presse de novembre 2007, puis de septembre 2010, à Washington) peinent à faire progresser la situation de manière significative, car dans le même temps, on assiste à une triste floraison de livres absolument consternants, dont l’objet n’est que trop évident&nbsp;: décrédibiliser le sujet. On l’a compris depuis longtemps, mais c’est de plus en plus flagrant&nbsp;: au sujet des ovnis, la guerre de la désinformation fait rage.</p>\n\n\n<p>Jean-Pierre D’Hondt nous expose ensuite une observation rapprochée, faite en Belgique, à Frasnes-les-Anvaing, une nuit d’été, en 1998 ou 1999. Le témoin a fourni un beau dessin, réalisé sur ordinateur, de la face inférieure de l’objet.</p>\n\n\n<p>La rubrique «&nbsp;observations récentes en France&nbsp;» reflète le faible niveau d’activité du phénomène, que nous constatons depuis le début de l’année. On notera principalement la persistance du phénomène des photos-surprises, qui laisse la porte ouverte à diverses interprétations, puisque l’éventualité de vols d’insectes devant l’objectif, ou d’oiseaux à plus grande distance, peut rarement être écartée. (On notera à cet égard l’exception remarquable que constitue la photo du 27 mai 2010 devant Saint-Pierre de Rome&nbsp;: dans ce cas, on ne saurait parler d’oiseau, ni d’insecte !).</p>\n\n\n<p>Après cela, M. Jacques Rollet nous apporte une intéressante mise au point, au sujet de l’affaire du «&nbsp;crash vénézuélien », évoquée dans nos numéros 335 et 400. On a peu de chances, hélas, de connaître un jour le fin mot de l’histoire révélée par José Pereira…</p>\n\n\n<p>Il ne faut jamais perdre de vue le fait que des témoignages anciens attestent de la présence du phénomène ovni bien avant la seconde guerre mondiale. Un tel témoignage est celui de M. Dumontier, que son fils adoptif a confié à Frédéric Perrodou. En 1935, M. Dumontier a observé d’assez près les évolutions d’un objet qui, de toute évidence, n’était pas le fruit de la technologie de l’époque. Quant à Maurice Thil, que passionnent les recherches en archives, il nous expose un petit mystère qui remonte à 1907&nbsp;: des apparitions de hiboux lumineux, en Angleterre&nbsp;! Elles ont de grandes chances d’être sans rapport avec le problème ovni, mais il est utile de s’intéresser aux divers phénomènes qui, sans relever de l’ufologie, peuvent donner lieu à des confusions.</p>”,“”,“a:0:{}”,“ldln 404 sur couverture numéro 404 qui été envoyé aux abonnés vendredi septembre vous trouverez une photo valette dans l’île malte deux agrandissements partiels qui montrent une anomalie dans ciel c’est alain bauquet qui pris cliché juin 2011 souvient voir nos numéros 399 400 qu’il avait réalisé tout aussi involontairement document extraordinaire rome mai 2010 l’anomalie visible sur photo valette est beaucoup moins remarquable que celle rome nous n’avons pas cette fois les documents annexes deux photos une vidéo qui corroboraient cliché pris devant basilique saint pierre toutefois est impossible pas faire rapprochement entre ces deux documents d’autant plus que l’auteur ces photos homme parfaitement digne foi fait cours vie nombreuses observations d’ovnis certains trouveront cela suspect leur méfiance est compréhensible mais s’ils penchent vraiment sur dossier ovni dans son ensemble ils pourront constater que nous avons une véritable caractéristique phénomène nbsp certaines personnes vivent plus souvent des expériences type ovni que commun des mortels c’est d’ailleurs fait regrettable car peut que retarder une véritable reconnaissance officielle problème mais c’est fait jacques bonabot nous expose 29ème exemple nbsp crash rien type cela s’est passé dans l’île lewis archipel des hébrides nord ouest l’ecosse octobre 1998 marie josée lucio campergue nous raconte ensuite l’observation qu’elle faite sur côte sud portugal aout 2010 compagnie trois membres famille nbsp tous ont assisté d’assez près passage d’un nbsp cigare nbsp portant quatre nbsp hublots qui présentait une caractéristique étonnante nbsp paraissait translucide nbsp elle nous raconte également incident qui s’est produit viseu dans centre portugal quand elle était adolescente nbsp après midi bambin mois disparu lit dans lequel dormait maison été fouillée fond comble nbsp n’était plus soudain est réapparu debout côté son lit vient ensuite exemple nbsp cas jumeaux avec deux observations qui ressemblent comme deux gouttes d’eau nbsp ollioules juin 1999 calella août l’année précédente propos phénomène des nbsp cas jumeaux rappelons que l’exemple plus frappant nous est fourni par les cas bretons landévennec plérin ldln 397 semble difficile d’attribuer seul hasard des analogies aussi marquées frédéric perrodou nous raconte vision que son frère lui ont eue mai juin 2003 d’un objet qui déplaçait horizontalement quelques mètres sol cet objet avait forme d’un obus muni quatre fines protubérances coudées qui dessinaient comme des pattes une description précise détaillée d’un objet très structuré grande taille observé quelques mètres seulement distance nous est fournie par véronique abbotts qui n’oubliera jamais les émotions qu’elle subies cette nuit compagnie père ses enfants depuis longtemps nécessité faisait sentir dresser bilan des observations mars 1972 jean claude dufour s’en est chargé l’on s’aperçoit que cette soirée présente une ressemblance certaine avec celle août 1965 également dans quart sud est france dans cas mars 1972 les observations commencent vers heures succèdent jusqu’à n’est donc pas possible d’invoquer unique phénomène astronomique pour expliquer l’ensemble des apparitions soirée bien que genre d’explication paraisse très probable pour les observations très cohérentes entre elles faites vers dans var les bouches rhône mais même moment c’est objet stationnaire qui est observé quelques mètres distance seulement pont chéruy nbsp comment comprendre manège trois boules lumineuses observé grenoble nbsp soirée mars 1972 apparaît ainsi comme une réplique celle août 1965 mais elle rappelle aussi les observations complexes juillet 1967 pendant une rentrée satellite bien sûr elle préfigure les événements novembre 1990 mars 1993 est précisément question novembre 1990 dans l’article suivant nbsp nos amis suisses grepi nous exposent l’observation faite soir coppet quelques kilomètres nord est genève témoin est conducteur d’une locomotive qui trouvait alors l’arrêt voit tout d’abord nbsp énorme disque muni projecteurs périphérie qui surplombe avion ligne puis l’objet plonge traverse lac ras des flots monte chandelle dessus rive française lac disparait témoignage lui même remarquable ressemble beaucoup celui nathalie stotzer relaté dans notre numéro 362 semble très probable que soit même objet qui ait été observé coppet suisse vésenaz france saurait s’agir d’une rentrée satellite nbsp jean sider examine ensuite mystère des nbsp milliers d’oiseaux morts signalé début d’année dans divers pays notamment aux etats unis cite nombreux exemples préalables dont plus ancien remonte xixème siècle tant dire sur sujet que seconde partie l’article paraîtra dans notre prochain numéro gildas bourdais évoque longuement divers aspects polémique sujet des ovnis telle qu’elle s’est développée ces dernières années notamment aux etats unis brillantes initiatives comme livre leslie kean intitulé simplement ufos les conférences presse novembre 2007 puis septembre 2010 washington peinent faire progresser situation manière significative car dans même temps assiste une triste floraison livres absolument consternants dont l’objet n’est que trop évident nbsp décrédibiliser sujet l’a compris depuis longtemps mais c’est plus plus flagrant nbsp sujet des ovnis guerre désinformation fait rage jean pierre d’hondt nous expose ensuite une observation rapprochée faite belgique frasnes les anvaing une nuit d’été 1998 1999 témoin fourni beau dessin réalisé sur ordinateur face inférieure l’objet rubrique nbsp observations récentes france nbsp reflète faible niveau d’activité phénomène que nous constatons depuis début l’année notera principalement persistance phénomène des photos surprises qui laisse porte ouverte diverses interprétations puisque l’éventualité vols d’insectes devant l’objectif d’oiseaux plus grande distance peut rarement être écartée notera cet égard l’exception remarquable que constitue photo mai 2010 devant saint pierre rome nbsp dans cas saurait parler d’oiseau d’insecte après cela jacques rollet nous apporte une intéressante mise point sujet l’affaire nbsp crash vénézuélien évoquée dans nos numéros 335 400 peu chances hélas connaître jour fin mot l’histoire révélée par josé pereira… faut jamais perdre vue fait que des témoignages anciens attestent présence phénomène ovni bien avant seconde guerre mondiale tel témoignage est celui dumontier que son fils adoptif confié frédéric perrodou 1935 dumontier observé d’assez près les évolutions d’un objet qui toute évidence n’était pas fruit technologie l’époque quant maurice thil que passionnent les recherches archives nous expose petit mystère qui remonte 1907 nbsp des apparitions hiboux lumineux angleterre nbsp elles ont grandes chances d’être sans rapport avec problème ovni mais est utile s’intéresser aux divers phénomènes qui sans relever l’ufologie peuvent donner lieu des confusions”,“1”,“1”,“0”,“1”,“1”,“1”,“0”

LDLN 405/ldln405.jpg||LDLN405]\r\nDeux photos illustrent la couverture de ce numéro 405. La première est un agrandissement partiel d’une photo prise dans la région de Nice en 1983. Devant un arrière-plan montagneux, on découvre ce qui ressemble à ‘’un ovni émettant un rayon laser’’. Cette interprétation vaut ce qu’elle vaut, car… le faisceau n’est pas rigoureusement rectiligne !\r\n\r\n La seconde photo de couverture, prise par Stéphane Brignone, dans le Var, le 22 septembre 2011, montre un hélicoptère et une forme impossible à interpréter. Ce document et six autres, dus au même photographe, renforcent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui ‘’escorteraient’’ des avions et des hélicoptères. Il reste, bien sûr, à savoir si tout ou partie de ces objets ne seraient pas, tout simplement, des insectes passant, de façon intempestive, devant l’objectif. L’hypothèse est séduisante, mais reste à vérifier : au cours des derniers mois, Stéphane Brignone a obtenu au moins neuf photos qui entrent dans cette catégorie. Et d’autres photographes intéressés par l’ufologie obtiennent des clichés comparables. Accepter comme une évidence l’hypothèse des insectes (ou, dans certains cas, de petits oiseaux) revient à admettre que ces petits volatiles apparaissent beaucoup plus sur les clichés numériques que sur nos bonnes vieilles photos argentiques. Il appartient, évidemment, aux spécialistes de la photo (industriels compris), d’examiner le problème. Hélas, on les entend très peu… et le mystère subsiste. C’est d’autant plus regrettable que les photos-surprises divisent le milieu ufologique, avec d’un côté ceux qui n’envisagent qu’une explication rationnelle, et de l’autre, ceux pour qui il est évident que des ‘’ovnis invisibles’’ (à l’œil nu) s’intéressent aux avions. Rares sont ceux qui ne privilégient aucune de ces deux explications… et c’est bien dommage.\r\n\r\n Jacques Bonabot nous expose une quinzaine de cas de catastrophes qui paraissent (à des degrés divers) avoir pu être l’œuvre du phénomène OVNI. Son apport vient consolider ce que LDLN a publié depuis quelques années concernant des cas de destructions apparemment imputables à des ovnis (Hellemmes, Rosoy, Baridiame, Saladare, Sanalakedha, etc…). L’exemple le plus dramatique qu’il signale est celui de Kirimukuyu, au Kenya, en juin 1954, puisqu’il y aurait eu de nombreuses victimes. \r\n\r\n Si l’on veut vraiment tenter de savoir ce qu’il en est, il faudrait remonter aux sources. Mais qui s’en chargera ? Nous avons vu récemment (depuis LDLN 399 et 400) combien il était vain d’espérer des compléments sur un incident survenu à Bourges. Quand il s’agit d’un drame qui se serait produit au Kenya, on peut estimer que des éclaircissements nécessaires sont bien improbables ! Mais ne désespérons pas… des bonnes volontés se manifesteront peut-être…\r\n\r\n Maurice Thil a fait un joli travail d’enquête sur l’un des cas (Arpajon, 14 juin 1963) évoqués par Jacques Bonabot, qui ne disposait que d’un article d’un journal belge. Il en résulte, d’une part, que la catastrophe survenue il y a 48 ans à 30 km de Paris n’est pas imputable à un ovni, et d’autre part, que tout n’a pas été révélé, à l’époque, sur la véritable cause du drame.\r\n\r\n Vient ensuite la seconde (et dernière) partie de l’article concernant les morts mystérieuses de milliers d’oiseaux. Là encore, on aimerait connaître les causes véritables.\r\n\r\n Franck Mairine nous explique l’étonnante observation qu’il a faite, en compagnie de quelques camarades et d’un chauffeur de bus scolaire, lorsqu’il avait 13 ans, un soir de fin mai ou début juin 1981, dans le sud de la Vienne. Ce jour-là, une boule d’aspect métallique a escorté sur trois kilomètres un car de ramassage scolaire, avant de monter haut dans le ciel et de disparaître.\r\n\r\n L’observation que nous expose Gérard Marquès est plus surprenante encore : le soir du 13 novembre 1987, un habitant de Saint-Raphaël (Var) et son épouse ont observé pendant plus de vingt minutes un spectacle incompréhensible : un manège complexe de petites ‘’soucoupes’’ faiblement lumineuses dans une vaste zone du ciel. Le phénomène a eu d’autres témoins, puisque deux jours plus tard, un journal local en donnait une explication (que les témoins jugent très farfelue).\r\n\r\n Grâce à des communications de Mme Bonnin et de MM. Lang et Sori, le 24ème chapitre de notre série ‘’Tout cela ne date pas d’hier’’ relate quatre apparitions d’ovnis datant respectivement de 1586, 1935, 1941 et 1942.\r\n\r\n Les apparitions d’ovnis ont été si nombreuses, au cours des six derniers mois, que la rubrique ‘’observations récentes en France’’ occupe les pages 21 à 36, et qu’il a fallu reporter six cas au numéro suivant. Les photos-surprises occupent une grande place parmi ces observations récentes, mais on y trouve aussi des témoignages plus ‘’classiques’’ et un cas de bestiole étrange : quelque chose comme un lémurien qui aurait les capacités ‘’sportives’’ d’un kangourou.\r\n\r\n Dans la rubrique ‘’les Nouvelles’’, on remarquera notamment ce qui semble être une belle photo de ‘’soucoupe volante’’ classique. C’est Jean-Christophe Averty en personne qui l’a trouvée… dans un numéro du Monde, qui ne fait aucune allusion à cette anomalie pourtant flagrante. Serait-il le seul à avoir remarqué la chose ?“,”<p><a href=\“/blog/public/Couvertures/400/ldln405.jpg\” title=\“LDLN405\”><img src=\“/blog/public/Couvertures/400/.ldln405_m.jpg\” alt=\“LDLN405\” style=\“float:right; margin: 0 0 1em 1em;\” title=\“LDLN405, fév. 2012\” /></a>\nDeux photos illustrent la couverture de ce numéro 405. La première est un agrandissement partiel d’une photo prise dans la région de Nice en 1983. Devant un arrière-plan montagneux, on découvre ce qui ressemble à ‘’un ovni émettant un rayon laser’’. Cette interprétation vaut ce qu’elle vaut, car… le faisceau n’est pas rigoureusement rectiligne&nbsp;!</p>\n\n\n<p>La seconde photo de couverture, prise par Stéphane Brignone, dans le Var, le 22 septembre 2011, montre un hélicoptère et une forme impossible à interpréter. Ce document et six autres, dus au même photographe, renforcent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui ‘’escorteraient’’ des avions et des hélicoptères. Il reste, bien sûr, à savoir si tout ou partie de ces objets ne seraient pas, tout simplement, des insectes passant, de façon intempestive, devant l’objectif. L’hypothèse est séduisante, mais reste à vérifier&nbsp;: au cours des derniers mois, Stéphane Brignone a obtenu au moins neuf photos qui entrent dans cette catégorie. Et d’autres photographes intéressés par l’ufologie obtiennent des clichés comparables. Accepter comme une évidence l’hypothèse des insectes (ou, dans certains cas, de petits oiseaux) revient à admettre que ces petits volatiles apparaissent beaucoup plus sur les clichés numériques que sur nos bonnes vieilles photos argentiques. Il appartient, évidemment, aux spécialistes de la photo (industriels compris), d’examiner le problème. Hélas, on les entend très peu… et le mystère subsiste. C’est d’autant plus regrettable que les photos-surprises divisent le milieu ufologique, avec d’un côté ceux qui n’envisagent qu’une explication rationnelle, et de l’autre, ceux pour qui il est évident que des ‘’ovnis invisibles’’ (à l’œil nu) s’intéressent aux avions. Rares sont ceux qui ne privilégient aucune de ces deux explications… et c’est bien dommage.</p>\n\n\n<p>Jacques Bonabot nous expose une quinzaine de cas de catastrophes qui paraissent (à des degrés divers) avoir pu être l’œuvre du phénomène OVNI. Son apport vient consolider ce que LDLN a publié depuis quelques années concernant des cas de destructions apparemment imputables à des ovnis (Hellemmes, Rosoy, Baridiame, Saladare, Sanalakedha, etc…). L’exemple le plus dramatique qu’il signale est celui de Kirimukuyu, au Kenya, en juin 1954, puisqu’il y aurait eu de nombreuses victimes.</p>\n\n\n<p>Si l’on veut vraiment tenter de savoir ce qu’il en est, il faudrait remonter aux sources. Mais qui s’en chargera&nbsp;? Nous avons vu récemment (depuis LDLN 399 et 400) combien il était vain d’espérer des compléments sur un incident survenu à Bourges. Quand il s’agit d’un drame qui se serait produit au Kenya, on peut estimer que des éclaircissements nécessaires sont bien improbables&nbsp;! Mais ne désespérons pas… des bonnes volontés se manifesteront peut-être…</p>\n\n\n<p>Maurice Thil a fait un joli travail d’enquête sur l’un des cas (Arpajon, 14 juin 1963) évoqués par Jacques Bonabot, qui ne disposait que d’un article d’un journal belge. Il en résulte, d’une part, que la catastrophe survenue il y a 48 ans à 30 km de Paris n’est pas imputable à un ovni, et d’autre part, que tout n’a pas été révélé, à l’époque, sur la véritable cause du drame.</p>\n\n\n<p>Vient ensuite la seconde (et dernière) partie de l’article concernant les morts mystérieuses de milliers d’oiseaux. Là encore, on aimerait connaître les causes véritables.</p>\n\n\n<p>Franck Mairine nous explique l’étonnante observation qu’il a faite, en compagnie de quelques camarades et d’un chauffeur de bus scolaire, lorsqu’il avait 13 ans, un soir de fin mai ou début juin 1981, dans le sud de la Vienne. Ce jour-là, une boule d’aspect métallique a escorté sur trois kilomètres un car de ramassage scolaire, avant de monter haut dans le ciel et de disparaître.</p>\n\n\n<p>L’observation que nous expose Gérard Marquès est plus surprenante encore&nbsp;: le soir du 13 novembre 1987, un habitant de Saint-Raphaël (Var) et son épouse ont observé pendant plus de vingt minutes un spectacle incompréhensible&nbsp;: un manège complexe de petites ‘’soucoupes’’ faiblement lumineuses dans une vaste zone du ciel. Le phénomène a eu d’autres témoins, puisque deux jours plus tard, un journal local en donnait une explication (que les témoins jugent très farfelue).</p>\n\n\n<p>Grâce à des communications de Mme Bonnin et de MM. Lang et Sori, le 24ème chapitre de notre série ‘’Tout cela ne date pas d’hier’’ relate quatre apparitions d’ovnis datant respectivement de 1586, 1935, 1941 et 1942.</p>\n\n\n<p>Les apparitions d’ovnis ont été si nombreuses, au cours des six derniers mois, que la rubrique ‘’observations récentes en France’’ occupe les pages 21 à 36, et qu’il a fallu reporter six cas au numéro suivant. Les photos-surprises occupent une grande place parmi ces observations récentes, mais on y trouve aussi des témoignages plus ‘’classiques’’ et un cas de bestiole étrange&nbsp;: quelque chose comme un lémurien qui aurait les capacités ‘’sportives’’ d’un kangourou.