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-==== Lumières dans la nuit Numéro 404 - septembre 2011 ==== +==== Lumières dans la nuit Numéro 406 ====
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-  *Sur la couverture de ce numéro 404 (qui a été envoyé aux abonnés le vendredi 9 septembre), vous trouverez une photo de La Valette (dans l’île de Malte), et deux agrandissements partiels qui montrent une anomalie dans le ciel. C’est Alain Bauquet qui a pris ce cliché, le 17 juin 2011. On se souvient (voir nos numéros 399 et 400) qu’il avait réalisé, tout aussi involontairement, un document extraordinaire, à Rome,  le 27 mai 2010. L’anomalie visible sur la photo de La Valette est beaucoup moins remarquable que celle de Rome, et nous n’avons pas, cette fois-ci, les documents annexes (deux photos et une vidéo) qui corroboraient le cliché pris devant la Basilique Saint-Pierre. Toutefois, il est impossible de ne pas faire le rapprochement entre ces deux documents, d’autant plus que l’auteur de ces photos (un homme parfaitement digne de foi) a fait, au cours de sa vie, de nombreuses observations d’ovnis.  Certains trouveront cela suspect, et leur méfiance est compréhensible. Mais s’ils se penchent vraiment sur le dossier ovni dans son ensemble, ils pourront constater que nous avons là une véritable caractéristique du phénomène : certaines personnes vivent plus souvent des expériences de type ovni, que le commun des mortels. C’est d’ailleurs un fait regrettable, car il ne peut que retarder une véritable reconnaissance officielle du problème. Mais c’est un fait. +
-  *Jacques Bonabot nous expose un 29ème exemple de « crash de rien, de type 1 ». Cela s’est passé dans l’île Lewis (archipel des Hébrides, au nord-ouest de l’Ecosse), le 26 octobre 1998. +
-  *Marie-Josée Lucio-Campergue nous raconte ensuite l’observation qu’elle a faite, sur la côte sud du Portugal, le 24 aout 2010, en compagnie de trois membres de sa famille : tous ont assisté, d’assez près, au passage d’un « cigare » portant quatre « hublots », qui présentait une caractéristique étonnante : il paraissait translucide !  +
-  *Elle nous raconte également un incident qui s’est produit à Viseu (dans le Centre du Portugal) quand elle était adolescente : un après-midi, un bambin de 15 à 18 mois a disparu du lit dans lequel il dormait. La maison a été fouillée de fond en comble : il n’était plus là. Et soudain, il est réapparu, debout, à côté de son lit. +
-  *Vient ensuite un exemple de « cas jumeaux », avec deux observations qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau : Ollioules le 5 juin 1999, et Calella, en août de l’année précédente. A propos de ce phénomène des « cas jumeaux », rappelons que l’exemple le plus frappant nous est fourni par les cas bretons de Landévennec et de Plérin (LDLN 397). Il semble difficile d’attribuer au seul hasard des analogies aussi marquées. +
-  *Frédéric Perrodou nous raconte la vision que son frère et lui ont eue, en mai ou juin 2003, d’un objet qui se déplaçait horizontalement, à quelques mètres du sol. Cet objet avait la forme d’un obus muni de quatre fines protubérances coudées, qui dessinaient comme des pattes. +
-  *Une description précise et détaillée d’un objet très structuré, de grande taille, observé à quelques mètres seulement de distance, nous est fournie par Véronique Abbotts, qui n’oubliera jamais les émotions qu’elle a subies, cette nuit-là, en compagnie du père de ses enfants. +
-  *Depuis longtemps, la nécessité se faisait sentir, de dresser un bilan des observations du 18 mars 1972. Jean-Claude Dufour s’en est chargé, et l’on s’aperçoit que cette soirée présente une ressemblance certaine avec celle du 16 août 1965, également dans le quart sud-est de la France. Dans le cas du 18 mars 1972, les observations commencent vers 18 heures, et se succèdent jusqu’à 20 h 30. Il n’est donc pas possible d’invoquer un unique phénomène astronomique pour expliquer l’ensemble des apparitions de la soirée, bien que ce genre d’explication paraisse très probable pour les observations (très cohérentes entre elles) faites vers 19 h 15, dans le Var et les Bouches-du-Rhône. Mais au même moment, c’est un objet stationnaire qui est observé, à quelques mètres de distance seulement, à Pont-de-Chéruy ! Et comment comprendre le manège de trois boules lumineuses observé à Grenoble de 20 h 30 à 21 h 25 ? La soirée du 18 mars 1972 apparaît ainsi comme une réplique de celle du 16 août 1965, mais elle rappelle aussi les observations complexes du 18 juillet 1967 (pendant une rentrée de satellite !), et bien sûr, elle préfigure les événements du 5 novembre 1990 ou du 31 mars 1993. +