</p>\n\n\n<p>Dans la rubrique ‘’les Nouvelles’’, on remarquera notamment ce qui semble être une belle photo de ‘’soucoupe volante’’ classique. C’est Jean-Christophe Averty en personne qui l’a trouvée… dans un numéro du Monde, qui ne fait aucune allusion à cette anomalie pourtant flagrante. Serait-il le seul à avoir remarqué la chose&nbsp;?</p>“,”“,”a:0:{}“,”ldln 405 deux photos illustrent couverture numéro 405 première est agrandissement partiel d’une photo prise dans région nice 1983 devant arrière plan montagneux découvre qui ressemble ‘’un ovni émettant rayon laser’’ cette interprétation vaut qu’elle vaut car… faisceau n’est pas rigoureusement rectiligne nbsp seconde photo couverture prise par stéphane brignone dans var septembre 2011 montre hélicoptère une forme impossible interpréter document six autres dus même photographe renforcent l’hypothèse d’objets invisibles l’œil qui ‘’escorteraient’’ des avions des hélicoptères reste bien sûr savoir tout partie ces objets seraient pas tout simplement des insectes passant façon intempestive devant l’objectif l’hypothèse est séduisante mais reste vérifier nbsp cours des derniers mois stéphane brignone obtenu moins neuf photos qui entrent dans cette catégorie d’autres photographes intéressés par l’ufologie obtiennent des clichés comparables accepter comme une évidence l’hypothèse des insectes dans certains cas petits oiseaux revient admettre que ces petits volatiles apparaissent beaucoup plus sur les clichés numériques que sur nos bonnes vieilles photos argentiques appartient évidemment aux spécialistes photo industriels compris d’examiner problème hélas les entend très peu… mystère subsiste c’est d’autant plus regrettable que les photos surprises divisent milieu ufologique avec d’un côté ceux qui n’envisagent qu’une explication rationnelle l’autre ceux pour qui est évident que des ‘’ovnis invisibles’’ l’œil s’intéressent aux avions rares sont ceux qui privilégient aucune ces deux explications… c’est bien dommage jacques bonabot nous expose une quinzaine cas catastrophes qui paraissent des degrés divers avoir être l’œuvre phénomène ovni son apport vient consolider que ldln publié depuis quelques années concernant des cas destructions apparemment imputables des ovnis hellemmes rosoy baridiame saladare sanalakedha etc… l’exemple plus dramatique qu’il signale est celui kirimukuyu kenya juin 1954 puisqu’il aurait nombreuses victimes l’on veut vraiment tenter savoir qu’il est faudrait remonter aux sources mais qui s’en chargera nbsp nous avons récemment depuis ldln 399 400 combien était vain d’espérer des compléments sur incident survenu bourges quand s’agit d’un drame qui serait produit kenya peut estimer que des éclaircissements nécessaires sont bien improbables nbsp mais désespérons pas… des bonnes volontés manifesteront peut être… maurice thil fait joli travail d’enquête sur l’un des cas arpajon juin 1963 évoqués par jacques bonabot qui disposait que d’un article d’un journal belge résulte d’une part que catastrophe survenue ans paris n’est pas imputable ovni d’autre part que tout n’a pas été révélé l’époque sur véritable cause drame vient ensuite seconde dernière partie l’article concernant les morts mystérieuses milliers d’oiseaux encore aimerait connaître les causes véritables franck mairine nous explique l’étonnante observation qu’il faite compagnie quelques camarades d’un chauffeur bus scolaire lorsqu’il avait ans soir fin mai début juin 1981 dans sud vienne jour une boule d’aspect métallique escorté sur trois kilomètres car ramassage scolaire avant monter haut dans ciel disparaître l’observation que nous expose gérard marquès est plus surprenante encore nbsp soir novembre 1987 habitant saint raphaël var son épouse ont observé pendant plus vingt minutes spectacle incompréhensible nbsp manège complexe petites ‘’soucoupes’’ faiblement lumineuses dans une vaste zone ciel phénomène d’autres témoins puisque deux jours plus tard journal local donnait une explication que les témoins jugent très farfelue grâce des communications mme bonnin lang sori 24ème chapitre notre série ‘’tout cela date pas d’hier’’ relate quatre apparitions d’ovnis datant respectivement 1586 1935 1941 1942 les apparitions d’ovnis ont été nombreuses cours des six derniers mois que rubrique ‘’observations récentes france’’ occupe les pages qu’il fallu reporter six cas numéro suivant les photos surprises occupent une grande place parmi ces observations récentes mais trouve aussi des témoignages plus ‘’classiques’’ cas bestiole étrange nbsp quelque chose comme lémurien qui aurait les capacités ‘’sportives’’ d’un kangourou dans rubrique ‘’les nouvelles’’ remarquera notamment qui semble être une belle photo ‘’soucoupe volante’’ classique c’est jean christophe averty personne qui l’a trouvée… dans numéro monde qui fait aucune allusion cette anomalie pourtant flagrante serait seul avoir remarqué chose nbsp“,”1“,”1“,”0“,”1“,”1“,”0“,”0“

LDLN 406/ldln406.jpg||LDLN406]\r\nErrata p40 : l'acétone EST inflammable.\r\n\r\nDans le numéro 406 de LDLN, Jacques Vallée nous expose tout d’abord un cas de « crash de rien » (de type1) dans le Sud-Ouest de l’Australie, en 1936 ! C’est le 30ème cas répertorié, mais un 31ème est évoqué, p. 37 (Tauranga, en Nouvelle-Zélande, début mai 2003)… et on en trouvera un 32ème dans LDLN 307. Que se passe-t-il ? S’agit-il d’une incroyable série de coïncidences purement fortuites ? La notion de « synchronicité », développée par Jacques Vallée, expliquerait-elle une si profonde ressemblance entre ces 32 incidents a priori sans lien entre eux ? Ou bien faut-il considérer que le phénomène OVNI (dont le caractère parfois mimétique n’est plus à démontrer)… s’amuse à « imiter des accidents d’avions » ? La question reste ouverte, et il ne servirait à rien de choisir une explication : il faut continuer à chercher, en examinant le maximum des données disponibles. \r\n\r\n Ensuite, Luc Chastan nous présente le récit, par les témoins eux-mêmes, d’une observation rapprochée d’un « triangle », dans le quartier sud de Bourges, le 13 juillet 2007. Ce mot « triangle » est souvent employé pour désigner un simple ensemble de trois lumières, mais ici, il s’agit bel et bien d’un objet matériel, de forme triangulaire. Cette affaire est d’autant plus remarquable qu’elle s’est déroulée à quelques centaines de mètres du lieu de l’extraordinaire apparition qui aurait eu lieu devant une cinquantaine de témoins qui se baignaient dans l’Auron, pendant la canicule de juin 1949 (voir LDLN 399, p. 4 et 400 p. 22).\r\n\r\n Gérard Marquès nous expose ensuite l’observation, faite par M. Vanni, d’un « cigare à hublots » qui a survolé le département du Var, d’ouest en est, en plein jour, un soir d’août ou septembre 1981 ou 1982. On peut espérer trouver confirmation du fait dans une publication antérieure. \r\n\r\n Jean-Jacques Petit nous raconte un événement contemporain du précédent, puisqu’il s’est produit un soir d’été en 1981 ou 1982. Il était alors contrôleur (militaire) de la navigation aérienne sur la base de Mont-de-Marsan. Au moment où un Mirage IV se posait, une personne au sol, ainsi que l’équipage d’un quadriréacteur C-135F, observaient la présence au sol d’un objet émettant des lumières clignotantes, sur la route de Saint-Sever, tout près de la base. La personne qui a alerté la base avait vu la chose se poser.\r\n\r\n Un homme qui était gendarme, en poste à Djibouti à la fin des années soixante-dix, nous raconte ses souvenirs d’un incident dans lequel on peut voir une sorte de « crash de rien », dans le secteur du Grand Bara, dans le Sud du pays. La nature du phénomène observé reste totalement indéterminée, et on ne saurait exclure l’hypothèse d’un phénomène naturel.\r\n\r\n La rubrique « observations récentes en France » comporte l’exposé de 14 observations faites entre le 17 juillet 2011 et le 1er janvier de cette année. Le cas le plus remarquable est incontestablement celui de Lens, que nous expose Jean-Pierre D’Hondt : il s’agit du survol à très basse altitude, d’un quartier de la ville, par un objet triangulaire décrit avec beaucoup de précision. – Nota : quelques [illustrations sur le blog Magonia|http://magonia.unblog.fr/2012/03/31/ovni-au-dessus-de-lens-pas-de-calais/]\r\n\r\n Claude Abgrall et Jean-Claude Dufour nous proposent un aperçu, sous formes de tableaux, d’observations faites de par le monde en novembre et décembre 2011, ainsi qu’au début de janvier. Ils nous fournissent aussi, grâce à un ufologue tchèque nommé Ales Hruska, une liste de 35 observations faites en République tchèque entre le 20 juillet et la 12 novembre 2011.\r\n\r\n Maurice Thil s’est beaucoup intéressé, l’année dernière, aux archives concernant les cas de gigantesques « roues lumineuses sous la mer » signalés, depuis longtemps (au moins depuis le 30 mars 1925) par les capitaines de nombreux bateaux. On peut douter que ce phénomène (dont la réalité est bien établie) soit lié au problème ovni, mais les témoignages contenus dans diverses publications (notamment le Marine Observer) sont remarquablement précis. Six pages de ce numéro sont consacrées à cette question, et la suite de l’article figurera dans LDLN 407.\r\n\r\n Gildas Bourdais connaît mieux que personne, en France, l’affaire de Roswell (mieux, en tout cas, que les réalisateurs d’une récente émission de télé !). Il nous donne une analyse détaillée d’un livre américain absolument consternant, qui présente notamment un témoignage indirect « expliquant » l’affaire de Roswell par une sombre manipulation ourdie par … Joseph Staline(!) avec la participation du « Dr » Mengele et à grand renfort d’ailes volantes Horten et autres « soucoupes nazies ». Nous avons connu beaucoup de mauvais livres et de thèses stupides sur les ovnis, mais là, tous les records sont battus. Puisse cette chose-là n’être jamais traduite en français !\r\n\r\n Renaud Joseph, qui s’est spécialisé dans la traduction en français d’ouvrages américains de qualité nous explique qu’il existe un lien entre l’un des célèbres remote viewers (espions extrasensoriels) et le problème OVNI.\r\n\r\n Après une interview de Christel Seval, la rubrique « les Nouvelles » clôt ce numéro, avec une dizaine d’informations dont quelques unes devraient déclencher des recherches ultérieures… si quelqu’un veut bien s’en charger.”,“<p><a href=\”/blog/public/Couvertures/400/ldln406.jpg\“ title=\”LDLN406\“><img src=\”/blog/public/Couvertures/400/.ldln406_m.jpg\“ alt=\”LDLN406\“ style=\”float:right; margin: 0 0 1em 1em;\“ title=\”LDLN406, mar. 2012\“ /></a>\nErrata p40&nbsp;: <strong>l'acétone EST inflammable</strong>.</p>\n\n\n<p>Dans le numéro 406 de LDLN, <strong>Jacques Vallée</strong> nous expose tout d’abord un cas de <em>«&nbsp;crash de rien »</em> (de type1) dans le Sud-Ouest de l’Australie, en 1936&nbsp;! C’est le 30ème cas répertorié, mais un 31ème est évoqué, p. 37 (Tauranga, en Nouvelle-Zélande, début mai 2003)… et on en trouvera un 32ème dans LDLN 307. Que se passe-t-il&nbsp;? S’agit-il d’une incroyable série de coïncidences purement fortuites&nbsp;? La notion de <em>«&nbsp;synchronicité »</em>, développée par Jacques Vallée, expliquerait-elle une si profonde ressemblance entre ces 32 incidents a priori sans lien entre eux&nbsp;? Ou bien faut-il considérer que le phénomène OVNI (dont le caractère parfois mimétique n’est plus à démontrer)… s’amuse à <em>«&nbsp;imiter des accidents d’avions »</em>&nbsp;? La question reste ouverte, et il ne servirait à rien de choisir une explication&nbsp;: il faut continuer à chercher, en examinant le maximum des données disponibles.</p>\n\n\n<p>Ensuite, <strong>Luc Chastan</strong> nous présente le récit, par les témoins eux-mêmes, d’une observation rapprochée d’un <em>«&nbsp;triangle »</em>, dans le quartier sud de Bourges, le 13 juillet 2007. Ce mot <em>«&nbsp;triangle »</em> est souvent employé pour désigner un simple ensemble de trois lumières, mais ici, il s’agit bel et bien d’un objet matériel, de forme triangulaire. Cette affaire est d’autant plus remarquable qu’elle s’est déroulée à quelques centaines de mètres du lieu de l’extraordinaire apparition qui aurait eu lieu devant une cinquantaine de témoins qui se baignaient dans l’Auron, pendant la canicule de juin 1949 (voir LDLN 399, p. 4 et 400 p. 22).</p>\n\n\n<p><strong>Gérard Marquès</strong> nous expose ensuite l’observation, faite par M. Vanni, d’un <em>«&nbsp;cigare à hublots »</em> qui a survolé le département du Var, d’ouest en est, en plein jour, un soir d’août ou septembre 1981 ou 1982. On peut espérer trouver confirmation du fait dans une publication antérieure.</p>\n\n\n<p><strong>Jean-Jacques Petit</strong> nous raconte un événement contemporain du précédent, puisqu’il s’est produit un soir d’été en 1981 ou 1982. Il était alors contrôleur (militaire) de la navigation aérienne sur la base de Mont-de-Marsan. Au moment où un Mirage IV se posait, une personne au sol, ainsi que l’équipage d’un quadriréacteur C-135F, observaient la présence au sol d’un objet émettant des lumières clignotantes, sur la route de Saint-Sever, tout près de la base. La personne qui a alerté la base avait vu la chose se poser.</p>\n\n\n<p><strong>Un homme</strong> qui était gendarme, en poste à Djibouti à la fin des années soixante-dix, nous raconte ses souvenirs d’un incident dans lequel on peut voir une sorte de <em>«&nbsp;crash de rien »</em>, dans le secteur du Grand Bara, dans le Sud du pays. La nature du phénomène observé reste totalement indéterminée, et on ne saurait exclure l’hypothèse d’un phénomène naturel.</p>\n\n\n<p>La rubrique <em>«&nbsp;observations récentes en France »</em> comporte l’exposé de 14 observations faites entre le 17 juillet 2011 et le 1er janvier de cette année. Le cas le plus remarquable est incontestablement celui de Lens, que nous expose <strong>Jean-Pierre D’Hondt</strong>&nbsp;: il s’agit du survol à très basse altitude, d’un quartier de la ville, par <em>un objet triangulaire</em> décrit avec beaucoup de précision. – Nota&nbsp;: quelques <a href=\”http://magonia.unblog.fr/2012/03/31/ovni-au-dessus-de-lens-pas-de-calais/\“>illustrations sur le blog Magonia</a></p>\n\n\n<p><strong>Claude Abgrall</strong> et <strong>Jean-Claude Dufour</strong> nous proposent un aperçu, sous formes de tableaux, d’observations faites de par le monde en novembre et décembre 2011, ainsi qu’au début de janvier. Ils nous fournissent aussi, grâce à un ufologue tchèque nommé Ales Hruska, une liste de 35 observations faites en République tchèque entre le 20 juillet et la 12 novembre 2011.</p>\n\n\n<p><strong>Maurice Thil</strong> s’est beaucoup intéressé, l’année dernière, aux archives concernant les cas de gigantesques <em>«&nbsp;roues lumineuses sous la mer »</em> signalés, depuis longtemps (au moins depuis le 30 mars 1925) par les capitaines de nombreux bateaux. On peut douter que ce phénomène (dont la réalité est bien établie) soit lié au problème ovni, mais les témoignages contenus dans diverses publications (notamment le Marine Observer) sont remarquablement précis. Six pages de ce numéro sont consacrées à cette question, et la suite de l’article figurera dans LDLN 407.</p>\n\n\n<p><strong>Gildas Bourdais</strong> connaît mieux que personne, en France, l’affaire de <em>Roswell</em> (mieux, en tout cas, que les réalisateurs d’une récente émission de télé !). Il nous donne une analyse détaillée d’un livre américain absolument consternant, qui présente notamment un témoignage indirect <em>«&nbsp;expliquant »</em> l’affaire de Roswell par une sombre manipulation ourdie par … Joseph Staline(!) avec la participation du «&nbsp;Dr&nbsp;» Mengele et à grand renfort d’ailes volantes Horten et autres <em>«&nbsp;soucoupes nazies »</em>. Nous avons connu beaucoup de mauvais livres et de thèses stupides sur les ovnis, mais là, tous les records sont battus. Puisse cette chose-là n’être jamais traduite en français&nbsp;!</p>\n\n\n<p><strong>Renaud Joseph</strong>, qui s’est spécialisé dans la traduction en français d’ouvrages américains de qualité nous explique qu’il existe un lien entre l’un des célèbres remote viewers (espions extrasensoriels) et le problème OVNI.</p>\n\n\n<p>Après une interview de <strong>Christel Seval</strong>, la rubrique <em>«&nbsp;les Nouvelles »</em> clôt ce numéro, avec une dizaine d’informations dont quelques unes devraient déclencher des recherches ultérieures… si quelqu’un veut bien s’en charger.</p>”,“”,“a:0:{}”,“ldln 406 errata p40 nbsp acétone est inflammable dans numéro 406 ldln jacques vallée nous expose tout d’abord cas nbsp crash rien type1 dans sud ouest l’australie 1936 nbsp c’est 30ème cas répertorié mais 31ème est évoqué tauranga nouvelle zélande début mai 2003 trouvera 32ème dans ldln 307 que passe nbsp s’agit d’une incroyable série coïncidences purement fortuites nbsp notion nbsp synchronicité 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faite par vanni d’un nbsp cigare hublots qui survolé département var d’ouest est plein jour soir d’août septembre 1981 1982 peut espérer trouver confirmation fait dans une publication antérieure jean jacques petit nous raconte événement contemporain précédent puisqu’il s’est produit soir d’été 1981 1982 était alors contrôleur militaire navigation aérienne sur base mont marsan moment mirage posait une personne sol ainsi que l’équipage d’un quadriréacteur 135f observaient présence sol d’un objet émettant des lumières clignotantes sur route saint sever tout près base personne qui alerté base avait chose poser homme qui était gendarme poste djibouti fin des années soixante dix nous raconte ses souvenirs d’un incident dans lequel peut voir une sorte nbsp crash rien dans secteur grand bara dans sud pays nature phénomène observé reste totalement indéterminée saurait exclure l’hypothèse d’un phénomène naturel rubrique nbsp observations récentes france comporte l’exposé observations faites entre juillet 2011 1er janvier cette année cas plus remarquable est incontestablement celui lens que nous expose jean pierre d’hondt nbsp s’agit survol très basse altitude d’un quartier ville par objet triangulaire décrit avec beaucoup précision nota nbsp quelques illustrations sur blog magonia claude abgrall jean claude dufour nous proposent aperçu sous formes tableaux d’observations faites par monde novembre décembre 2011 ainsi qu’au début janvier ils nous fournissent aussi grâce ufologue tchèque nommé ales hruska une liste observations faites république tchèque entre juillet novembre 2011 maurice thil s’est beaucoup intéressé l’année dernière aux archives concernant les cas gigantesques nbsp roues lumineuses sous mer signalés depuis longtemps moins depuis mars 1925 par les capitaines nombreux bateaux peut douter que phénomène dont réalité est bien établie soit lié problème ovni mais les témoignages contenus dans diverses publications notamment marine observer sont remarquablement précis six pages numéro sont consacrées cette question suite l’article figurera dans ldln 407 gildas bourdais connaît mieux que personne france l’affaire roswell mieux tout cas que les réalisateurs d’une récente émission télé nous donne une analyse détaillée d’un livre américain absolument consternant qui présente notamment témoignage indirect nbsp expliquant l’affaire roswell par une sombre manipulation ourdie par joseph staline avec participation nbsp nbsp mengele grand renfort d’ailes volantes horten autres nbsp soucoupes nazies nous avons connu beaucoup mauvais livres thèses stupides sur les ovnis mais tous les records sont battus puisse cette chose n’être jamais traduite français nbsp renaud joseph qui s’est spécialisé dans traduction français d’ouvrages américains qualité nous explique qu’il existe lien entre l’un des célèbres remote viewers espions extrasensoriels problème ovni après une interview christel seval rubrique nbsp les nouvelles clôt numéro avec une dizaine d’informations dont quelques unes devraient déclencher des recherches ultérieures… quelqu’un veut bien s’en charger”,“1”,“1”,“0”,“1”,“1”,“0”,“0”

LDLN 407/ldln407.jpg||LDLN407]\r\n\r\nEn p. 2 de ce numéro 407, on trouve deux photos prises sur le ‘’Plateau des Idoles’’, au Col de Vence, par l’équipe coldevence.com, cet hiver, quand le col était sous la neige. Elles montrent la petite prairie située quelques dizaines de mètres au sud du « sphinx », au pied des pentes du Puy de Tourrettes. Cette petite prairie naturelle, à peine plus grande qu’un terrain de football, contraste fortement avec l’environnement rocailleux de ce plateau karstique, mais elle est surtout connue pour la fine couronne circulaire, d’une vingtaine de mètres de diamètre, dont Pierre Beake a fait connaître l’existence, il y a 19 ans déjà. On constate sur ces photos que la neige a entièrement fondu à l’intérieur de la couronne. Sans doute existe-t-il une explication, en termes de phénomènes naturels, mais nous ne la connaissons pas. Il se pourrait que la géologie très particulière des lieux explique cette bizarrerie (formation d’une doline, prélude à un possible effondrement du sol). Dans ce cas, il ne serait pas sans risque de se promener sur les lieux : on trouve sur Internet (en tapant : doline) d’effrayantes images de puits d’effondrement, en pleine ville de Guatemala City, et ailleurs dans le monde.\r\n\r\n Jean-Claude Dufour nous raconte les circonstances troubles dans lesquelles un « témoin privilégié » du phénomène ovni, Michel Martin, nous a quittés, le 3 février 2012. C’est une très sombre histoire, liée sans doute à une série d’observations pour le moins étranges. Il est regrettable, et incompréhensible, que la mort de cet homme n’ait pas donné lieu à une enquête. \r\n\r\n Axel Mazuer nous raconte ensuite l’expérience vécue, le 11 décembre 1976, par une femme qui avait beaucoup fait parler d’elle, quelques années plus tôt, en battant le record du monde de durée en planeur (38 heures et 41 minutes, ce qui paraît incroyable). Il s’agit d’une RR3, c’est-à dire de la vision de petits personnages (d’environ 1 mètre de haut).\r\n\r\n Après cela, Philippe Cartier nos expose son observation d’un objet triangulaire lumineux, vert, dans la soirée du 10 août 1998. Il s’agit, rappelons-le, d’une soirée tout-à-fait exceptionnelle, qui constitue l’épisode majeur de la vague d’août 1998, exposée en détail dans nos numéros 350, 351, 352, 359 et 378. Un étrange silence pèse, d’ailleurs, sur cette remarquable vague, sans doute trop probante pour n’être pas… gênante.\r\n\r\n Grâce à Gérard Marquès, nous trouvons ensuite le témoignage de M. Bertani, concernant le passage au-dessus de Saint-Raphaël, un soir du début des années quatre-vingts, d’un « cigare à hublots » silencieux. Depuis la rédaction de cet article, la question de la date de cette observation a été résolue, de façon quasiment certaine. Le sujet est amorcé p.36, grâce à une recherche en archives faite par Fabrice Curlier, et sera précisé dans LDLN 408 (qui parviendra aux abonnés début juillet).\r\n\r\n Une autre RR3 inédite, en mai ou juin 1974, nous est exposée par M. Michel Tassain, qui a pu constater, à l’époque, une remarquable transformation physique, apparue du jour au lendemain, sur la personne du témoin. C’est le onzième cas de RR3 en France que nous enregistrons pour l’année 1974. On sait que ce type d’observation est devenu très rare depuis de nombreuses années.\r\n\r\n La rubrique ‘’observations récentes en France’’ expose une quinzaine d’observation faites entre juin 2011 et le 25 mars 2012.\r\n\r\n Jonathan Giné, qui a énormément expérimenté (de façon spontanée) en ce domaine, nous dit, p. 20, sa conviction que beaucoup de photos-surprises obtenues avec les appareils numériques sont dues, en fait, à l’utilisation du format JPEG. Il propose de pallier cet afflux massif d’images incertaines ou trompeuses, en utilisant le format RAW, ce qui ne présente pas de difficultés insurmontables, mais n’est pas possible avec tous les apn.\r\n\r\n Dans LDLN 396, nous avions été étonnés par la mention « U.S. Colombia », dans le témoignage écrit d’un consul britannique dans un pays d’Amérique du Sud. Jacques Bonabot nous révèle la clé du mystère, grâce à un petit rappel sur l’histoire de la Colombie. Il nous expose ensuite un cas de « crash de rien » en mer, le 4 juillet 1965, entre Knokke-le-Zoute et Flessingue. Il est toutefois prudent de ne pas considérer ce cas comme un exemple de « crash de rien de type 1 », l’implication d’un aéronef n’étant pas établie.\r\n\r\n Gildas Bourdais rend hommage à la mémoire de Budd Hopkins, disparu le 21 août 2011.\r\n\r\n Vient ensuite la deuxième partie (qui n’est pas la dernière) de l’article sur les « roues lumineuses sous la mer ». Le problème est très complexe, il ne semble pas qu’on puisse en présenter, au stade actuel, une explication définitive. Qu’il soit lié ou non au phénomène OVNI, nous avons là un mystère, parmi bien d’autres, qui reste à éclaircir.\r\n Jean-Claude Dufour nous offre un bref historique du Col de Vence, un lieu chargé d’histoire autant que de mystères.\r\n\r\n Après une brève recension, par Claude Abgrall et Jean-Claude Dufour, d’observations faites de par le monde en février et mars de cette année, la rubrique ‘’les Nouvelles’’ aborde divers sujets. Elle nous révèle notamment une observation de la soirée du 5 novembre 1990, illustrée d’un plan précis qui montre que le témoin a tourné le dos à la trajectoire de la rentrée atmosphérique pendant presque toute son observation. Cela rappelle, entre autres, le cas de Montreuil-Juigné, que nous avons publié il y a treize ans : là aussi, la direction du regard du témoin était révélatrice de la validité de l’explication officielle.\r\n\r\n La même rubrique nous explique, p. 37, comment Claude Minghelli a réalisé un couplage de deux appareils photo numériques, dans le but d’apporter des éclaircissements sur le problème (irritant !) des photos-surprises.“,”<p><a href=\“/blog/public/Couvertures/400/ldln407.jpg\” title=\“LDLN407\”><img src=\“/blog/public/Couvertures/400/.ldln407_m.jpg\” alt=\“LDLN407\” style=\“float:right; margin: 0 0 1em 1em;\” title=\“LDLN407, oct. 2012\” /></a></p>\n\n\n<p>En p. 2 de ce numéro 407, on trouve deux photos prises sur le ‘’Plateau des Idoles’’, au <strong>Col de Vence</strong>, par l’équipe coldevence.com, cet hiver, quand le col était sous la neige. Elles montrent la petite prairie située quelques dizaines de mètres au sud du «&nbsp;sphinx », au pied des pentes du Puy de Tourrettes. Cette petite prairie naturelle, à peine plus grande qu’un terrain de football, contraste fortement avec l’environnement rocailleux de ce plateau karstique, mais elle est surtout connue pour la fine couronne circulaire, d’une vingtaine de mètres de diamètre, dont Pierre Beake a fait connaître l’existence, il y a 19 ans déjà. On constate sur ces photos que la neige a entièrement fondu à l’intérieur de la couronne. Sans doute existe-t-il une explication, en termes de phénomènes naturels, mais nous ne la connaissons pas. Il se pourrait que la géologie très particulière des lieux explique cette bizarrerie (formation d’une doline, prélude à un possible effondrement du sol). Dans ce cas, il ne serait pas sans risque de se promener sur les lieux&nbsp;: on trouve sur Internet (en tapant&nbsp;: doline) d’effrayantes images de puits d’effondrement, en pleine ville de Guatemala City, et ailleurs dans le monde.</p>\n\n\n<p><strong>Jean-Claude Dufour</strong> nous raconte les circonstances troubles dans lesquelles un «&nbsp;témoin privilégié&nbsp;» du phénomène ovni, <strong>Michel Martin</strong>, nous a quittés, le 3 février 2012. C’est une très sombre histoire, liée sans doute à une série d’observations pour le moins étranges. Il est regrettable, et incompréhensible, que la mort de cet homme n’ait pas donné lieu à une enquête.</p>\n\n\n<p><strong>Axel Mazuer</strong> nous raconte ensuite l’expérience vécue, le 11 décembre 1976, par une femme qui avait beaucoup fait parler d’elle, quelques années plus tôt, en battant le record du monde de durée en planeur (38 heures et 41 minutes, ce qui paraît incroyable). Il s’agit d’une <strong>RR3</strong>, c’est-à dire de la vision de petits personnages (d’environ 1 mètre de haut).</p>\n\n\n<p>Après cela, <strong>Philippe Cartier</strong> nos expose son observation d’un <strong>objet triangulaire lumineux, vert</strong>, dans la soirée du 10 août 1998. Il s’agit, rappelons-le, d’une soirée tout-à-fait exceptionnelle, qui constitue l’épisode majeur de la <strong>vague d’août 1998</strong>, exposée en détail dans nos numéros 350, 351, 352, 359 et 378. Un étrange silence pèse, d’ailleurs, sur cette remarquable vague, sans doute trop probante pour n’être pas… gênante.</p>\n\n\n<p>Grâce à <strong>Gérard Marquès</strong>, nous trouvons ensuite le témoignage de M. Bertani, concernant le passage au-dessus de <strong>Saint-Raphaël</strong>, un soir du début des années quatre-vingts, d’un <strong>«&nbsp;cigare à hublots »</strong> silencieux. Depuis la rédaction de cet article, la question de la date de cette observation a été résolue, de façon quasiment certaine. Le sujet est amorcé p.36, grâce à une recherche en archives faite par Fabrice Curlier, et sera précisé dans LDLN 408 (qui parviendra aux abonnés début juillet).</p>\n\n\n<p>Une autre <strong>RR3</strong> inédite, en mai ou juin 1974, nous est exposée par M. <strong>Michel Tassain</strong>, qui a pu constater, à l’époque, une remarquable transformation physique, apparue du jour au lendemain, sur la personne du témoin. C’est le onzième cas de RR3 en France que nous enregistrons pour l’année 1974. On sait que ce type d’observation est devenu très rare depuis de nombreuses années.</p>\n\n\n<p>La rubrique ‘’observations récentes en France’’ expose une quinzaine d’observation faites entre juin 2011 et le 25 mars 2012.</p>\n\n\n<p><strong>Jonathan Giné</strong>, qui a énormément expérimenté (de façon spontanée) en ce domaine, nous dit, p. 20, sa conviction que beaucoup de <strong>photos-surprises</strong> obtenues avec les appareils numériques sont dues, en fait, à l’utilisation du format JPEG. Il propose de pallier cet afflux massif d’images incertaines ou trompeuses, en utilisant le format RAW, ce qui ne présente pas de difficultés insurmontables, mais n’est pas possible avec tous les apn.</p>\n\n\n<p>Dans LDLN 396, nous avions été étonnés par la mention «&nbsp;U.S. Colombia », dans le témoignage écrit d’un consul britannique dans un pays d’Amérique du Sud. <strong>Jacques Bonabot</strong> nous révèle la clé du mystère, grâce à un petit rappel sur l’histoire de la Colombie. Il nous expose ensuite un cas de «&nbsp;<strong>crash de rien</strong>&nbsp;» en mer, le 4 juillet 1965, entre Knokke-le-Zoute et Flessingue. Il est toutefois prudent de ne pas considérer ce cas comme un exemple de «&nbsp;crash de rien de type 1 », l’implication d’un aéronef n’étant pas établie.</p>\n\n\n<p><strong>Gildas Bourdais</strong> rend hommage à la mémoire de <strong>Budd Hopkins</strong>, disparu le 21 août 2011.</p>\n\n\n<p>Vient ensuite la deuxième partie (qui n’est pas la dernière) de l’article sur les «&nbsp;<strong>roues lumineuses sous la mer</strong> ». Le problème est très complexe, il ne semble pas qu’on puisse en présenter, au stade actuel, une explication définitive. Qu’il soit lié ou non au phénomène OVNI, nous avons là un mystère, parmi bien d’autres, qui reste à éclaircir.\n<strong>Jean-Claude Dufour</strong> nous offre un bref <strong>historique du Col de Vence</strong>, un lieu chargé d’histoire autant que de mystères.</p>\n\n\n<p>Après une brève recension, par <strong>Claude Abgrall</strong> et <strong>Jean-Claude Dufour</strong>, d’observations faites de par le monde en février et mars de cette année, la rubrique ‘’les Nouvelles’’ aborde divers sujets. Elle nous révèle notamment une observation de la soirée du <strong>5 novembre 1990</strong>, illustrée d’un plan précis qui montre que le témoin a tourné le dos à la trajectoire de la rentrée atmosphérique pendant presque toute son observation. Cela rappelle, entre autres, le cas de Montreuil-Juigné, que nous avons publié il y a treize ans&nbsp;: là aussi, la direction du regard du témoin était révélatrice de la validité de l’explication officielle.</p>\n\n\n<p>La même rubrique nous explique, p. 37, comment <strong>Claude Minghelli</strong> a réalisé un <strong>couplage de deux appareils photo numériques</strong>, dans le but d’apporter des éclaircissements sur le problème (irritant !) des photos-surprises.</p>“,”“,”a:0:{}“,”ldln 407 numéro 407 trouve deux photos prises sur ‘’plateau des idoles’’ col vence par l’équipe coldevence com cet hiver quand col était sous neige elles montrent petite prairie située quelques dizaines mètres sud nbsp sphinx pied des pentes puy tourrettes cette petite prairie naturelle peine plus grande qu’un terrain football contraste fortement avec l’environnement rocailleux plateau karstique mais elle est surtout connue pour fine couronne circulaire d’une vingtaine mètres diamètre dont pierre beake fait connaître l’existence ans déjà constate sur ces photos que neige entièrement fondu l’intérieur couronne sans doute existe une explication termes phénomènes naturels mais nous connaissons pas pourrait que géologie très particulière des lieux explique cette bizarrerie formation d’une doline prélude possible effondrement sol dans cas serait pas sans risque promener sur les lieux nbsp trouve sur internet tapant nbsp doline d’effrayantes images puits d’effondrement pleine ville guatemala city ailleurs dans monde jean claude dufour nous raconte les circonstances troubles dans lesquelles nbsp témoin privilégié nbsp phénomène ovni michel martin nous quittés février 2012 c’est une très sombre histoire liée sans doute une série d’observations pour moins étranges est regrettable incompréhensible que mort cet homme n’ait pas donné lieu une enquête axel mazuer nous raconte ensuite l’expérience vécue décembre 1976 par une femme qui avait beaucoup fait parler d’elle quelques années plus tôt battant record monde durée planeur heures minutes qui paraît incroyable s’agit d’une rr3 c’est dire vision petits personnages d’environ mètre haut après cela philippe cartier nos expose son observation d’un objet triangulaire lumineux vert dans soirée août 1998 s’agit rappelons d’une soirée tout fait exceptionnelle qui constitue l’épisode majeur vague d’août 1998 exposée détail dans nos numéros 350 351 352 359 378 étrange silence pèse d’ailleurs sur cette remarquable vague sans doute trop probante pour n’être pas… gênante grâce gérard marquès nous trouvons ensuite témoignage bertani concernant passage dessus saint raphaël soir début des années quatre vingts d’un nbsp cigare hublots silencieux depuis rédaction cet article question date cette observation été résolue façon quasiment certaine sujet est amorcé grâce une recherche archives faite par fabrice curlier sera précisé dans ldln 408 qui parviendra aux abonnés début juillet une autre rr3 inédite mai juin 1974 nous est exposée par michel tassain qui constater l’époque une remarquable transformation physique apparue jour lendemain sur personne témoin c’est onzième cas rr3 france que nous enregistrons pour l’année 1974 sait que type d’observation est devenu très rare depuis nombreuses années rubrique ‘’observations récentes france’’ expose une quinzaine d’observation faites entre juin 2011 mars 2012 jonathan giné qui énormément expérimenté façon spontanée domaine nous dit conviction que beaucoup photos surprises obtenues avec les appareils numériques sont dues fait l’utilisation format jpeg propose pallier cet afflux massif d’images incertaines trompeuses utilisant format raw qui présente pas difficultés insurmontables mais n’est pas possible avec tous les apn dans ldln 396 nous avions été étonnés par mention nbsp colombia dans témoignage écrit d’un consul britannique dans pays d’amérique sud jacques bonabot nous révèle clé mystère grâce petit rappel sur l’histoire colombie nous expose ensuite cas nbsp crash rien nbsp mer juillet 1965 entre knokke zoute flessingue est toutefois prudent pas considérer cas comme exemple nbsp crash rien type l’implication d’un aéronef n’étant pas établie gildas bourdais rend hommage mémoire budd hopkins disparu août 2011 vient ensuite deuxième partie qui n’est pas dernière l’article sur les nbsp roues lumineuses sous mer problème est très complexe semble pas qu’on puisse présenter stade actuel une explication définitive qu’il soit lié non phénomène ovni nous avons mystère parmi bien d’autres qui reste éclaircir jean claude dufour nous offre bref historique col vence lieu chargé d’histoire autant que mystères après une brève recension par claude abgrall jean claude dufour d’observations faites par monde février mars cette année rubrique ‘’les nouvelles’’ aborde divers sujets elle nous révèle notamment une observation soirée novembre 1990 illustrée d’un plan précis qui montre que témoin tourné dos trajectoire rentrée atmosphérique pendant presque toute son observation cela rappelle entre autres cas montreuil juigné que nous avons publié treize ans nbsp aussi direction regard témoin était révélatrice validité l’explication officielle même rubrique nous explique comment claude minghelli réalisé couplage deux appareils photo numériques dans but d’apporter des éclaircissements sur problème irritant des photos surprises“,”1“,”1“,”0“,”1“,”1“,”2“,”0“