-  *Il est précisément question du 5 novembre 1990 dans l’article suivant : nos amis suisses du GREPI nous exposent l’observation faite ce soir-là à Coppet (quelques kilomètres au nord-est de Genève). Le témoin est le conducteur d’une locomotive qui se trouvait alors à l’arrêt. Il voit tout d’abord un « énorme disque », muni de projecteurs à sa périphérie, qui surplombe un avion de ligne, puis l’objet plonge, traverse le lac au ras des flots, monte en chandelle au-dessus de la rive française du lac, et disparait. Ce témoignage, en lui-même remarquable, ressemble beaucoup à celui de Nathalie Stotzer, relaté dans notre numéro 362. Il semble très probable que ce soit le même objet qui ait été observé, de Coppet (en Suisse) et de Vésenaz (en France). Et il ne saurait s’agir d’une rentrée de satellite ! +
-  *Jean Sider examine ensuite le mystère des « milliers d’oiseaux morts », signalé en début d’année dans divers pays (notamment aux Etats-Unis). Il cite de nombreux exemples préalables, dont le plus ancien remonte au XIXème siècle. Il y a tant à dire sur ce sujet, que la seconde partie de l’article paraîtra dans notre prochain numéro. +
-  *Gildas Bourdais évoque longuement divers aspects de la polémique au sujet des ovnis, telle qu’elle s’est développée ces dernières années, notamment aux Etats-Unis. De brillantes initiatives (comme le livre de Leslie Kean, intitulé simplement UFOs, ou les conférences de presse de novembre 2007, puis de septembre 2010, à Washington) peinent à faire progresser la situation de manière significative, car dans le même temps, on assiste à une triste floraison de livres absolument consternants, dont l’objet n’est que trop évident : décrédibiliser le sujet. On l’a compris depuis longtemps, mais c’est de plus en plus flagrant : au sujet des ovnis, la guerre de la désinformation fait rage. +
-  *Jean-Pierre D’Hondt nous expose ensuite une observation rapprochée, faite en Belgique, à Frasnes-les-Anvaing, une nuit d’été, en 1998 ou 1999. Le témoin a fourni un beau dessin, réalisé sur ordinateur, de la face inférieure de l’objet. +
-  *La rubrique « observations récentes en France » reflète le faible niveau d’activité du phénomène, que nous constatons depuis le début de l’année. On notera principalement la persistance du phénomène des photos-surprises, qui laisse la porte ouverte à diverses interprétations, puisque l’éventualité de vols d’insectes devant l’objectif, ou d’oiseaux à plus grande distance, peut rarement être écartée. (On notera à cet égard l’exception remarquable que constitue la photo du 27 mai 2010 devant Saint-Pierre de Rome : dans ce cas, on ne saurait parler d’oiseau, ni d’insecte !). +
-  *Après cela, M. Jacques Rollet nous apporte une intéressante mise au point, au sujet de l’affaire du « crash vénézuélien », évoquée dans nos numéros 335 et 400. On a peu de chances, hélas, de connaître un jour le fin mot de l’histoire révélée par José Pereira… +
-  *Il ne faut jamais perdre de vue le fait que des témoignages anciens attestent de la présence du phénomène ovni bien avant la seconde guerre mondiale. Un tel témoignage est celui de M. Dumontier, que son fils adoptif a confié à Frédéric Perrodou.  En 1935, M. Dumontier a observé d’assez près les évolutions d’un objet qui, de toute évidence, n’était pas le fruit de la technologie de l’époque. Quant à Maurice Thil, que passionnent les recherches en archives, il nous expose un petit mystère qui remonte à 1907 : des apparitions de hiboux lumineux, en Angleterre ! Elles ont de grandes chances d’être sans rapport avec le problème ovni, mais il est utile de s’intéresser aux divers phénomènes qui, sans relever de l’ufologie, peuvent donner lieu à des confusions. +
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 405 - Décembre 2011 ==== +
-  *Deux photos illustrent la couverture de ce numéro 405. La première est un agrandissement partiel d’une photo prise dans la région de Nice en 1983.  Devant un arrière-plan montagneux, on découvre ce qui ressemble à ‘’un ovni émettant un rayon laser’’. Cette interprétation vaut ce qu’elle vaut, car… le faisceau n’est pas rigoureusement rectiligne ! +