LDLN 408/ldln408.jpg||LDLN408]\r\nLa couverture de LDLN 408 illustre les deux plus gros articles de ce numéro. Le premier, dû à un chercheur américain nommé Larry Lowe, concerne les activités entreprises par l’un des douze astronautes qui ont marché sur la Lune : le Dr Edgar Mitchell, de la mission Apollo XIV (31 janvier – 9 février 1971). On sait que certains de ces douze Américains ont assez mal vécu leur réadaptation à la vie sur Terre, plusieurs d’entre eux sombrant dans différentes formes de dépression. Pour Edgar Mitchell, c’est tout le contraire qui s’est produit : son expérience lunaire a été le déclencheur d’un extraordinaire élan d’inspiration qui l’a amené à entreprendre, avec quelques autres, une aventure intellectuelle et spirituelle novatrice. Son ambition n’est rien moins que de « donner à la conscience humaine les moyens de se comprendre elle-même ».\r\n\r\n C’est à Gildas Bourdais que nous devons le second de ces très gros articles : il concerne les observations qui ont été faites à Phoenix, Arizona, dans la soirée du 13 mars 1997. Pour résumer les choses en deux mots, disons que ce soir-là, entre 20 heures et 20 h 30, de très nombreuses personnes, dans la ville et ses environs, observent le passage silencieux de gigantesques ovnis, les uns en forme de boomerang, les autres, de triangles sombres. Ces objets sont d’autant plus repérables, qu’ils portent des lumières. Le second épisode se déroule deux heures plus tard, quand on voit des lumières mobiles, au loin, au-dessus d’une chaîne de montagnes. Les témoins qui signalent leurs observations de 20h – 20h30 s’entendent systématiquement répondre qu’il s’agissait de fusées éclairantes lâchées par des avions d’attaque A-10 dans le cadre d’un exercice. Et sans doute des A-10 ont-ils effectivement largué de ces fusées éclairantes, mais elles ne correspondent en rien à ce qui a été observé deux heures plus tôt. Il y a quelques raisons de se demander si l’ordre n’a pas été donné aux A-10 de l’Air National Guard, de larguer ces fusées, justement pour fournir une explication aux observations de boomerangs/triangles, en favorisant une confusion totale entre les deux séries d’événements. C’est d’autant plus plausible que le gouverneur de l’Arizona, Fife Symington, a ridiculisé les témoins sincères de 20h – 20h30, au cours d’une conférence de presse, en faisant monter sur scène un comparse déguisé en ET. Dix ans plus tard, son mandat ayant pris fin, pris sans doute de remords, ou bien dégagé de certaines obligations, il a admis publiquement qu’il avait lui-même vu, vers 20h15, un objet triangulaire, de très grandes dimensions, survoler silencieusement la ville. Et il a présenté ses excuses pour le démenti fabriqué de toutes pièces.\r\n\r\n Cette affaire des « lumières de Phoenix » est d’une grande importance, et compte parmi les meilleures observations d’ovnis. Par ailleurs, elle en dit long sur le traitement officiel et médiatique de la question.\r\n\r\n Un autre gros article expose l’enquête réalisée, en 1977, par Jean-Louis Gouzien, sur une observation faite à Saint-Roch (Indre-et-Loire), à 3h10 du matin, le 28 mai de cette année-là. L’objet a été observé de très près, et a laissé des traces au sol qui avaient une forme géométrique précise, et mesuraient 2,45 m dans leur plus grande dimension. \r\n\r\n Le premier article de ce numéro n’est pas des plus réjouissants, puisqu’il nous parle de la disparition récente de ce qui était, incontestablement, la meilleure publication ufologique au monde : International Ufo Reporter (IUR), éditée à Chicago par le CUFOS (John Allen Hynek Center for UFO Studies). Les causes de cette disparition sont connues : effondrement drastique du nombre des abonnés ; désintérêt grandissant du public pour une étude sérieuse du problème OVNI ; effets négatifs de nombreuses émissions de télévision qui ont présenté ce problème un peu comme Fife Symington avait commenté les observations de Phoenix, au lendemain du 13 mars 1977. Un autre facteur très défavorable à une publication comme IUR est évidemment Internet, où l’on trouve tout et n’importe quoi, et notamment des séquences vidéo de toute évidence trafiquées. Les gens (et notamment les jeunes) aiment mieux taper sur un clavier d’ordinateur, que lire et conserver des documents imprimés. C’est ainsi, mais il est difficile de croire que la recherche de la vérité puisse y trouver son compte. \r\n\r\n Il faut savoir aussi que l’ensemble des facteurs qui sont venus à bout d’IUR menacent tout autant LDLN.\r\n\r\nVous trouverez également dans ce numéro 408 des observations récentes en France, trois cas supplémentaires de « crashes de rien, de type 1 ». Vient ensuite un article qui récapitule un certain nombre de cas de probable « interaction mentale » entre un témoin et l’ovni qu’il observe, et qui présente deux nouveaux exemples.\r\n\r\n Dans un bref 25ème chapitre de le série « Tout ça ne date pas d’hier », Michel Rabatel nous raconte comment, en 1937, son père et son grand-père ont assisté, en plein jour, au passage à basse altitude d’un disque très sombre qui portait des lumières bleues. Vient ensuite la compilation, par Claude Abgrall et Jean-Claude Dufour, de « quelques nouvelles du Reste de la Planète ». Et dans la toute dernière rubrique, « les Nouvelles », on retiendra surtout la sortie du plus récent livre de Jean Sider, La Grande Mystification (tome 1 : mimétisme et polymorphisme du phénomène ovni, un cas récent de « gros nounours » dans l’Oregon, et un crop circle découvert le 11 juin à Chécy, près d’Orléans.\r\n\r\n Notons enfin que les trois photos de la dernière page ne sont pas des photos-surprises : elles sont extraites d’une vidéo montrant le passage, en plein jour, d’un objet de couleur blanche, dans le ciel de Nantes, le 8 juin 2012.”,“<p><a href=\”/blog/public/Couvertures/400/ldln408.jpg\“ title=\”LDLN408\“><img src=\”/blog/public/Couvertures/400/.ldln408_m.jpg\“ alt=\”LDLN408\“ style=\”float:right; margin: 0 0 1em 1em;\“ title=\”LDLN408, oct. 2012\“ /></a>\nLa couverture de LDLN 408 illustre les deux plus gros articles de ce numéro. Le premier, dû à un chercheur américain nommé <strong>Larry Lowe</strong>, concerne les activités entreprises par l’un des douze astronautes qui ont marché sur la Lune&nbsp;: le <strong>Dr Edgar Mitchell</strong>, de la mission Apollo XIV (31 janvier – 9 février 1971). On sait que certains de ces douze Américains ont assez mal vécu leur réadaptation à la vie sur Terre, plusieurs d’entre eux sombrant dans différentes formes de dépression. Pour Edgar Mitchell, c’est tout le contraire qui s’est produit&nbsp;: son expérience lunaire a été le déclencheur d’un extraordinaire élan d’inspiration qui l’a amené à entreprendre, avec quelques autres, <strong>une aventure intellectuelle et spirituelle novatrice</strong>. Son ambition n’est rien moins que de «&nbsp;donner à la conscience humaine les moyens de se comprendre elle-même ».</p>\n\n\n<p>C’est à <strong>Gildas Bourdais</strong> que nous devons le second de ces très gros articles&nbsp;: il concerne les observations qui ont été faites à <strong>Phoenix, Arizona</strong>, dans la soirée du 13 mars 1997. Pour résumer les choses en deux mots, disons que ce soir-là, entre 20 heures et 20 h 30, de très nombreuses personnes, dans la ville et ses environs, observent le passage silencieux de gigantesques ovnis, les uns en forme de boomerang, les autres, de triangles sombres. Ces objets sont d’autant plus repérables, qu’ils portent des lumières. Le second épisode se déroule deux heures plus tard, quand on voit des lumières mobiles, au loin, au-dessus d’une chaîne de montagnes. Les témoins qui signalent leurs observations de 20h – 20h30 s’entendent systématiquement répondre qu’il s’agissait de fusées éclairantes lâchées par des avions d’attaque A-10 dans le cadre d’un exercice. Et sans doute des A-10 ont-ils effectivement largué de ces fusées éclairantes, mais elles ne correspondent en rien à ce qui a été observé deux heures plus tôt. Il y a quelques raisons de se demander si l’ordre n’a pas été donné aux A-10 de l’Air National Guard, de larguer ces fusées, justement pour fournir une explication aux observations de boomerangs/triangles, en favorisant une confusion totale entre les deux séries d’événements. C’est d’autant plus plausible que le gouverneur de l’Arizona, Fife Symington, a ridiculisé les témoins sincères de 20h – 20h30, au cours d’une conférence de presse, en faisant monter sur scène un comparse déguisé en ET. Dix ans plus tard, son mandat ayant pris fin, pris sans doute de remords, ou bien dégagé de certaines obligations, il a admis publiquement qu’il avait lui-même vu, vers 20h15, un objet triangulaire, de très grandes dimensions, survoler silencieusement la ville. Et il a présenté ses excuses pour le démenti fabriqué de toutes pièces.</p>\n\n\n<p>Cette affaire des «&nbsp;<strong>lumières de Phoenix</strong>&nbsp;» est d’une grande importance, et compte parmi les meilleures observations d’ovnis. Par ailleurs, elle en dit long sur le traitement officiel et médiatique de la question.</p>\n\n\n<p>Un autre gros article expose l’enquête réalisée, en <strong>1977</strong>, par <strong>Jean-Louis Gouzien</strong>, sur une observation faite à Saint-Roch (Indre-et-Loire), à 3h10 du matin, le 28 mai de cette année-là. L’objet a été observé de très près, et a laissé des traces au sol qui avaient une forme géométrique précise, et mesuraient 2,45 m dans leur plus grande dimension.</p>\n\n\n<p>Le premier article de ce numéro n’est pas des plus réjouissants, puisqu’il nous parle de la <strong>disparition</strong> récente de ce qui était, incontestablement, la meilleure publication ufologique au monde&nbsp;: <strong>International Ufo Reporter (IUR)</strong>, éditée à Chicago par le <strong>CUFOS</strong> (John Allen Hynek Center for UFO Studies). Les causes de cette disparition sont connues&nbsp;: effondrement drastique du nombre des abonnés&nbsp;; désintérêt grandissant du public pour une étude sérieuse du problème OVNI&nbsp;; effets négatifs de nombreuses émissions de télévision qui ont présenté ce problème un peu comme Fife Symington avait commenté les observations de Phoenix, au lendemain du 13 mars 1977. Un autre facteur très défavorable à une publication comme IUR est évidemment Internet, où l’on trouve tout et n’importe quoi, et notamment des séquences vidéo de toute évidence trafiquées. Les gens (et notamment les jeunes) aiment mieux taper sur un clavier d’ordinateur, que lire et conserver des documents imprimés. C’est ainsi, mais il est difficile de croire que la recherche de la vérité puisse y trouver son compte.</p>\n\n\n<p>Il faut savoir aussi que l’ensemble des facteurs qui sont venus à bout d’IUR menacent tout autant LDLN.</p>\n\n\n<p>Vous trouverez également dans ce numéro 408 des observations récentes en France, trois cas supplémentaires de «&nbsp;crashes de rien, de type 1 ». Vient ensuite un article qui récapitule un certain nombre de cas de probable «&nbsp;interaction mentale&nbsp;» entre un témoin et l’ovni qu’il observe, et qui présente deux nouveaux exemples.</p>\n\n\n<p>Dans un bref 25ème chapitre de le série «&nbsp;Tout ça ne date pas d’hier », <strong>Michel Rabatel</strong> nous raconte comment, en 1937, son père et son grand-père ont assisté, en plein jour, au passage à basse altitude d’<strong>un disque très sombre qui portait des lumières bleues</strong>. Vient ensuite la <strong>compilation</strong>, par <strong>Claude Abgrall</strong> et <strong>Jean-Claude Dufour</strong>, de «&nbsp;quelques nouvelles du Reste de la Planète ». Et dans la toute dernière rubrique, «&nbsp;les Nouvelles », on retiendra surtout la sortie du plus récent <strong>livre de Jean Sider</strong>, <strong>La Grande Mystification</strong> (tome 1&nbsp;: mimétisme et polymorphisme du phénomène ovni, un cas récent de «&nbsp;gros nounours&nbsp;» dans l’Oregon, et un crop circle découvert le 11 juin à Chécy, près d’Orléans.</p>\n\n\n<p>Notons enfin que les trois photos de la dernière page ne sont pas des photos-surprises&nbsp;: elles sont extraites d’une vidéo montrant le passage, en plein jour, d’un objet de couleur blanche, dans le ciel de Nantes, le 8 juin 2012.</p>”,“”,“a:0:{}”,“ldln 408 couverture ldln 408 illustre les deux plus gros articles numéro premier chercheur américain nommé larry lowe concerne les activités entreprises par l’un des douze astronautes qui ont marché sur lune nbsp edgar mitchell mission apollo xiv janvier février 1971 sait que certains ces douze américains ont assez mal vécu leur réadaptation vie sur terre plusieurs d’entre eux sombrant dans différentes formes dépression pour edgar mitchell c’est tout contraire qui s’est produit nbsp son expérience lunaire été déclencheur d’un extraordinaire élan d’inspiration qui l’a amené entreprendre avec quelques autres une aventure intellectuelle spirituelle novatrice son ambition n’est rien moins que nbsp donner conscience humaine les moyens comprendre elle même c’est gildas bourdais que nous devons second ces très gros articles nbsp concerne les observations qui ont été faites phoenix arizona dans soirée mars 1997 pour résumer les choses deux mots disons que soir entre heures très nombreuses personnes dans ville ses environs observent passage silencieux gigantesques ovnis les uns forme boomerang les autres triangles sombres ces objets sont d’autant plus repérables qu’ils portent des lumières second épisode déroule deux heures plus tard quand voit des lumières mobiles loin dessus d’une chaîne montagnes les témoins qui signalent leurs observations 20h 20h30 s’entendent systématiquement répondre qu’il s’agissait fusées éclairantes lâchées par des avions d’attaque dans cadre d’un exercice sans doute des ont ils effectivement largué ces fusées éclairantes mais elles correspondent rien qui été observé deux heures plus tôt quelques raisons demander l’ordre n’a pas été donné aux l’air national guard larguer ces fusées justement pour fournir une explication aux observations boomerangs triangles favorisant une confusion totale entre les deux séries d’événements c’est d’autant plus plausible que gouverneur l’arizona fife symington ridiculisé les témoins sincères 20h 20h30 cours d’une conférence presse faisant monter sur scène comparse déguisé dix ans plus tard son mandat ayant pris fin pris sans doute remords bien dégagé certaines obligations admis publiquement qu’il avait lui même vers 20h15 objet triangulaire très grandes dimensions survoler silencieusement ville présenté ses excuses pour démenti fabriqué toutes pièces cette affaire des nbsp lumières phoenix nbsp est d’une grande importance compte parmi les meilleures observations d’ovnis par ailleurs elle dit long sur traitement officiel médiatique question autre gros article expose l’enquête réalisée 1977 par jean louis gouzien sur une observation faite saint roch indre loire 3h10 matin mai cette année l’objet été observé très près laissé des traces sol qui avaient une forme géométrique précise mesuraient dans leur plus grande dimension premier article numéro n’est pas des plus réjouissants puisqu’il nous parle disparition récente qui était incontestablement meilleure publication ufologique monde nbsp international ufo reporter iur éditée chicago par cufos john allen hynek center for ufo studies les causes cette disparition sont connues nbsp effondrement drastique nombre des abonnés nbsp désintérêt grandissant public pour une étude sérieuse problème ovni nbsp effets négatifs nombreuses émissions télévision qui ont présenté problème peu comme fife symington avait commenté les observations phoenix lendemain mars 1977 autre facteur très défavorable une publication comme iur est évidemment internet l’on trouve tout n’importe quoi notamment des séquences vidéo toute évidence trafiquées les gens notamment les jeunes aiment mieux taper sur clavier d’ordinateur que lire conserver des documents imprimés c’est ainsi mais est difficile croire que recherche vérité puisse trouver son compte faut savoir aussi que l’ensemble des facteurs qui sont venus bout d’iur menacent tout autant ldln vous trouverez également dans numéro 408 des observations récentes france trois cas supplémentaires nbsp crashes rien type vient ensuite article qui récapitule certain nombre cas probable nbsp interaction mentale nbsp entre témoin l’ovni qu’il observe qui présente deux nouveaux exemples dans bref 25ème chapitre série nbsp tout date pas d’hier michel rabatel nous raconte comment 1937 son père son grand père ont assisté plein jour passage basse altitude d’un disque très sombre qui portait des lumières bleues vient ensuite compilation par claude abgrall jean claude dufour nbsp quelques nouvelles reste planète dans toute dernière rubrique nbsp les nouvelles retiendra surtout sortie plus récent livre jean sider grande mystification tome nbsp mimétisme polymorphisme phénomène ovni cas récent nbsp gros nounours nbsp dans l’oregon crop circle découvert juin chécy près d’orléans notons enfin que les trois photos dernière page sont pas des photos surprises nbsp elles sont extraites d’une vidéo montrant passage plein jour d’un objet couleur blanche dans ciel nantes juin 2012”,“1”,“1”,“0”,“1”,“1”,“2”,“0”

LDLN 409/ldln409.jpg||LDLN409]\r\nTrois photos illustrent la première page de couverture de LDLN 409. La plus grande montre une magnifique montagne éclairée par le soleil couchant. Que vient faire cette montagne (le Grand Ferrand) dans une revue d’ufologie ? Elle se trouve là parce qu’elle a été le lieu, en 1974 ou 1975, d’un incident étrange, qu’on pourrait appeler « un crash de rien auditif » : le témoin, Michel Rabatel, n’a pas vu s’écraser un avion, il a entendu le bruit du moteur, puis une explosion, et ensuite, plus rien. Curieusement, la personne qui l’accompagnait n’a pas perçu le bruit de l’explosion. Toujours est-il que, bien que le soir fût sur le point de tomber, ils ont escaladé la montagne pour porter secours à d’éventuels survivants. Mais ils n’ont rien trouvé, ils ont appelé en vain, puis il leur a fallu redescendre, ce qui n’était pas simple, car la nuit était tombée. \r\n\r\n Les deux autres photos de la page de couverture sont ce qu’on appelle des photos-surprises. Les exemples continuent à se multiplier, et on ne sait toujours pas à quoi on a affaire. On imagine souvent qu’il puisse s’agir d’«ovnis invisibles à l’œil nu », mais rien n’est certain, et les convictions fortes, dans un sens comme dans l’autre, ne résolvent pas le problème, qui dure depuis une quinzaine d’années…\r\n\r\n Jacques Bonabot nous explique comment, le 14 mars 2005, un étrange objet (qui ne ressemble en rien à l’idée qu’on se fait généralement des ovnis !) s’est manifesté sur un aérodrome belge. Il note une certaine ressemblance avec le cas de Guidonia, en Italie, le 17 juin 1993 (voir LDLN 334, pp. 6 à 11).\r\n\r\n Gilbert Rivière a recueilli un témoignage extrêmement étonnant, qui est à ajouter à la longue liste des RR3 françaises : un homme qui était en 1996 un appelé du contingent lui a expliqué comment, une nuit pluvieuse où il était de garde, il a soudain eu affaire à deux personnages, étrangement calmes, qui lui ont dit « avoir un problème avec leur engin ». Leur présence était parfaitement incongrue en ces lieux, mais il les as suivis sans demander d’explication. Cela montre, une fois de plus, qu’en présence de ce genre de phénomène, les témoins peuvent adopter des comportements inadaptés, comme s’ils se trouvaient sous influence. Il a constaté que ces deux personnages marchaient sans que leurs pieds touchent le sol !\r\n\r\n Karim Derradji nous raconte ensuite comment, une nuit, un phénomène lumineux lui a paru répondre, immédiatement, à une pensée qu’il avait eue. Ce cas est intéressant, parce qu’on connaît de plus en plus de cas qui semblent prouver la réalité de certaines interactions mentales entre le phénomène ovni et des témoins.\r\n\r\n C’est ensuite un cas d’OMGD (observations multiples à grande distance) qui fait l’objet d’une mise au point. Il s’agit de l’affaire du 6 juin 1983 : ce soir-là vers 23 heures, six témoins ou groupes de témoins (certainement pas moins de 13 personnes) ont observé le passage sur la côte varoise, d’un objet silencieux, en forme de cigare, avec des « hublots » et de fortes lumières à ses extrémités. Nous reviendrons sur cette affaire, puisque c’est très probablement le même objet qui a été observé sur au moins trois sites, en Italie.\r\n\r\n La rubrique « observations récentes en France » témoigne d’une activité assez faible de phénomène au cours de la fin du printemps et du début de l’été 2012 : nous sommes loin de ce qui se passait en 2011, année riche en observations. C’est ainsi : la fréquence des apparitions fluctue avec une grande amplitude, et la belle saison 2012 semble (à première vue) avoir été dans l’ensemble assez calme. Nous verrons dans le numéro 410 qu’il n’en est rien. Mais n’anticipons pas…\r\n\r\n Jean Sider nous propose ensuite la première partie d’une étude qu’il a réalisée sur un sujet aux frontières de la cryptozoologie, puis nous trouvons la troisième et dernière partie de l’article sur les « roues lumineuses sous la mer ». Ce sujet présente des points communs très marqués avec l’ufologie : les innombrables témoins de ces « roues lumineuses » ont pu, dans certains cas, être victimes d’un effet d’optique les amenant à percevoir un ensemble de barres lumineuses parallèles comme une roue en rotation, mais cela n’explique en rien le phénomène, et on ne comprend toujours pas pourquoi les avions et les satellites d’observation ne confirme pas (à une exception près) ce que tant de marins ont vu de près.\r\n\r\n Jean-Claude Dufour nous raconte trois observations faites dans la région de Nice, il y a plus de quarante ans. Elles posaient déjà, à l’époque, les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. En particulier, on ne comprend vraiment pas comment un spectacle qui paraît s’offrir à une foule peut passer inaperçu à presque tous.\r\n\r\n Bernard Varizat et trois personnes de sa famille ont été témoins du passage d’un « boomerang » portant des lumières, à Montélimar, le 5 août 1994. Il a eu l’excellente idée, le lendemain matin, de dessiner ce qu’il avait vu, et de demander aux trois autres témoins d’en faire autant, chacun de son côté. Nous disposons ainsi de quatre dessins représentant le même phénomène. On peut constater à peu près autant de similitudes que de différences, mais les quatre dessins ne laissent planer aucun doute sur la réalité de l’observation.\r\n\r\n Plusieurs apparitions d’ovnis sont ensuite exposées, dont deux cas d’atterrissages qui remontent aux années soixante-dix. Et comme tous les autres, ce numéro se termine par la rubrique « les nouvelles » dans laquelle on verra, entre autres choses, qu’un « crash de rien » peut (peut-être) concerner non pas un aéronef, mais bel et bien … une voiture ! Tout cela reste hypothétique, et n’est envisageable que si on veut bien admettre que les explications les plus triviales ne sont pas toujours les meilleures.“,”<p><a href=\“/blog/public/Couvertures/400/ldln409.jpg\” title=\“LDLN409\”><img src=\“/blog/public/Couvertures/400/.ldln409_m.jpg\” alt=\“LDLN409\” style=\“float:right; margin: 0 0 1em 1em;\” title=\“LDLN409, oct. 2012\” /></a>\nTrois photos illustrent la première page de couverture de LDLN 409. La plus grande montre une magnifique montagne éclairée par le soleil couchant. Que vient faire cette montagne (le Grand Ferrand) dans une revue d’ufologie&nbsp;? Elle se trouve là parce qu’elle a été le lieu, en 1974 ou 1975, d’un incident étrange, qu’on pourrait appeler «&nbsp;un crash de rien auditif&nbsp;» : le témoin, Michel Rabatel, n’a pas vu s’écraser un avion, il a entendu le bruit du moteur, puis une explosion, et ensuite, plus rien. Curieusement, la personne qui l’accompagnait n’a pas perçu le bruit de l’explosion. Toujours est-il que, bien que le soir fût sur le point de tomber, ils ont escaladé la montagne pour porter secours à d’éventuels survivants. Mais ils n’ont rien trouvé, ils ont appelé en vain, puis il leur a fallu redescendre, ce qui n’était pas simple, car la nuit était tombée.</p>\n\n\n<p>Les deux autres photos de la page de couverture sont ce qu’on appelle des photos-surprises. Les exemples continuent à se multiplier, et on ne sait toujours pas à quoi on a affaire. On imagine souvent qu’il puisse s’agir d’«ovnis invisibles à l’œil nu », mais rien n’est certain, et les convictions fortes, dans un sens comme dans l’autre, ne résolvent pas le problème, qui dure depuis une quinzaine d’années…</p>\n\n\n<p><strong>Jacques Bonabot</strong> nous explique comment, le 14 mars 2005, un étrange objet (qui ne ressemble en rien à l’idée qu’on se fait généralement des ovnis !) s’est manifesté sur un aérodrome belge. Il note une certaine ressemblance avec le cas de Guidonia, en Italie, le 17 juin 1993 (voir LDLN 334, pp. 6 à 11).</p>\n\n\n<p><strong>Gilbert Rivière</strong> a recueilli un témoignage extrêmement étonnant, qui est à ajouter à la longue liste des RR3 françaises&nbsp;: un homme qui était en 1996 un appelé du contingent lui a expliqué comment, une nuit pluvieuse où il était de garde, il a soudain eu affaire à deux personnages, étrangement calmes, qui lui ont dit «&nbsp;avoir un problème avec leur engin ». Leur présence était parfaitement incongrue en ces lieux, mais il les as suivis sans demander d’explication. Cela montre, une fois de plus, qu’en présence de ce genre de phénomène, les témoins peuvent adopter des comportements inadaptés, comme s’ils se trouvaient sous influence. Il a constaté que ces deux personnages marchaient sans que leurs pieds touchent le sol&nbsp;!</p>\n\n\n<p><strong>Karim Derradji</strong> nous raconte ensuite comment, une nuit, un phénomène lumineux lui a paru répondre, immédiatement, à une pensée qu’il avait eue. Ce cas est intéressant, parce qu’on connaît de plus en plus de cas qui semblent prouver la réalité de certaines interactions mentales entre le phénomène ovni et des témoins.</p>\n\n\n<p>C’est ensuite un cas d’<strong>OMGD</strong> (observations multiples à grande distance) qui fait l’objet d’une mise au point. Il s’agit de l’affaire du 6 juin 1983&nbsp;: ce soir-là vers 23 heures, six témoins ou groupes de témoins (certainement pas moins de 13 personnes) ont observé le passage sur la côte varoise, d’un objet silencieux, en forme de cigare, avec des «&nbsp;hublots&nbsp;» et de fortes lumières à ses extrémités. Nous reviendrons sur cette affaire, puisque c’est très probablement le même objet qui a été observé sur au moins trois sites, en Italie.</p>\n\n\n<p>La rubrique «&nbsp;observations récentes en France&nbsp;» témoigne d’une activité assez faible de phénomène au cours de la fin du printemps et du début de l’été 2012&nbsp;: nous sommes loin de ce qui se passait en 2011, année riche en observations. C’est ainsi&nbsp;: la fréquence des apparitions fluctue avec une grande amplitude, et la belle saison 2012 semble (à première vue) avoir été dans l’ensemble assez calme. Nous verrons dans le numéro 410 qu’il n’en est rien. Mais n’anticipons pas…</p>\n\n\n<p><strong>Jean Sider</strong> nous propose ensuite la première partie d’une étude qu’il a réalisée sur un sujet aux frontières de la cryptozoologie, puis nous trouvons la troisième et dernière partie de l’article sur les «&nbsp;roues lumineuses sous la mer ». Ce sujet présente des points communs très marqués avec l’ufologie&nbsp;: les innombrables témoins de ces «&nbsp;roues lumineuses&nbsp;» ont pu, dans certains cas, être victimes d’un effet d’optique les amenant à percevoir un ensemble de barres lumineuses parallèles comme une roue en rotation, mais cela n’explique en rien le phénomène, et on ne comprend toujours pas pourquoi les avions et les satellites d’observation ne confirme pas (à une exception près) ce que tant de marins ont vu de près.</p>\n\n\n<p><strong>Jean-Claude Dufour</strong> nous raconte trois observations faites dans la région de Nice, il y a plus de quarante ans. Elles posaient déjà, à l’époque, les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. En particulier, on ne comprend vraiment pas comment un spectacle qui paraît s’offrir à une foule peut passer inaperçu à presque tous.</p>\n\n\n<p><strong>Bernard Varizat</strong> et trois personnes de sa famille ont été témoins du passage d’un «&nbsp;boomerang&nbsp;» portant des lumières, à Montélimar, le 5 août 1994. Il a eu l’excellente idée, le lendemain matin, de dessiner ce qu’il avait vu, et de demander aux trois autres témoins d’en faire autant, chacun de son côté. Nous disposons ainsi de quatre dessins représentant le même phénomène. On peut constater à peu près autant de similitudes que de différences, mais les quatre dessins ne laissent planer aucun doute sur la réalité de l’observation.</p>\n\n\n<p>Plusieurs apparitions d’ovnis sont ensuite exposées, dont deux cas d’atterrissages qui remontent aux années soixante-dix. Et comme tous les autres, ce numéro se termine par la rubrique «&nbsp;les nouvelles&nbsp;» dans laquelle on verra, entre autres choses, qu’un «&nbsp;crash de rien&nbsp;» peut (peut-être) concerner non pas un aéronef, mais bel et bien … une voiture&nbsp;! Tout cela reste hypothétique, et n’est envisageable que si on veut bien admettre que les explications les plus triviales ne sont pas toujours les meilleures.</p>“,”“,”a:0:{}“,”ldln 409 trois photos illustrent première page couverture ldln 409 plus grande montre une magnifique montagne éclairée par soleil couchant que vient faire cette montagne grand ferrand dans une revue d’ufologie nbsp elle trouve parce qu’elle été lieu 1974 1975 d’un incident étrange qu’on pourrait appeler nbsp crash rien auditif nbsp témoin michel rabatel n’a pas s’écraser avion entendu bruit moteur puis une explosion ensuite plus rien curieusement personne qui l’accompagnait n’a pas perçu bruit l’explosion toujours est que bien que soir fût sur point tomber ils ont escaladé montagne pour porter secours d’éventuels survivants mais ils n’ont rien trouvé ils ont appelé vain puis leur fallu redescendre qui n’était pas simple car nuit était tombée les deux autres photos page couverture sont qu’on appelle des photos surprises les exemples continuent multiplier sait toujours pas quoi affaire imagine souvent qu’il puisse s’agir ovnis invisibles l’œil mais rien n’est certain les convictions fortes dans sens comme dans l’autre résolvent pas problème qui dure depuis une quinzaine d’années jacques bonabot nous explique comment mars 2005 étrange objet qui ressemble rien l’idée qu’on fait généralement des ovnis s’est manifesté sur aérodrome belge note une certaine ressemblance avec cas guidonia italie juin 1993 voir ldln 334 gilbert rivière recueilli témoignage extrêmement étonnant qui est ajouter longue liste des rr3 françaises nbsp homme qui était 1996 appelé contingent lui expliqué comment une nuit pluvieuse était garde soudain affaire deux personnages étrangement calmes qui lui ont dit nbsp avoir problème avec leur engin leur présence était parfaitement incongrue ces lieux mais les suivis sans demander d’explication cela montre une fois plus qu’en présence genre phénomène les témoins peuvent adopter des comportements inadaptés comme s’ils trouvaient sous influence constaté que ces deux personnages marchaient sans que leurs pieds touchent sol nbsp karim derradji nous raconte ensuite comment une nuit phénomène lumineux lui paru répondre immédiatement une pensée qu’il avait eue cas est intéressant parce qu’on connaît plus plus cas qui semblent prouver réalité certaines interactions mentales entre phénomène ovni des témoins c’est ensuite cas d’omgd observations multiples grande distance qui fait l’objet d’une mise point s’agit l’affaire juin 1983 nbsp soir vers heures six témoins groupes témoins certainement pas moins personnes ont observé passage sur côte varoise d’un objet silencieux forme cigare avec des nbsp hublots nbsp fortes lumières ses extrémités nous reviendrons sur cette affaire puisque c’est très probablement même objet qui été observé sur moins trois sites italie rubrique nbsp observations récentes france nbsp témoigne d’une activité assez faible phénomène cours fin printemps début l’été 2012 nbsp nous sommes loin qui passait 2011 année riche observations c’est ainsi nbsp fréquence des apparitions fluctue avec une grande amplitude belle saison 2012 semble première vue avoir été dans l’ensemble assez calme nous verrons dans numéro 410 qu’il n’en est rien mais n’anticipons pas… jean sider nous propose ensuite première partie d’une étude qu’il réalisée sur sujet aux frontières cryptozoologie puis nous trouvons troisième dernière partie l’article sur les nbsp roues lumineuses sous mer sujet présente des points communs très marqués avec l’ufologie nbsp les innombrables témoins ces nbsp roues lumineuses nbsp ont dans certains cas être victimes d’un effet d’optique les amenant percevoir ensemble barres lumineuses parallèles comme une roue rotation mais cela n’explique rien phénomène comprend toujours pas pourquoi les avions les satellites d’observation confirme pas une exception près que tant marins ont près jean claude dufour nous raconte trois observations faites dans région nice plus quarante ans elles posaient déjà l’époque les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui particulier comprend vraiment pas comment spectacle qui paraît s’offrir une foule peut passer inaperçu presque tous bernard varizat trois personnes famille ont été témoins passage d’un nbsp boomerang nbsp portant des lumières montélimar août 1994 l’excellente idée lendemain matin dessiner qu’il avait demander aux trois autres témoins d’en faire autant chacun son côté nous disposons ainsi quatre dessins représentant même phénomène peut constater peu près autant similitudes que différences mais les quatre dessins laissent planer aucun doute sur réalité l’observation plusieurs apparitions d’ovnis sont ensuite exposées dont deux cas d’atterrissages qui remontent aux années soixante dix comme tous les autres numéro termine par rubrique nbsp les nouvelles nbsp dans laquelle verra entre autres choses qu’un nbsp crash rien nbsp peut peut être concerner non pas aéronef mais bel bien une voiture nbsp tout cela reste hypothétique n’est envisageable que veut bien admettre que les explications les plus triviales sont pas toujours les meilleures“,”1“,”1“,”0“,”1“,”1“,”0“,”0“

LDLN 410/ldln410.jpg||LDLN410]\r\nLa question des ‘’interactions mentales’’ commence à préoccuper les observateurs sérieux du phénomène OVNI. C’est ainsi qu’on trouve tout d’abord, dans ce numéro 410, le témoignage d’Arnaud Charpentier, qui cite un exemple d’ ‘’amnésie’’ chez un témoin, membre de sa famille. (Un autre exemple sera exposé, non pas dans le prochain numéro, mais dans le 412). On comprend de moins en moins comment des personnes qui ont assisté à des apparitions extrêmement étranges peuvent, quelque temps plus tard, n’en conserver aucun souvenir … alors que les autres témoins du même événement s’en souviennent très bien.\r\n\r\nLe second sujet abordé dans ce numéro 410 est plus inquiétant : il s’agit d’une série de disparitions inexpliquées de personnes, dans une région où les apparitions d’ovnis sont particulièrement fréquentes, depuis assez longtemps. Curieusement, l’annonce de ces disparitions dans les médias est restée sans suite. Ce silence pose question…\r\n\r\nJean-Claude Dufour évoque ensuite une étrange affaire (qu’il qualifie d’ « abduction présumée ») dans les Alpes Maritimes, il y a une quinzaine d’années. C’est rare (heureusement !), mais ça existe : il existe des témoins qui, à la suite d’une rencontre rapprochée, changent soudain d’attitude, et refusent d’expliquer ce qui leur est arrivé, comme s’ils éprouvaient une grande peur. On a du mal à imaginer qu’il puisse s’agir là de quelque chose d’anodin.\r\n\r\nUn autre cas de rencontre très rapprochée nous est présenté par Laurent Boulanger. Ce cas est probablement assimilable aux cas d’abductions révélés, aux Etats-Unis, par Budd Hopkins, John Mack, et plusieurs autres chercheurs : il est question, en effet, non seulement d’une rencontre extrêmement rapprochée, mais d’une interruption inexpliquée de grossesse, qui a immédiatement suivi l’incident.\r\n\r\nDenis Porcher apporte un cas de plus au dossier ovnis/nucléaire, avec une seconde observation (voir LDLN 401) d’une lumière nocturne par des militaires assurant, de nuit, la garde de la Base Aérienne de Saint-Dizier, à l’époque des Mirage IV et des Jaguar. Faut-il douter de l’authenticité des faits ? La source de l’information n’est autre que… le site du Geipan !\r\n\r\nNous pensions, 58 ans après la grande vague de 1954, n’avoir pratiquement aucune chance de recueillir de nouveaux éléments à son sujet. Erreur ! Alain Raux nous expose la RR3 vécue par sa mère, à Saint-Raphaël (Var), alors qu’il allait avoir un an. La date n’est pas connue avec précision (on sait seulement que c’était en été), mais l’endroit est parfaitement localisé sur le plan cadastral.\r\n\r\nDans un tout autre registre, Jean Goupil (auteur du livre Les ovnis, une intelligence artificielle) nous explique, entre autres choses, comment, dans un avenir qu’on imagine assez lointain, la science pourrait déboucher sur des technologies permettant de fabriquer des armées de nano-robots qui pourraient produire les ‘’prodiges’’ qu’observent aujourd’hui les témoins d’apparitions d’ovnis. La miniaturisation se poursuivra-t-elle jusqu’à ce stade ? La perspective a quelque chose d’effrayant, mais elle n’a rien d’insensé, et l’existence, d’ores et déjà, de choses comme les drones de très petite taille, rend l’hypothèse envisageable.\r\n\r\nAprès un exemple (assez étonnant) de ‘’cas jumeaux’’ la rubrique ‘’observations récentes en France’’ expose dix-neuf cas survenus entre le printemps et le 8 novembre 2012. On retiendra notamment une description précise d’un objet observé à courte distance, en Haute-Loire, le 24 octobre, et un curieux événement qui a déclenché la mise en œuvre des moyens de secours, à Cagnes-sur-Mer, le 8 novembre.\r\n\r\nVient ensuite la seconde partie de l’étude de Jean Sider sur les « canidés d’un genre très spécial », puis Jean-Michel Marie ajoute une pièce au dossier avec la « bête de Cinglais » (1632) : une affaire qui rappelle beaucoup celle de la bête du Gévaudan.\r\n\r\nNotons que l’offre concernant les anciens numéros (p. 38) est modifiée à partir du 18 janvier 2013: les 96 numéros proposés à un prix très intéressant sont désormais les suivants : 303 à 398, et non plus 302 à 397.”,“<p><a href=\”/blog/public/Couvertures/400/ldln410.jpg\“ title=\”LDLN410\“><img src=\”/blog/public/Couvertures/400/.ldln410_m.jpg\“ alt=\”LDLN410\“ style=\”float:right; margin: 0 0 1em 1em;\“ title=\”LDLN410, août 2013\“ /></a>\nLa question des ‘’interactions mentales’’ commence à préoccuper les observateurs sérieux du phénomène OVNI. C’est ainsi qu’on trouve tout d’abord, dans ce numéro 410, le témoignage d’Arnaud Charpentier, qui cite un exemple d’ ‘’amnésie’’ chez un témoin, membre de sa famille. (Un autre exemple sera exposé, non pas dans le prochain numéro, mais dans le 412). On comprend de moins en moins comment des personnes qui ont assisté à des apparitions extrêmement étranges peuvent, quelque temps plus tard, n’en conserver aucun souvenir … alors que les autres témoins du même événement s’en souviennent très bien.</p>\n\n\n<p>Le second sujet abordé dans ce numéro 410 est plus inquiétant&nbsp;: il s’agit d’une série de disparitions inexpliquées de personnes, dans une région où les apparitions d’ovnis sont particulièrement fréquentes, depuis assez longtemps. Curieusement, l’annonce de ces disparitions dans les médias est restée sans suite. Ce silence pose question…</p>\n\n\n<p>Jean-Claude Dufour évoque ensuite une étrange affaire (qu’il qualifie d’ «&nbsp;abduction présumée ») dans les Alpes Maritimes, il y a une quinzaine d’années. C’est rare (heureusement !), mais ça existe&nbsp;: il existe des témoins qui, à la suite d’une rencontre rapprochée, changent soudain d’attitude, et refusent d’expliquer ce qui leur est arrivé, comme s’ils éprouvaient une grande peur. On a du mal à imaginer qu’il puisse s’agir là de quelque chose d’anodin.</p>\n\n\n<p>Un autre cas de rencontre très rapprochée nous est présenté par Laurent Boulanger. Ce cas est probablement assimilable aux cas d’abductions révélés, aux Etats-Unis, par Budd Hopkins, John Mack, et plusieurs autres chercheurs&nbsp;: il est question, en effet, non seulement d’une rencontre extrêmement rapprochée, mais d’une interruption inexpliquée de grossesse, qui a immédiatement suivi l’incident.</p>\n\n\n<p>Denis Porcher apporte un cas de plus au dossier ovnis/nucléaire, avec une seconde observation (voir LDLN 401) d’une lumière nocturne par des militaires assurant, de nuit, la garde de la Base Aérienne de Saint-Dizier, à l’époque des Mirage IV et des Jaguar. Faut-il douter de l’authenticité des faits&nbsp;? La source de l’information n’est autre que… le site du Geipan&nbsp;!</p>\n\n\n<p>Nous pensions, 58 ans après la grande vague de 1954, n’avoir pratiquement aucune chance de recueillir de nouveaux éléments à son sujet. Erreur&nbsp;! Alain Raux nous expose la RR3 vécue par sa mère, à Saint-Raphaël (Var), alors qu’il allait avoir un an. La date n’est pas connue avec précision (on sait seulement que c’était en été), mais l’endroit est parfaitement localisé sur le plan cadastral.</p>\n\n\n<p>Dans un tout autre registre, Jean Goupil (auteur du livre Les ovnis, une intelligence artificielle) nous explique, entre autres choses, comment, dans un avenir qu’on imagine assez lointain, la science pourrait déboucher sur des technologies permettant de fabriquer des armées de nano-robots qui pourraient produire les ‘’prodiges’’ qu’observent aujourd’hui les témoins d’apparitions d’ovnis. La miniaturisation se poursuivra-t-elle jusqu’à ce stade&nbsp;? La perspective a quelque chose d’effrayant, mais elle n’a rien d’insensé, et l’existence, d’ores et déjà, de choses comme les drones de très petite taille, rend l’hypothèse envisageable.</p>\n\n\n<p>Après un exemple (assez étonnant) de ‘’cas jumeaux’’ la rubrique ‘’observations récentes en France’’ expose dix-neuf cas survenus entre le printemps et le 8 novembre 2012. On retiendra notamment une description précise d’un objet observé à courte distance, en Haute-Loire, le 24 octobre, et un curieux événement qui a déclenché la mise en œuvre des moyens de secours, à Cagnes-sur-Mer, le 8 novembre.