-  *La seconde photo de couverture, prise par Stéphane Brignone, dans le Var, le 22 septembre 2011, montre un hélicoptère et une forme impossible à interpréter. Ce document et six autres, dus au même photographe, renforcent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui ‘’escorteraient’’ des avions et des hélicoptères. Il reste, bien sûr, à savoir si tout ou partie de ces objets ne seraient pas, tout simplement, des insectes passant, de façon intempestive, devant l’objectif. L’hypothèse est séduisante, mais reste à vérifier : au cours des derniers mois, Stéphane Brignone a obtenu au moins neuf photos qui entrent dans cette catégorie. Et d’autres photographes intéressés par l’ufologie obtiennent des clichés comparables. Accepter comme une évidence l’hypothèse des insectes (ou, dans certains cas, de petits oiseaux) revient à admettre que ces petits volatiles apparaissent beaucoup plus sur les clichés numériques que sur nos bonnes vieilles photos argentiques. Il appartient, évidemment, aux spécialistes de la photo (industriels compris), d’examiner le problème. Hélas, on les entend très peu… et le mystère subsiste. C’est d’autant plus regrettable que les photos-surprises divisent le milieu ufologique, avec d’un côté ceux qui n’envisagent qu’une explication rationnelle, et de l’autre, ceux pour qui il est évident que des ‘’ovnis invisibles’’ (à l’œil nu) s’intéressent aux avions. Rares sont ceux qui ne privilégient aucune de ces deux explications… et c’est bien dommage. +
-  *Jacques Bonabot nous expose une quinzaine de cas de catastrophes qui paraissent (à des degrés divers) avoir pu être l’œuvre du phénomène OVNI. Son apport vient consolider ce que LDLN a publié depuis quelques années concernant des cas de destructions apparemment imputables à des ovnis (Hellemmes, Rosoy, Baridiame, Saladare, Sanalakedha, etc…). L’exemple le plus dramatique qu’il signale est celui de Kirimukuyu, au Kenya, en juin 1954, puisqu’il y aurait eu de nombreuses victimes.  +
-  *Si l’on veut vraiment tenter de savoir ce qu’il en est, il faudrait remonter aux sources. Mais qui s’en chargera ? Nous avons vu récemment  (depuis LDLN 399 et 400) combien il était vain d’espérer des compléments sur un incident survenu à Bourges. Quand il s’agit d’un drame qui se serait produit au Kenya, on peut estimer que des éclaircissements nécessaires  sont bien improbables ! Mais ne désespérons pas… des bonnes volontés se manifesteront peut-être +
-  *Maurice Thil a fait un joli travail d’enquête sur l’un des cas (Arpajon, 14 juin 1963) évoqués par Jacques Bonabot, qui ne disposait que d’un article d’un journal belge.  Il en résulte, d’une part, que la catastrophe survenue il y a 48 ans à 30 km de Paris n’est pas imputable à un ovni, et d’autre part, que tout n’a pas été révélé, à l’époque, sur la véritable cause du drame. +
-  *Vient ensuite la seconde (et dernière) partie de l’article concernant les morts mystérieuses de milliers d’oiseaux. Là encore, on aimerait connaître les causes véritables. +
-  *Franck Mairine nous explique l’étonnante observation qu’il a faite, en compagnie de quelques camarades et d’un chauffeur de bus scolaire, lorsqu’il avait 13 ans, un soir de fin mai ou début juin 1981, dans le sud de la Vienne. Ce jour-là, une boule d’aspect métallique a escorté sur trois kilomètres un car de ramassage scolaire, avant de monter haut dans le ciel et de disparaître. +
-  *L’observation que nous expose Gérard Marquès est plus surprenante encore : le soir du 13 novembre 1987, un habitant de Saint-Raphaël (Var) et son épouse ont observé pendant plus de vingt minutes un spectacle incompréhensible : un manège complexe de petites ‘’soucoupes’’  faiblement lumineuses dans une vaste zone du ciel. Le phénomène a eu d’autres témoins, puisque deux jours plus tard, un journal local en donnait une explication (que les témoins jugent très farfelue). +
-  *Grâce à des communications de Mme Bonnin et de MM.  Lang et Sori, le  24ème chapitre de notre série ‘’Tout cela ne date pas d’hier’’ relate quatre apparitions d’ovnis datant respectivement de  1586, 1935, 1941 et 1942. +
-  *Les apparitions d’ovnis ont été si nombreuses, au cours des six derniers mois, que la rubrique ‘’observations récentes en France’’ occupe les pages 21 à 36, et qu’il a fallu reporter six cas au numéro suivant. Les photos-surprises occupent une grande place parmi ces observations récentes, mais on y trouve aussi des témoignages plus ‘’classiques’’ et un cas de bestiole étrange : quelque chose comme un lémurien qui aurait les capacités ‘’sportives’’ d’un kangourou. +