</p>\n\n\n<p>Vient ensuite la seconde partie de l’étude de Jean Sider sur les «&nbsp;canidés d’un genre très spécial », puis Jean-Michel Marie ajoute une pièce au dossier avec la «&nbsp;bête de Cinglais&nbsp;» (1632)&nbsp;: une affaire qui rappelle beaucoup celle de la bête du Gévaudan.</p>\n\n\n<p>Notons que l’offre concernant les anciens numéros (p. 38) est modifiée à partir du 18 janvier 2013: les 96 numéros proposés à un prix très intéressant sont désormais les suivants&nbsp;: 303 à 398, et non plus 302 à 397.</p>”,“”,“a:0:{}”,“ldln 410 question des ‘’interactions mentales’’ commence préoccuper les observateurs sérieux phénomène ovni c’est ainsi qu’on trouve tout d’abord dans numéro 410 témoignage d’arnaud charpentier qui cite exemple ‘’amnésie’’ chez témoin membre famille autre exemple sera exposé non pas dans prochain numéro mais dans 412 comprend moins moins comment des personnes qui ont assisté des apparitions extrêmement étranges peuvent quelque temps plus tard n’en conserver aucun souvenir alors que les autres témoins même événement s’en souviennent très bien second sujet abordé dans numéro 410 est plus inquiétant nbsp s’agit d’une série disparitions inexpliquées personnes dans une région les apparitions d’ovnis sont particulièrement fréquentes depuis assez longtemps curieusement l’annonce ces disparitions dans les médias est restée sans suite silence pose question… jean claude dufour évoque ensuite une étrange affaire qu’il qualifie nbsp abduction présumée dans les alpes maritimes une quinzaine d’années c’est rare heureusement mais existe nbsp existe des témoins qui suite d’une rencontre rapprochée changent soudain d’attitude refusent d’expliquer qui leur est arrivé comme s’ils éprouvaient une grande peur mal imaginer qu’il puisse s’agir quelque chose d’anodin autre cas rencontre très rapprochée nous est présenté par laurent boulanger cas est probablement assimilable aux cas d’abductions révélés aux etats unis par budd hopkins john mack plusieurs autres chercheurs nbsp est question effet non seulement d’une rencontre extrêmement rapprochée mais d’une interruption inexpliquée grossesse qui immédiatement suivi l’incident denis porcher apporte cas plus dossier ovnis nucléaire avec une seconde observation voir ldln 401 d’une lumière nocturne par des militaires assurant nuit garde base aérienne saint dizier l’époque des mirage des jaguar faut douter l’authenticité des faits nbsp source l’information n’est autre que… site geipan nbsp nous pensions ans après grande vague 1954 n’avoir pratiquement aucune chance recueillir nouveaux éléments son sujet erreur nbsp alain raux nous expose rr3 vécue par mère saint raphaël var alors qu’il allait avoir date n’est pas connue avec précision sait seulement que c’était été mais l’endroit est parfaitement localisé sur plan cadastral dans tout autre registre jean goupil auteur livre les ovnis une intelligence artificielle nous explique entre autres choses comment dans avenir qu’on imagine assez lointain science pourrait déboucher sur des technologies permettant fabriquer des armées nano robots qui pourraient produire les ‘’prodiges’’ qu’observent aujourd’hui les témoins d’apparitions d’ovnis miniaturisation poursuivra elle jusqu’à stade nbsp perspective quelque chose d’effrayant mais elle n’a rien d’insensé l’existence d’ores déjà choses comme les drones très petite taille rend l’hypothèse envisageable après exemple assez étonnant ‘’cas jumeaux’’ rubrique ‘’observations récentes france’’ expose dix neuf cas survenus entre printemps novembre 2012 retiendra notamment une description précise d’un objet observé courte distance haute loire octobre curieux événement qui déclenché mise œuvre des moyens secours cagnes sur mer novembre vient ensuite seconde partie l’étude jean sider sur les nbsp canidés d’un genre très spécial puis jean michel marie ajoute une pièce dossier avec nbsp bête cinglais nbsp 1632 nbsp une affaire qui rappelle beaucoup celle bête gévaudan notons que l’offre concernant les anciens numéros est modifiée partir janvier 2013 les numéros proposés prix très intéressant sont désormais les suivants nbsp 303 398 non plus 302 397”,“1”,“1”,“0”,“1”,“1”,“1”,“0”

LDLN 411/ldln411.jpg||LDLN411]\r\nLes deux images de couverture de ce numéro 411 se rapportent à des observations récentes en France. La première est un joli photo-montage de Daniel Olivan, qui illustre une observation faite par deux personnes, à Bodilis (Finistère), le 16 février 2012 à 0 h 30 du matin : un triangle sombre, bordé de lumières rouges, coupe la route juste devant la voiture des témoins, si bas que cet ovni est peut-être responsable du bris d’une branche d’un chêne, qu’on voit distinctement au premier plan.\r\n\r\n La deuxième image est la photo d’une radiographie qui semble révéler la présence d’un implant ! Le lien entre cette radio et le phénomène ovni est clair : moins de 5 mois après la prise de ce cliché, le sexagénaire concerné et sa fille ont fait une observation assez rapprochée, aussitôt suivie d’anomalies dans leur environnement. \r\n\r\n Ce ne sont là que deux de nos ‘’observations récentes en France’’, mais ce sont les plus frappantes et les mieux documentées.\r\n\r\n Avant cette rubrique, le premier article décrit avec beaucoup de précision l’observation (O combien rapprochée !) d’un ‘’triangle’’, non loin de Béthune, en novembre 2002. Le témoin, qui était en voiture, est passé juste sous l’objet… ce qui lui a permis d’observer de curieux détails sur la surface inférieure.\r\n\r\n Ensuite, après une mise au point (probablement définitive) sur l’affaire des faisceaux coudés de Rebouillon, vous trouverez un témoignage qui vient compléter la documentation sur les étranges événements du 18 mars 1972, puis un long article sur une RR3 marocaine. Plus bref est le récit, par Didier Leroux, de l’incroyable rencontre que son trisaïeul racontait en famille, en affirmant l’avoir réellement vécue. L’affaire devait paraître invraisemblable à l’époque !\r\n\r\n On retrouve le mystère des implants avec un article de Gildas Bourdais sur le dernier livre du Dr Leir, livre qu’il a traduit en français.\r\n\r\n Grâce à Maurice Thil, nous avons ensuite l’exposé de cinq observations d’ovnis qu’il a trouvées dans la collection du Marine Observer.\r\n\r\nL’article suivant expose quatre affaires révélatrices de caractères qu’on trouve, de manière récurrente, dans les témoignages Ovni. Dans un cas suisse, l’environnement, généralement très animé à cette heure de la journée, est désert au moment où l’ovni apparaît. A La Neuville-les-Bray (dans la Somme), le témoin vient de s’installer, un soir, pour faire de la photo astronomique ; survient un objet lumineux, qui disparaît derrière des arbres, puis remonte en oblique et disparaît. Le photographe n’a pas eu le réflexe de photographier la chose ! Dans le cas survenu à Nice, le 1er juillet 1996, le témoin se repose sur son lit, quand une soudaine impulsion l’amène à regarder à l’extérieur. Il observe alors le passage d’objets non identifiés… et fort heureusement, il fait des photos. Dans le dernier cas, à Salonique, les témoins sont nombreux, mais la plupart d’entre eux ‘’oublient’’ presque aussitôt ce qu’ils viennent de voir.\r\n\r\nJean Sider nous entretient ensuite d’un sujet qu’il a beaucoup étudié, et qui constitue une caractéristique majeure du phénomène : le mimétisme et le polymorphisme des ovnis. C’est aussi le sujet de son dernier livre. Dans le même ordre d’idées, Michel Pasdeloup nous cite le témoignage du Prince Youssopof, l’homme qui est venu à bout de Raspoutine : il a tout simplement observé, de nuit et en présence d’autres témoins… un faux train !\r\n\r\nDans la rubrique ‘’les Nouvelles’’, on retiendra notamment un récapitulatif de 17 cas de bêtes fauves, signalés en France entre octobre 1995 et janvier 2013 : des panthères noires, des crocodiles, un ours, des pumas, une lionne… qui disparaissent comme par enchantement, et dont on ne retrouve jamais les carcasses. Ironie du sort : au moment où ce numéro de LDLN sortait de l’imprimerie, ce tableau récapitulatif était déjà caduc : il faut maintenant ajouter trois panthères noires de plus, ainsi qu’un puma ! Nous verrons cela dans LDLN 412.“,”<p><a href=\“/blog/public/Couvertures/400/ldln411.jpg\” title=\“LDLN411\”><img src=\“/blog/public/Couvertures/400/.ldln411_m.jpg\” alt=\“LDLN411\” style=\“float:right; margin: 0 0 1em 1em;\” title=\“LDLN411, août 2013\” /></a>\nLes deux images de couverture de ce numéro 411 se rapportent à des observations récentes en France. La première est un joli photo-montage de <strong>Daniel Olivan</strong>, qui illustre une observation faite par deux personnes, à Bodilis (Finistère), le 16 février 2012 à 0 h 30 du matin&nbsp;: un triangle sombre, bordé de lumières rouges, coupe la route juste devant la voiture des témoins, si bas que cet ovni est peut-être responsable du bris d’une branche d’un chêne, qu’on voit distinctement au premier plan.</p>\n\n\n<p>La deuxième image est la photo d’une radiographie qui semble révéler la présence d’un implant&nbsp;! Le lien entre cette radio et le phénomène ovni est clair&nbsp;: moins de 5 mois après la prise de ce cliché, le sexagénaire concerné et sa fille ont fait une observation assez rapprochée, aussitôt suivie d’anomalies dans leur environnement.</p>\n\n\n<p>Ce ne sont là que deux de nos ‘’observations récentes en France’’, mais ce sont les plus frappantes et les mieux documentées.</p>\n\n\n<p>Avant cette rubrique, le premier article décrit avec beaucoup de précision l’observation (O combien rapprochée !) d’un ‘’triangle’’, non loin de Béthune, en novembre 2002. Le témoin, qui était en voiture, est passé juste sous l’objet… ce qui lui a permis d’observer de curieux détails sur la surface inférieure.</p>\n\n\n<p>Ensuite, après une mise au point (probablement définitive) sur l’<strong>affaire des faisceaux coudés de Rebouillon</strong>, vous trouverez un témoignage qui vient compléter la documentation sur les étranges événements du 18 mars 1972, puis un long article sur une RR3 marocaine. Plus bref est le récit, par <strong>Didier Leroux</strong>, de l’incroyable rencontre que son trisaïeul racontait en famille, en affirmant l’avoir réellement vécue. L’affaire devait paraître invraisemblable à l’époque&nbsp;!</p>\n\n\n<p>On retrouve le mystère des implants avec un article de <strong>Gildas Bourdais</strong> sur le dernier livre du <strong>Dr Leir</strong>, livre qu’il a traduit en français.</p>\n\n\n<p>Grâce à <strong>Maurice Thil</strong>, nous avons ensuite l’exposé de cinq observations d’ovnis qu’il a trouvées dans la collection du Marine Observer.</p>\n\n\n<p>L’article suivant expose quatre affaires révélatrices de caractères qu’on trouve, de manière récurrente, dans les témoignages Ovni. Dans un cas suisse, l’environnement, généralement très animé à cette heure de la journée, est désert au moment où l’ovni apparaît. A La Neuville-les-Bray (dans la Somme), le témoin vient de s’installer, un soir, pour faire de la photo astronomique&nbsp;; survient un objet lumineux, qui disparaît derrière des arbres, puis remonte en oblique et disparaît. Le photographe n’a pas eu le réflexe de photographier la chose&nbsp;! Dans le cas survenu à Nice, le 1er juillet 1996, le témoin se repose sur son lit, quand une soudaine impulsion l’amène à regarder à l’extérieur. Il observe alors le passage d’objets non identifiés… et fort heureusement, il fait des photos. Dans le dernier cas, à Salonique, les témoins sont nombreux, mais la plupart d’entre eux ‘’oublient’’ presque aussitôt ce qu’ils viennent de voir.</p>\n\n\n<p><strong>Jean Sider</strong> nous entretient ensuite d’un sujet qu’il a beaucoup étudié, et qui constitue une caractéristique majeure du phénomène&nbsp;: le mimétisme et le polymorphisme des ovnis. C’est aussi le sujet de son dernier livre. Dans le même ordre d’idées, <strong>Michel Pasdeloup</strong> nous cite le témoignage du <strong>Prince Youssopof</strong>, l’homme qui est venu à bout de Raspoutine&nbsp;: il a tout simplement observé, de nuit et en présence d’autres témoins… un faux train&nbsp;!</p>\n\n\n<p>Dans la rubrique ‘’les Nouvelles’’, on retiendra notamment un récapitulatif de 17 cas de bêtes fauves, signalés en France entre octobre 1995 et janvier 2013&nbsp;: des panthères noires, des crocodiles, un ours, des pumas, une lionne… qui disparaissent comme par enchantement, et dont on ne retrouve jamais les carcasses. Ironie du sort&nbsp;: au moment où ce numéro de LDLN sortait de l’imprimerie, ce tableau récapitulatif était déjà caduc&nbsp;: il faut maintenant ajouter trois panthères noires de plus, ainsi qu’un puma&nbsp;! Nous verrons cela dans LDLN 412.</p>“,”“,”a:0:{}“,”ldln 411 les deux images couverture numéro 411 rapportent des observations récentes france première est joli photo montage daniel olivan qui illustre une observation faite par deux personnes bodilis finistère février 2012 matin nbsp triangle sombre bordé lumières rouges coupe route juste devant voiture des témoins bas que cet ovni est peut être responsable bris d’une branche d’un chêne qu’on voit distinctement premier plan deuxième image est photo d’une radiographie qui semble révéler présence d’un implant nbsp lien entre cette radio phénomène ovni est clair nbsp moins mois après prise cliché sexagénaire concerné fille ont fait une observation assez rapprochée aussitôt suivie d’anomalies dans leur environnement sont que deux nos ‘’observations récentes france’’ mais sont les plus frappantes les mieux documentées avant cette rubrique premier article décrit avec beaucoup précision l’observation combien rapprochée d’un ‘’triangle’’ non loin béthune novembre 2002 témoin qui était voiture est passé juste sous l’objet… qui lui permis d’observer curieux détails sur surface inférieure ensuite après une mise point probablement définitive sur l’affaire des faisceaux coudés rebouillon vous trouverez témoignage qui vient compléter documentation sur les étranges événements mars 1972 puis long article sur une rr3 marocaine plus bref est récit par didier leroux l’incroyable rencontre que son trisaïeul racontait famille affirmant l’avoir réellement vécue l’affaire devait paraître invraisemblable l’époque nbsp retrouve mystère des implants avec article gildas bourdais sur dernier livre leir livre qu’il traduit français grâce maurice thil nous avons ensuite l’exposé cinq observations d’ovnis qu’il trouvées dans collection marine observer l’article suivant expose quatre affaires révélatrices caractères qu’on trouve manière récurrente dans les témoignages ovni dans cas suisse l’environnement généralement très animé cette heure journée est désert moment l’ovni apparaît neuville les bray dans somme témoin vient s’installer soir pour faire photo astronomique nbsp survient objet lumineux qui disparaît derrière des arbres puis remonte oblique disparaît photographe n’a pas réflexe photographier chose nbsp dans cas survenu nice 1er juillet 1996 témoin repose sur son lit quand une soudaine impulsion l’amène regarder l’extérieur observe alors passage d’objets non identifiés… fort heureusement fait des photos dans dernier cas salonique les témoins sont nombreux mais plupart d’entre eux ‘’oublient’’ presque aussitôt qu’ils viennent voir jean sider nous entretient ensuite d’un sujet qu’il beaucoup étudié qui constitue une caractéristique majeure phénomène nbsp mimétisme polymorphisme des ovnis c’est aussi sujet son dernier livre dans même ordre d’idées michel pasdeloup nous cite témoignage prince youssopof l’homme qui est venu bout raspoutine nbsp tout simplement observé nuit présence d’autres témoins… faux train nbsp dans rubrique ‘’les nouvelles’’ retiendra notamment récapitulatif cas bêtes fauves signalés france entre octobre 1995 janvier 2013 nbsp des panthères noires des crocodiles ours des pumas une lionne… qui disparaissent comme par enchantement dont retrouve jamais les carcasses ironie sort nbsp moment numéro ldln sortait l’imprimerie tableau récapitulatif était déjà caduc nbsp faut maintenant ajouter trois panthères noires plus ainsi qu’un puma nbsp nous verrons cela dans ldln 412“,”1“,”1“,”0“,”1“,”1“,”0“,”0“

LDLN 412/ldln412.jpg||LDLN412]\r\nLe premier article de ce numéro 412 fait le point sur les événements du 6 juin 1983, un point qui n’est pas définitif, et qu’il faudra réactualiser en fonction des éléments qui feront surface. Rappelons qu’il s’agit d’un cas flagrant d’OMGD (observations multiples à grande distance), et qu’en conséquence, il n’y a pas lieu de s’interroger sur la réalité des témoignages, mais seulement sur la nature de ce que tant de personnes ont observé ce soir-là, quelques minutes avant 23 heures, dans la région PACA et le Nord de l’Italie (ainsi qu’en région parisienne, à Bordeaux et jusqu’en Sardaigne !). Une thèse a été avancée, en 1987, expliquant les observations de cette soirée par « un bolide ». A première vue, l’idée peut paraître raisonnable, si l’on présuppose que tous les témoins ont vu le même objet, et si l’on ne prend en considération que les récits compatibles avec l’explication avancée ! Mais quand on examine les témoignages dans le détail, on s’aperçoit que cette explication ne tient pas : il aurait fallu que le bolide soit capable de changer de cap (ce qui a été signalé aussi bien en Italie que dans la région du Mont Ventoux), et même qu’il soit capable de suivre une trajectoire en forme de siphon d’évier ! Il aurait fallu, également, qu’il fût muni d’une rangée de hublots, et capable de projeter une traînée lumineuse… vers l’avant ! En outre, des témoins, aussi bien en France qu’en Italie, affirment avoir vu « la » chose à très courte distance, et même « rasant les toits ». On l’aura deviné : cette explication ubuesque n’a pas été proposée, mais présentée comme une évidence, à avaler sans discussion. Tout cela nous rappelle bien des souvenirs (18 juillet 1967, 5 novembre 1990, etc).\r\n\r\n Jean-Marie Bigorne nous expose ensuite un cas qui remonte au 20 janvier 1974, et qui mérite de passer à la postérité : il s’agit du passage lent, à très basse altitude, au-dessus d’une centrale électrique, d’un disque lumineux émettant des faisceaux sur tout son pourtour, puis s’élançant dans le ciel « à une vitesse foudroyante ». Les effets physiques intéresseront ceux qui cherchent à comprendre « comment ça marche » : le passage de l’objet a perturbé le fonctionnement de deux postes de télévision encore alimentés en 110 Volts, mais n’a pas affecté les postes alimentés en 220 Volts . En outre, le principal témoin oculaire a noté des effets physiologiques : conjonctivite durant plusieurs jours, et éruption de boutons sur tout le corps. Ce cas est donc à ajouter à notre liste de dommages physiques aux personnes, publiée dans LDLN 339, 344 et 345.\r\n\r\n Après cela, une jeune femme nous expose l’étrange aventure qu’elle a vécue, un soir de juin 2009, sur la côte Sud de la Crète. Nous avons là un exemple de plus d’interaction mentale, puisque le lendemain matin, cette jeune femme a mis un certain à se rappeler ce qui s’était passé au début de la nuit.\r\n\r\n Le sujet suivant concerne une série d’apparitions qui, a priori, n’ont rien à voir avec le phénomène OVNI, mais qui s’intègrent parfaitement parmi les « problèmes connexes » : il s’agit des observations de fauves parfaitement inattendus dans nos contrées, et qui s’évanouissent sans laisser de traces, et surtout, sans qu’on retrouve jamais leurs dépouilles. Nous en avions publié une liste récapitulative dans le numéro précédent, mais voici une avalanche d’exemples supplémentaires, concernant un puma, six (ou sept ?) panthères noires, un tigre, et un gros félin non identifié, suivi de ses deux petits ! Tout cela pourrait paraître farfelu, si les sources d’information n’étaient pas parfaitement identifiées. C’est à n’y rien comprendre.\r\n\r\n Dans la rubrique ‘’observations récentes en France’’, on trouvera quelque quatorze observations faites entre le 17 août 2012 et le 6 mars de cette année. Deux d’entre elles comportent la prise de photos, qui sont reproduites sur la couverture. Et à tout cela, il faut ajouter les très nombreuses photos obtenues par un chercheur inlassable, Stéphane Brignone, qui passe la plupart de ses nuits à traquer le phénomène. Les résultats qu’il obtient ne sont pas tous convaincants au même degré, mais quelques uns de ses clichés sont stupéfiants (comme on le verra encore dans LDLN 413). Et il faut savoir que d’autres personnes, sans consacrer autant de temps à l’énigme, obtiennent des résultats comparables. Un exemple est présenté dans ce numéro, avec la photo du « têtard » de Batz-sur-Mer.\r\n\r\n Jean-Pierre D’Hondt nous rappelle divers exemples de ce qu’il appelle « l’effet téléobjectif », effet dont nous avons vu récemment un exemple assez stupéfiant, avec le cas des Estables (LDLN 410) : un témoin observe un objet insolite à une certaine distance, mais il en distingue certains détails, comme s’il avait pratiquement le nez dessus.\r\n\r\n Vient ensuite la seconde partie de l’article de Jean Sider, intitulé « mimétisme et polymorphisme des ovnis ». On est là, probablement, au cœur du problème OVNI, tant sont nombreux les témoignages qui appuient cette interprétation.\r\n\r\n Suite aux articles que nous avons publiés récemment, au sujet des « interactions mentales » entre le phénomène et les témoins, Dominique Moreau nous rappelle un exemple caractéristique : quand un photographe professionnel observe, son appareil en mains, un ovni dans de bonnes conditions, et ne prend pas de photos, on peut supposer que la chose observée exerce sur lui une influence qui inhibe un réflexe.\r\n\r\n Le 27ème chapitre de notre série « Tout ça ne date pas d’hier » concerne deux observations faites en France, pendant l’occupation, par des soldats allemands. L’article est illustré par un tableau qui récapitule 14 autres observations d’ovnis faites pendant la seconde guerre mondiale.\r\n\r\n On trouve ensuite une analyse d’un livre qui concerne la plus remarquable observation d’ovni datant de cette époque : celle de Los Angeles, le 25 février 1942. Le livre est celui de Terrenz Sword, The Battle of Los Angeles. Il s’agit d’un livre extrêmement riche en informations, mais qui laisse diverses questions en suspens. Le 25 février 1942 garde son mystère.\r\n\r\n Ce numéro s’achève sur la rubrique « les Nouvelles » et sur quelques remarquables photos de Stéphane Brignone.”,“<p><a href=\”/blog/public/Couvertures/400/ldln412.jpg\“ title=\”LDLN412\“><img src=\”/blog/public/Couvertures/400/.ldln412_m.jpg\“ alt=\”LDLN412\“ style=\”float:right; margin: 0 0 1em 1em;\“ title=\”LDLN412, août 2013\“ /></a>\nLe premier article de ce numéro 412 fait le point sur les événements du 6 juin 1983, un point qui n’est pas définitif, et qu’il faudra réactualiser en fonction des éléments qui feront surface. Rappelons qu’il s’agit d’un cas flagrant d’OMGD (observations multiples à grande distance), et qu’en conséquence, il n’y a pas lieu de s’interroger sur la réalité des témoignages, mais seulement sur la nature de ce que tant de personnes ont observé ce soir-là, quelques minutes avant 23 heures, dans la région PACA et le Nord de l’Italie (ainsi qu’en région parisienne, à Bordeaux et jusqu’en Sardaigne !). Une thèse a été avancée, en 1987, expliquant les observations de cette soirée par «&nbsp;un bolide ». A première vue, l’idée peut paraître raisonnable, si l’on présuppose que tous les témoins ont vu le même objet, et si l’on ne prend en considération que les récits compatibles avec l’explication avancée&nbsp;! Mais quand on examine les témoignages dans le détail, on s’aperçoit que cette explication ne tient pas&nbsp;: il aurait fallu que le bolide soit capable de changer de cap (ce qui a été signalé aussi bien en Italie que dans la région du Mont Ventoux), et même qu’il soit capable de suivre une trajectoire en forme de siphon d’évier&nbsp;! Il aurait fallu, également, qu’il fût muni d’une rangée de hublots, et capable de projeter une traînée lumineuse… vers l’avant&nbsp;! En outre, des témoins, aussi bien en France qu’en Italie, affirment avoir vu «&nbsp;la&nbsp;» chose à très courte distance, et même «&nbsp;rasant les toits ». On l’aura deviné&nbsp;: cette explication ubuesque n’a pas été proposée, mais présentée comme une évidence, à avaler sans discussion. Tout cela nous rappelle bien des souvenirs (18 juillet 1967, 5 novembre 1990, etc).</p>\n\n\n<p><strong>Jean-Marie Bigorne</strong> nous expose ensuite un cas qui remonte au 20 janvier 1974, et qui mérite de passer à la postérité&nbsp;: il s’agit du passage lent, à très basse altitude, au-dessus d’une centrale électrique, d’un disque lumineux émettant des faisceaux sur tout son pourtour, puis s’élançant dans le ciel «&nbsp;à une vitesse foudroyante ». Les effets physiques intéresseront ceux qui cherchent à comprendre «&nbsp;comment ça marche&nbsp;» : le passage de l’objet a perturbé le fonctionnement de deux postes de télévision encore alimentés en 110 Volts, mais n’a pas affecté les postes alimentés en 220 Volts . En outre, le principal témoin oculaire a noté des effets physiologiques&nbsp;: conjonctivite durant plusieurs jours, et éruption de boutons sur tout le corps. Ce cas est donc à ajouter à notre liste de dommages physiques aux personnes, publiée dans LDLN 339, 344 et 345.</p>\n\n\n<p>Après cela, <strong>une jeune femme</strong> nous expose l’étrange aventure qu’elle a vécue, un soir de juin 2009, <strong>sur la côte Sud de la Crète</strong>. Nous avons là un exemple de plus d’interaction mentale, puisque le lendemain matin, cette jeune femme a mis un certain à se rappeler ce qui s’était passé au début de la nuit.</p>\n\n\n<p>Le sujet suivant concerne une série d’apparitions qui, a priori, n’ont rien à voir avec le phénomène OVNI, mais qui s’intègrent parfaitement parmi les «&nbsp;problèmes connexes&nbsp;» : il s’agit des observations de fauves parfaitement inattendus dans nos contrées, et qui s’évanouissent sans laisser de traces, et surtout, sans qu’on retrouve jamais leurs dépouilles. Nous en avions publié une liste récapitulative dans le numéro précédent, mais voici une avalanche d’exemples supplémentaires, concernant un puma, six (ou sept ?) panthères noires, un tigre, et un gros félin non identifié, suivi de ses deux petits&nbsp;! Tout cela pourrait paraître farfelu, si les sources d’information n’étaient pas parfaitement identifiées. C’est à n’y rien comprendre.</p>\n\n\n<p>Dans la rubrique ‘’observations récentes en France’’, on trouvera quelque quatorze observations faites entre le 17 août 2012 et le 6 mars de cette année. Deux d’entre elles comportent la prise de photos, qui sont reproduites sur la couverture. Et à tout cela, il faut ajouter les très nombreuses photos obtenues par un chercheur inlassable, <strong>Stéphane Brignone</strong>, qui passe la plupart de ses nuits à traquer le phénomène. Les résultats qu’il obtient ne sont pas tous convaincants au même degré, mais quelques uns de ses clichés sont stupéfiants (comme on le verra encore dans LDLN 413). Et il faut savoir que d’autres personnes, sans consacrer autant de temps à l’énigme, obtiennent des résultats comparables. Un exemple est présenté dans ce numéro, avec la photo du «&nbsp;têtard&nbsp;» de Batz-sur-Mer.</p>\n\n\n<p><strong>Jean-Pierre D’Hondt</strong> nous rappelle divers exemples de ce qu’il appelle «&nbsp;l’effet téléobjectif », effet dont nous avons vu récemment un exemple assez stupéfiant, avec le cas des Estables (LDLN 410)&nbsp;: un témoin observe un objet insolite à une certaine distance, mais il en distingue certains détails, comme s’il avait pratiquement le nez dessus.</p>\n\n\n<p>Vient ensuite la seconde partie de l’article de <strong>Jean Sider</strong>, intitulé «&nbsp;mimétisme et polymorphisme des ovnis ». 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L’article est illustré par un tableau qui récapitule 14 autres observations d’ovnis faites pendant la seconde guerre mondiale.</p>\n\n\n<p>On trouve ensuite une analyse d’un livre qui concerne la plus remarquable observation d’ovni datant de cette époque&nbsp;: celle de Los Angeles, le 25 février 1942. Le livre est celui de Terrenz Sword, The Battle of Los Angeles. Il s’agit d’un livre extrêmement riche en informations, mais qui laisse diverses questions en suspens. Le 25 février 1942 garde son mystère.</p>\n\n\n<p>Ce numéro s’achève sur la rubrique «&nbsp;les Nouvelles&nbsp;» et sur quelques remarquables <strong>photos de Stéphane Brignone</strong>.</p>”,“”,“a:0:{}”,“ldln 412 premier article numéro 412 fait point sur les événements juin 1983 point qui n’est pas définitif qu’il faudra réactualiser fonction des éléments qui feront surface rappelons qu’il s’agit d’un cas flagrant d’omgd observations multiples grande distance qu’en conséquence n’y pas lieu s’interroger sur réalité des témoignages mais seulement sur nature que tant personnes ont observé soir quelques minutes avant heures dans région paca nord l’italie ainsi qu’en région parisienne bordeaux jusqu’en sardaigne une thèse été avancée 1987 expliquant les observations cette soirée par nbsp bolide première vue l’idée peut paraître raisonnable l’on présuppose que tous les témoins ont même objet l’on prend considération que les récits compatibles avec l’explication avancée nbsp mais quand 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foudroyante les effets physiques intéresseront ceux qui cherchent comprendre nbsp comment marche nbsp passage l’objet perturbé fonctionnement deux postes télévision encore alimentés 110 volts mais n’a pas affecté les postes alimentés 220 volts outre principal témoin oculaire noté des effets physiologiques nbsp conjonctivite durant plusieurs jours éruption boutons sur tout corps cas est donc ajouter notre liste dommages physiques aux personnes publiée dans ldln 339 344 345 après cela une jeune femme nous expose l’étrange aventure qu’elle vécue soir juin 2009 sur côte sud crète nous avons exemple plus d’interaction mentale puisque lendemain matin cette jeune femme mis certain rappeler qui s’était passé début nuit sujet suivant concerne une série d’apparitions qui priori n’ont rien voir avec phénomène ovni mais qui s’intègrent parfaitement parmi les nbsp problèmes connexes nbsp s’agit des observations fauves parfaitement inattendus dans nos contrées qui s’évanouissent sans laisser traces 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LDLN 413/ldln413.jpg||LDLN413]\r\nLes manifestations ‘’classiques’’ du phénomène OVNI, celles qui avaient tant attiré l’attention, il y a une quarantaine d’années, continuent à se faire de plus en plus rares : on ne signale quasiment plus d’atterrissages, encore moins de RR3. Le mystère a changé de forme, mais il est toujours présent : de nos jours, les photos-surprises ont, avec les RR4, pris le relais. La continuité est assurée, dans la mesure où les anomalies sur photos présentent des aspects conformes aux modèles constatés dans les années 1950 à 1980.\r\n\r\n C’est le cas des quatre photos qui illustrent la couverture de ce numéro 413. L’une d’elles montre un halo solaire, le 2 juin 2013. Sur un premier cliché, on voit le halo seul, mais la seconde, prise quelques instants plus tard, révèle la présence d’un corps sombre, en forme de ballon de rugby, dont la surface reflète la lumière du soleil. Les trois autres photos de cette couverture –et l’une d’elles surtout- rappellent fortement les « soucoupes à coupoles » d’antan. \r\n\r\n Les trois autres pages couleurs montrent d’autres photos-surprises, qui posent autant de problèmes d’interprétation.\r\n\r\n Une jeune femme nous raconte ensuite l’étrange aventure qu’elle a vécue, une nuit, quand elle n’avait que 17 ans. Subitement réveillée, elle est sortie sur un petit balcon, où elle s’est trouvée en présence d’une plaque triangulaire, sombre, immobile et silencieuse. Distance de la jeune fille à cette chose : environ 2,50 ! Toute l’incompréhensible étrangeté du phénomène OVNI est perceptible dans un témoignage comme celui-là.\r\n\r\n Jean-François Péroteau nous confie les informations qu’il a pu recueillir, concernant un cas de dommages aux personnes. Ces informations sont très succinctes, hélas, et il est douteux qu’elles puissent un jour être complétées. Il est certain que la frilosité de bien des témoins nous prive de données dont il faudrait pouvoir disposer. Un tabou résulte de la méconnaissance de ces phénomènes, et… cette méconnaissance renforce le tabou !\r\n\r\n Vient ensuite un témoignage concernant une RR3, dont l’existence a été détectée par Alain Poulin. Elle a eu lieu au tout début des années soixante-dix. La qualité du témoin confère une crédibilité excellente à ce témoignage.\r\n\r\n Après cela, un témoin de toute évidence ‘’privilégié’’ nous confie ses souvenirs. L’un d’eux constitue un cas d’implant (le second, en France, dont nous ayons connaissance). Cela s’est passé à Amiens, en 1978, alors que le témoin était étudiant en classe préparatoire. L’implant (indolore) dépassait en partie de l’épiderme de cet homme, qui n’a pas eu trop de difficulté à l’extraire. On devine la suite : il s’en est rapidement débarrassé, et l’implant n’est donc pas disponible pour examen.\r\n\r\n Gérard Tournier d’une part, Gérard Lebat d’autre part, nous exposent deux cas d’ovnis plongeant dans des lacs. Dans l’un de ces cas, l’objet a été vu ressortant quelques centaines de mètres plus loin et s’élançant verticalement vers le ciel.\r\n\r\n Jean Sider complète ensuite le dossier des ‘’fusées-fantômes’’ observées en Suède en 1946, et montre que le phénomène a perduré, jusque dans les années quatre-vingts !\r\n\r\n De plus en plus, les photos-surprises occupent une place prépondérante dans notre rubrique ‘’Observations Récentes en France’’. Ce numéro ne fait pas exception, et une forme se répète curieusement ces derniers temps, une forme qui rappelle les ‘’soucoupes à coupoles’’… et qui rend de moins en moins vraisemblables les explications par des insectes passant près de l’objectif des appareils photo numériques ; un autre caractère intéressant de ces photos-surprises est le pourcentage (impressionnant) de celles qui montrent une anomalie semblant accompagner un avion en vol.\r\n\r\n On trouvera ensuite, dans ce numéro 413, la troisième et dernière partie de l’article de Jean Sider intitulé ‘’mimétisme et polymorphisme des ovnis’’. Claude Lavat nous entretient ensuite d’un concept qui lui est cher, celui de transformation sténopéique, déjà présenté dans son livre publié il y a deux ans. Didier Lang nous décrit (et nous conseille) un système très pratique permettant d’obtenir le spectre de la lumière émise par les ovnis… si ces derniers veulent bien se prêter à l’expérience, ce qui n’est évidemment pas garanti. Quant à Jonathan Giné, il nous explique pourquoi, si on s’intéresse aux anomalies sur photos numérique, le format RAW est préférable au JPEG.\r\n\r\n Le dernier article de ce numéro est le fruit des recherches faites en bibliothèque par Maurice Thil, sur des observations nocturnes de très improbables ‘’dirigeables allemands’’ dans toute la moitié sud des îles britanniques, au début de l’année 1913. Cette question nous ramène vraisemblablement au ‘’mimétisme des ovnis’’, tant il semble improbable que les Allemands se soient livrés à ces dangereuses incursions peu compatibles avec les performances des matériels de l’époque.\r\n\r\n Bonne lecture !\r\n\r\nN.B. Numéro Publié en Juillet 2013“,”<p><a href=\“/blog/public/Couvertures/400/ldln413.jpg\” title=\“LDLN413\”><img src=\“/blog/public/Couvertures/400/.ldln413_m.jpg\” alt=\“LDLN413\” style=\“float:right; margin: 0 0 1em 1em;\” title=\“LDLN413, fév. 2014\” /></a>\nLes manifestations ‘’classiques’’ du phénomène OVNI, celles qui avaient tant attiré l’attention, il y a une quarantaine d’années, continuent à se faire de plus en plus rares&nbsp;: on ne signale quasiment plus d’atterrissages, encore moins de RR3. Le mystère a changé de forme, mais il est toujours présent&nbsp;: de nos jours, les photos-surprises ont, avec les RR4, pris le relais. La continuité est assurée, dans la mesure où les anomalies sur photos présentent des aspects conformes aux modèles constatés dans les années 1950 à 1980.</p>\n\n\n<p>C’est le cas des quatre photos qui illustrent la couverture de ce numéro 413. L’une d’elles montre un halo solaire, le 2 juin 2013. Sur un premier cliché, on voit le halo seul, mais la seconde, prise quelques instants plus tard, révèle la présence d’un corps sombre, en forme de ballon de rugby, dont la surface reflète la lumière du soleil. Les trois autres photos de cette couverture –et l’une d’elles surtout- rappellent fortement les «&nbsp;soucoupes à coupoles&nbsp;» d’antan.</p>\n\n\n<p>Les trois autres pages couleurs montrent d’autres photos-surprises, qui posent autant de problèmes d’interprétation.</p>\n\n\n<p>Une jeune femme nous raconte ensuite l’étrange aventure qu’elle a vécue, une nuit, quand elle n’avait que 17 ans. Subitement réveillée, elle est sortie sur un petit balcon, où elle s’est trouvée en présence d’une plaque triangulaire, sombre, immobile et silencieuse. Distance de la jeune fille à cette chose&nbsp;: environ 2,50&nbsp;! Toute l’incompréhensible étrangeté du phénomène OVNI est perceptible dans un témoignage comme celui-là.</p>\n\n\n<p><strong>Jean-François Péroteau</strong> nous confie les informations qu’il a pu recueillir, concernant <strong>un cas de dommages aux personnes</strong>. Ces informations sont très succinctes, hélas, et il est douteux qu’elles puissent un jour être complétées. Il est certain que la frilosité de bien des témoins nous prive de données dont il faudrait pouvoir disposer. Un tabou résulte de la méconnaissance de ces phénomènes, et… cette méconnaissance renforce le tabou&nbsp;!</p>\n\n\n<p>Vient ensuite un témoignage concernant une <strong>RR3</strong>, dont l’existence a été détectée par <strong>Alain Poulin</strong>. Elle a eu lieu au tout début des années soixante-dix. La qualité du témoin confère une crédibilité excellente à ce témoignage.</p>\n\n\n<p>Après cela, un témoin de toute évidence ‘’privilégié’’ nous confie ses souvenirs. L’un d’eux constitue un cas d’<strong>implant</strong> (le second, en France, dont nous ayons connaissance). Cela s’est passé à Amiens, en 1978, alors que le témoin était étudiant en classe préparatoire. L’implant (indolore) dépassait en partie de l’épiderme de cet homme, qui n’a pas eu trop de difficulté à l’extraire. On devine la suite&nbsp;: il s’en est rapidement débarrassé, et l’implant n’est donc pas disponible pour examen.</p>\n\n\n<p><strong>Gérard Tournier</strong> d’une part, <strong>Gérard Lebat</strong> d’autre part, nous exposent deux cas d’ovnis plongeant dans des lacs. Dans l’un de ces cas, l’objet a été vu ressortant quelques centaines de mètres plus loin et s’élançant verticalement vers le ciel.</p>\n\n\n<p><strong>Jean Sider</strong> complète ensuite le dossier des ‘’fusées-fantômes’’ observées en Suède en 1946, et montre que le phénomène a perduré, jusque dans les années quatre-vingts&nbsp;!</p>\n\n\n<p>De plus en plus, les photos-surprises occupent une place prépondérante dans notre rubrique ‘’Observations Récentes en France’’. Ce numéro ne fait pas exception, et une forme se répète curieusement ces derniers temps, une forme qui rappelle les ‘’soucoupes à coupoles’’… et qui rend de moins en moins vraisemblables les explications par des insectes passant près de l’objectif des appareils photo numériques&nbsp;; un autre caractère intéressant de ces photos-surprises est le pourcentage (impressionnant) de celles qui montrent une anomalie semblant accompagner un avion en vol.</p>\n\n\n<p>On trouvera ensuite, dans ce numéro 413, la troisième et dernière partie de l’article de Jean Sider intitulé ‘’<strong>mimétisme et polymorphisme des ovnis</strong>’’. Claude Lavat nous entretient ensuite d’un concept qui lui est cher, celui de transformation sténopéique, déjà présenté dans son livre publié il y a deux ans. Didier Lang nous décrit (et nous conseille) un système très pratique permettant d’obtenir le spectre de la lumière émise par les ovnis… si ces derniers veulent bien se prêter à l’expérience, ce qui n’est évidemment pas garanti. Quant à Jonathan Giné, il nous explique pourquoi, si on s’intéresse aux anomalies sur photos numérique, le format RAW est préférable au JPEG.</p>\n\n\n<p>Le dernier article de ce numéro est le fruit des recherches faites en bibliothèque par <strong>Maurice Thil</strong>, sur des observations nocturnes de très improbables ‘’<strong>dirigeables allemands</strong>’’ dans toute la moitié sud des îles britanniques, au début de l’année 1913. Cette question nous ramène vraisemblablement au ‘’mimétisme des ovnis’’, tant il semble improbable que les Allemands se soient livrés à ces dangereuses incursions peu compatibles avec les performances des matériels de l’époque.</p>\n\n\n<p>Bonne lecture&nbsp;!</p>\n\n\n<p>N.B. Numéro Publié en Juillet 2013</p>“,”“,”a:0:{}“,”ldln 413 les manifestations ‘’classiques’’ phénomène ovni celles qui avaient tant attiré l’attention une quarantaine d’années continuent faire plus plus rares nbsp signale quasiment plus d’atterrissages encore moins rr3 mystère changé forme mais est toujours présent nbsp nos jours les photos surprises ont avec les rr4 pris relais continuité est assurée dans mesure les anomalies sur photos présentent des aspects conformes aux modèles constatés dans les années 1950 1980 c’est cas des quatre photos qui illustrent couverture numéro 413 l’une d’elles montre halo solaire juin 2013 sur premier cliché voit halo seul mais seconde prise quelques instants plus tard révèle présence d’un corps sombre forme ballon rugby dont surface reflète lumière soleil les trois autres photos cette couverture –et l’une d’elles surtout rappellent fortement les nbsp soucoupes coupoles nbsp d’antan les trois autres pages couleurs montrent d’autres photos surprises qui posent autant problèmes d’interprétation une jeune femme nous raconte ensuite l’étrange aventure qu’elle vécue une nuit quand elle n’avait que ans subitement réveillée elle est sortie sur petit balcon elle s’est trouvée présence d’une plaque triangulaire sombre immobile silencieuse distance jeune fille cette chose nbsp environ nbsp toute l’incompréhensible étrangeté phénomène ovni est perceptible dans témoignage comme celui jean françois péroteau nous confie les informations qu’il recueillir concernant cas dommages aux personnes ces informations sont très succinctes hélas est douteux qu’elles puissent jour être complétées est certain que frilosité bien des témoins nous prive données dont faudrait pouvoir disposer tabou résulte méconnaissance ces phénomènes et… cette méconnaissance renforce tabou nbsp vient ensuite témoignage concernant une rr3 dont l’existence été détectée par alain poulin elle lieu tout début des années soixante dix qualité témoin confère une crédibilité excellente témoignage après cela témoin toute évidence ‘’privilégié’’ nous confie ses souvenirs l’un d’eux constitue cas d’implant second france dont nous ayons connaissance cela s’est passé amiens 1978 alors que témoin était étudiant classe préparatoire l’implant indolore dépassait partie l’épiderme cet homme qui n’a pas trop difficulté l’extraire devine suite nbsp s’en est rapidement débarrassé l’implant n’est donc pas disponible pour examen gérard tournier d’une part gérard lebat d’autre part nous exposent deux cas d’ovnis plongeant dans des lacs dans l’un ces cas l’objet été ressortant quelques centaines mètres plus loin s’élançant verticalement vers ciel jean sider complète ensuite dossier des ‘’fusées fantômes’’ observées suède 1946 montre que phénomène perduré jusque dans les années quatre vingts nbsp plus plus les photos surprises occupent une place prépondérante dans notre rubrique ‘’observations récentes france’’ numéro fait pas exception une forme répète curieusement ces derniers temps une forme qui rappelle les ‘’soucoupes coupoles’’… qui rend moins moins vraisemblables les explications par des insectes passant près l’objectif des appareils photo numériques nbsp autre caractère intéressant ces photos surprises est pourcentage impressionnant celles qui montrent une anomalie semblant accompagner avion vol trouvera ensuite dans numéro 413 troisième dernière partie l’article jean sider intitulé ‘’mimétisme polymorphisme des ovnis’’ claude lavat nous entretient ensuite d’un concept qui lui est cher celui transformation sténopéique déjà présenté dans son livre publié deux ans didier lang nous décrit nous conseille système très pratique permettant d’obtenir spectre lumière émise par les ovnis… ces derniers veulent bien prêter l’expérience qui n’est évidemment pas garanti quant jonathan giné nous explique pourquoi s’intéresse aux anomalies sur photos numérique format raw est préférable jpeg dernier article numéro est fruit des recherches faites bibliothèque par maurice thil sur des observations nocturnes très improbables ‘’dirigeables allemands’’ dans toute moitié sud des îles britanniques début l’année 1913 cette question nous ramène vraisemblablement ‘’mimétisme des ovnis’’ tant semble improbable que les allemands soient livrés ces dangereuses incursions peu compatibles avec les performances des matériels l’époque bonne lecture nbsp numéro publié juillet 2013“,”1“,”1“,”0“,”1“,”1“,”0“,”0“

LDLN 414/ldln414.jpg||LDLN414]\r\nLa couverture de ce numéro 414 est illustrée par deux photos. Il s’agit, dans les deux cas, de photos-surprises, ce qui n’a rien d’étonnant, puisque la quasi-totalité des photos d’objets insolites obtenues ces dernières années l’ont été sans que le photographe voit quoi que ce soit d’anormal au moment de la prise de vues.\r\n\r\nL’une d’elles a été prise par Jonathan Giné, lors du défilé du 14 juillet 2013 : à proximité immédiate (du moins sur l’image) d’un Super Etendard, on voit distinctement une forme allongée parallèlement à l’axe de l’avion. Cette vue est extraite d’une séquence prise en mode rafale, et aucune anomalie n’apparait sur les vues précédentes et suivantes, ce qui rend improbable la thèse du passage d’un volatile.\r\n\r\n L’autre photo est un agrandissement partiel d’une vue prise par Stéphane Brignone, à Montauroux, le 5 mai de cette année. On y voit une forme de boomerang, bien contrastée par rapport au ciel. Il se trouve que Stéphane Brignone a obtenu une anomalie très comparable, le 14 juin, en photographiant un hélicoptère Tigre qui passait à proximité.\r\n\r\n Les lecteurs qui douteraient de la pertinence des « crashes de rien, de type 1 » en trouveront un exemple assez caractéristique, qui date de… mars 1913 ! C’est le trente-sixième cas dont nous ayons eu connaissance. Maurice Thil l’a découvert dans le London Times du 14 mai 1913. Près de Potsdam, deux femmes ont vu un dirigeable en feu s’écraser dans une forêt. Elles ont même précisé que la nacelle, elle-même en feu, s’était détachée et avait plongé vers le sol. D’importants moyens de secours sont intervenus rapidement, mais n’ont rien trouvé. Aucun dirigeable n’avait disparu.\r\n\r\n Jacques Vallée nous révèle un cas de bruits étranges et de lumières aériennes, qui est presque aussi ancien, puisqu’il date de février 1918.\r\n\r\n Suite à l’article de LDLN 412, dans lequel Jean-Pierre D’Hondt avait attiré notre attention sur « l’effet téléobjectif » constaté lors de certaines apparitions d’ovnis, Jacques Bonabot nous apprend que ce même effet s’est manifesté à diverses reprises lors des premiers vols spatiaux, dans les années soixante. Il sera intéressant de suivre l’évolution de cette énigme…\r\n\r\n C’est un triple témoignage, particulièrement convaincant, qui est ensuite exposé : il y a une trentaine d’années, un soir à la nuit tombante, trois personnes (un couple et leur fille d’une dizaine d’années) ont observé pendant environ un quart d’heure, à une distance de 400 mètres, un objet lumineux immobile à basse altitude, au-dessus d’un bois. Cet objet a changé de forme, de façon soudaine, à deux reprises, et quand il est parti, à grande vitesse, c’est sur une trajectoire qui le rapprochait des témoins… qui ont eu le réflexe de baisser la tête à son passage.\r\n\r\n Patrick Boutonnet nous apporte un exemple supplémentaire au dossier des « cigares d’Afrique du Nord », puis Claude Lavat met nos facultés intellectuelles à rude épreuve, en proposant une variante améliorée de l’équation de Drake, par ajout de deux facteurs.\r\n\r\n Alain Bauquet est un témoin privilégié, particulièrement sérieux et crédible. On se souvient de sa toute première observation, quand il était enfant, à Madagascar, et de diverses photos étonnantes qu’il a réalisées depuis quelques années (notamment celle de Rome, qui montre un objet très structuré). Il nous raconte les observations que son entourage proche et lui-même ont faites, dans le Val d’Oise en 1979, puis, dix ans plus tard, à Nice. L’exemple le plus récent n’est autre qu’un cas nocturne intra muros, qui confine à la RR4.\r\n\r\n Ensuite, Jonathan Giné nous raconte la belle enquête qu’il a réalisée avec ses amis du RDO, et aussi avec Maurice Thil, sur un cas de prétendu crop circle en Moselle, cet été. La conclusion est nette : il s’agit d’un faux, probablement réalisé dans un but assez malhonnête.\r\n\r\n Les photos-surprises occupent une place prépondérante dans la rubrique « observations récentes en France », et certaines d’entre elles suggèrent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui accompagneraient des avions en vol. Aucune preuve digne de ce nom ne peut être avancée ; ce sont simplement des indices qui s’accumulent au fil des ans. Le degré d’implication des personnes qui s’intéressent à cette question est variable, et comme toujours, les plus incrédules ne sont pas les plus présents sur le terrain.\r\n\r\n Ces observations récentes en France montrent, une fois de plus, que les départements du Var et des Alpes-Maritimes sont ceux dont nous recevons le plus de rapports d’observations, alors que d’autres régions semblent être de véritables déserts ufologiques. Voilà encore une tendance apparente, qui semble très affirmée. Relèverait-elle, en fin de compte, de l’illusion ?\r\n\r\n Jean Sider nous fait part de ce qu’il a pu apprendre sur un sujet qui ne relève pas directement de l’ufologie, mais qu’on peut considérer comme « un phénomène connexe » : l’énigme (assez terrifiante) des combustions humaines spontanées. La suite de son travail paraîtra dans LDLN 415.\r\n\r\n Dans la rubrique « les Nouvelles », il est question, entre autres choses, de deux très bons livres sur les ovnis en Corse (dus à Christophe Canioni), d’une Ford Mustang gravement cabossée par un ovni, d’observations de panthères noires en Espagne, et d’une étrange excavation cylindrique apparue cet été sur la pelouse d’une propriété entourée de hauts murs, en Haute-Vienne.”,“<p><a href=\”/blog/public/Couvertures/400/ldln414.jpg\“ title=\”LDLN414\“><img src=\”/blog/public/Couvertures/400/.ldln414_m.jpg\“ alt=\”LDLN414\“ style=\”float:right; margin: 0 0 1em 1em;\“ title=\”LDLN414, fév. 2014\“ /></a>\nLa couverture de ce numéro 414 est illustrée par deux photos. Il s’agit, dans les deux cas, de <strong>photos-surprises</strong>, ce qui n’a rien d’étonnant, puisque la quasi-totalité des photos d’objets insolites obtenues ces dernières années l’ont été sans que le photographe voit quoi que ce soit d’anormal au moment de la prise de vues.</p>\n\n\n<p>L’une d’elles a été prise par <strong>Jonathan Giné</strong>, lors du défilé du 14 juillet 2013&nbsp;: à proximité immédiate (du moins sur l’image) d’un Super Etendard, on voit distinctement une forme allongée parallèlement à l’axe de l’avion. Cette vue est extraite d’une séquence prise en mode rafale, et aucune anomalie n’apparait sur les vues précédentes et suivantes, ce qui rend improbable la thèse du passage d’un volatile.</p>\n\n\n<p>L’autre photo est un agrandissement partiel d’une vue prise par <strong>Stéphane Brignone</strong>, à Montauroux, le 5 mai de cette année. On y voit une forme de boomerang, bien contrastée par rapport au ciel. Il se trouve que Stéphane Brignone a obtenu une anomalie très comparable, le 14 juin, en photographiant un hélicoptère Tigre qui passait à proximité.</p>\n\n\n<p>Les lecteurs qui douteraient de la pertinence des <strong>«&nbsp;crashes de rien, de type 1 »</strong> en trouveront un exemple assez caractéristique, qui date de… mars 1913&nbsp;! C’est le trente-sixième cas dont nous ayons eu connaissance. Maurice Thil l’a découvert dans le London Times du 14 mai 1913. Près de Potsdam, deux femmes ont vu un dirigeable en feu s’écraser dans une forêt. Elles ont même précisé que la nacelle, elle-même en feu, s’était détachée et avait plongé vers le sol. D’importants moyens de secours sont intervenus rapidement, mais n’ont rien trouvé. Aucun dirigeable n’avait disparu.</p>\n\n\n<p><strong>Jacques Vallée</strong> nous révèle un cas de bruits étranges et de lumières aériennes, qui est presque aussi ancien, puisqu’il date de février 1918.</p>\n\n\n<p>Suite à l’article de LDLN 412, dans lequel Jean-Pierre D’Hondt avait attiré notre attention sur <strong>«&nbsp;l’effet téléobjectif »</strong> constaté lors de certaines apparitions d’ovnis, <strong>Jacques Bonabot</strong> nous apprend que ce même effet s’est manifesté à diverses reprises lors des premiers vols spatiaux, dans les années soixante. Il sera intéressant de suivre l’évolution de cette énigme…</p>\n\n\n<p>C’est un triple témoignage, particulièrement convaincant, qui est ensuite exposé&nbsp;: il y a une trentaine d’années, un soir à la nuit tombante, trois personnes (un couple et leur fille d’une dizaine d’années) ont observé pendant environ un quart d’heure, à une distance de 400 mètres, un objet lumineux immobile à basse altitude, au-dessus d’un bois. Cet objet a changé de forme, de façon soudaine, à deux reprises, et quand il est parti, à grande vitesse, c’est sur une trajectoire qui le rapprochait des témoins… qui ont eu le réflexe de baisser la tête à son passage.</p>\n\n\n<p><strong>Patrick Boutonnet</strong> nous apporte un exemple supplémentaire au dossier des <strong>«&nbsp;cigares d’Afrique du Nord »</strong>, puis <strong>Claude Lavat</strong> met nos facultés intellectuelles à rude épreuve, en proposant une variante améliorée de l’<strong>équation de Drake</strong>, par ajout de deux facteurs.</p>\n\n\n<p><strong>Alain Bauquet</strong> est un témoin privilégié, particulièrement sérieux et crédible. On se souvient de sa toute première observation, quand il était enfant, à Madagascar, et de diverses photos étonnantes qu’il a réalisées depuis quelques années (notamment celle de Rome, qui montre un objet très structuré). Il nous raconte les observations que son entourage proche et lui-même ont faites, dans le Val d’Oise en 1979, puis, dix ans plus tard, à Nice. L’exemple le plus récent n’est autre qu’un cas nocturne intra muros, qui confine à la RR4.</p>\n\n\n<p>Ensuite, <strong>Jonathan Giné</strong> nous raconte la belle enquête qu’il a réalisée avec ses amis du RDO, et aussi avec Maurice Thil, sur un cas de prétendu <strong>crop circle</strong> en Moselle, cet été. La conclusion est nette&nbsp;: il s’agit d’un faux, probablement réalisé dans un but assez malhonnête.</p>\n\n\n<p>Les photos-surprises occupent une place prépondérante dans la rubrique «&nbsp;observations récentes en France », et certaines d’entre elles suggèrent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui accompagneraient des avions en vol. Aucune preuve digne de ce nom ne peut être avancée&nbsp;; ce sont simplement des indices qui s’accumulent au fil des ans. Le degré d’implication des personnes qui s’intéressent à cette question est variable, et comme toujours, les plus incrédules ne sont pas les plus présents sur le terrain.</p>\n\n\n<p>Ces observations récentes en France montrent, une fois de plus, que les départements du Var et des Alpes-Maritimes sont ceux dont nous recevons le plus de rapports d’observations, alors que d’autres régions semblent être de véritables déserts ufologiques. Voilà encore une tendance apparente, qui semble très affirmée. Relèverait-elle, en fin de compte, de l’illusion&nbsp;?</p>\n\n\n<p><strong>Jean Sider</strong> nous fait part de ce qu’il a pu apprendre sur un sujet qui ne relève pas directement de l’ufologie, mais qu’on peut considérer comme «&nbsp;un phénomène connexe&nbsp;» : l’énigme (assez terrifiante) des <strong>combustions humaines spontanées</strong>. La suite de son travail paraîtra dans LDLN 415.</p>\n\n\n<p>Dans la rubrique «&nbsp;les Nouvelles », il est question, entre autres choses, de deux très bons livres sur les ovnis en Corse (dus à Christophe Canioni), d’une Ford Mustang gravement cabossée par un ovni, d’observations de panthères noires en Espagne, et d’une étrange excavation cylindrique apparue cet été sur la pelouse d’une propriété entourée de hauts murs, en Haute-Vienne.</p>”,“”,“a:0:{}”,“ldln 414 couverture numéro 414 est illustrée par deux photos s’agit dans les deux cas photos surprises qui n’a rien d’étonnant puisque quasi totalité des photos d’objets insolites obtenues ces dernières années l’ont été sans que photographe voit quoi que soit d’anormal moment prise vues l’une d’elles été prise par jonathan giné lors défilé juillet 2013 nbsp proximité immédiate moins sur l’image d’un super etendard voit distinctement une forme allongée parallèlement l’axe l’avion cette vue est extraite d’une séquence prise mode rafale 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ancien puisqu’il date février 1918 suite l’article ldln 412 dans lequel jean pierre d’hondt avait attiré notre attention sur nbsp l’effet téléobjectif constaté lors certaines apparitions d’ovnis jacques bonabot nous apprend que même effet s’est manifesté diverses reprises lors des premiers vols spatiaux dans les années soixante sera intéressant suivre l’évolution cette énigme… c’est triple témoignage particulièrement convaincant qui est ensuite exposé nbsp une trentaine d’années soir nuit tombante trois personnes couple leur fille d’une dizaine d’années ont observé pendant environ quart d’heure une distance 400 mètres objet lumineux immobile basse altitude dessus d’un bois cet objet changé forme façon soudaine deux reprises quand est parti grande vitesse c’est sur une trajectoire qui rapprochait des témoins… qui ont réflexe baisser tête son passage patrick boutonnet nous apporte exemple supplémentaire dossier des nbsp cigares d’afrique nord puis claude lavat met nos facultés intellectuelles rude épreuve proposant une variante améliorée l’équation drake par ajout deux facteurs alain bauquet est témoin privilégié particulièrement sérieux crédible souvient toute première observation quand était enfant madagascar diverses photos étonnantes qu’il réalisées depuis quelques années notamment celle rome qui montre objet très structuré nous raconte les observations que son entourage proche lui même ont faites dans val d’oise 1979 puis dix ans plus tard nice l’exemple plus récent n’est autre qu’un cas nocturne intra muros qui confine rr4 ensuite jonathan giné nous raconte belle enquête qu’il réalisée avec ses amis rdo aussi avec maurice thil sur cas prétendu crop circle moselle cet été conclusion est nette nbsp s’agit d’un faux probablement réalisé dans but assez malhonnête les photos surprises occupent une place prépondérante dans rubrique nbsp observations récentes france certaines d’entre elles suggèrent l’hypothèse d’objets invisibles l’œil qui accompagneraient 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ford mustang gravement cabossée par ovni d’observations panthères noires espagne d’une étrange excavation cylindrique apparue cet été sur pelouse d’une propriété entourée hauts murs haute vienne”,“1”,“1”,“0”,“1”,“0”,“0”,“0”

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