-  *Dans la rubrique ‘’les Nouvelles’’, on remarquera notamment ce qui semble être une belle photo de ‘’soucoupe volante’’ classique. C’est Jean-Christophe Averty en personne qui l’a trouvée… dans un numéro du Monde, qui ne fait aucune allusion à cette anomalie pourtant flagrante. Serait-il le seul à avoir remarqué la chose ? +
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 406 - mars 2012 ====+
  
   *Dans le numéro 406 de LDLN, Jacques Vallée nous expose tout d’abord un cas de « crash de rien » (de type1) dans le Sud-Ouest de l’Australie, en 1936 ! C’est le 30ème cas répertorié, mais un 31ème est évoqué, p. 37 (Tauranga, en Nouvelle-Zélande, début mai 2003)… et on en trouvera un 32ème dans LDLN 307. Que se passe-t-il ? S’agit-il d’une incroyable  série de coïncidences purement  fortuites ? La notion de « synchronicité », développée par Jacques Vallée, expliquerait-elle une si profonde ressemblance entre ces 32 incidents a priori sans lien entre eux ? Ou bien faut-il considérer que le phénomène OVNI (dont le caractère parfois  mimétique n’est plus à démontrer)… s’amuse à « imiter des accidents d’avions » ? La question reste ouverte, et il ne servirait à rien de choisir une explication : il faut continuer à chercher, en examinant le maximum des données disponibles.    *Dans le numéro 406 de LDLN, Jacques Vallée nous expose tout d’abord un cas de « crash de rien » (de type1) dans le Sud-Ouest de l’Australie, en 1936 ! C’est le 30ème cas répertorié, mais un 31ème est évoqué, p. 37 (Tauranga, en Nouvelle-Zélande, début mai 2003)… et on en trouvera un 32ème dans LDLN 307. Que se passe-t-il ? S’agit-il d’une incroyable  série de coïncidences purement  fortuites ? La notion de « synchronicité », développée par Jacques Vallée, expliquerait-elle une si profonde ressemblance entre ces 32 incidents a priori sans lien entre eux ? Ou bien faut-il considérer que le phénomène OVNI (dont le caractère parfois  mimétique n’est plus à démontrer)… s’amuse à « imiter des accidents d’avions » ? La question reste ouverte, et il ne servirait à rien de choisir une explication : il faut continuer à chercher, en examinant le maximum des données disponibles. 
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   *La même rubrique nous explique, p. 37, comment Claude Minghelli a réalisé un couplage de deux appareils photo numériques, dans le but d’apporter des éclaircissements sur le problème (irritant !) des photos-surprises.    *La même rubrique nous explique, p. 37, comment Claude Minghelli a réalisé un couplage de deux appareils photo numériques, dans le but d’apporter des éclaircissements sur le problème (irritant !) des photos-surprises. 
  
-==== Lumières dans la nuit Numéro 408 - Juillet 2012==== 
-  *La couverture de LDLN 408 illustre les deux plus gros articles de ce numéro. Le premier, dû à un chercheur américain nommé __Larry Lowe__, concerne les activités entreprises par l’un des douze astronautes qui ont marché sur la Lune : le __Dr Edgar Mitchell__, de la mission Apollo XIV (31 janvier – 9 février 1971). On sait que certains de ces douze Américains ont assez mal vécu leur réadaptation à la vie sur Terre, plusieurs d’entre eux sombrant dans différentes formes de dépression. Pour Edgar Mitchell, c’est tout le contraire qui s’est produit : son expérience lunaire a été le déclencheur d’un extraordinaire élan d’inspiration qui l’a amené à entreprendre, avec quelques autres, __une aventure intellectuelle et spirituelle novatrice__. Son ambition n’est rien moins que de « donner à la conscience humaine les moyens de se comprendre elle-même ». 
-  *C’est à __Gildas Bourdais__ que nous devons le second de ces très gros articles : il concerne les observations qui ont été faites à __Phoenix, Arizona__, dans la soirée du 13 mars 1997. Pour résumer les choses en deux mots, disons que ce soir-là, entre 20 heures et 20 h 30, de très nombreuses personnes, dans la ville et ses environs, observent le passage silencieux de gigantesques ovnis, les uns en forme de boomerang, les autres, de triangles sombres. Ces objets sont d’autant plus repérables, qu’ils portent des lumières. Le second épisode se déroule deux heures plus tard, quand on voit des lumières mobiles, au loin, au-dessus d’une chaîne de montagnes.  Les témoins qui signalent leurs observations de 20h – 20h30 s’entendent systématiquement répondre qu’il s’agissait de fusées éclairantes lâchées par des avions d’attaque A-10 dans le cadre d’un exercice. Et sans doute des A-10 ont-ils effectivement largué de ces fusées éclairantes, mais elles ne correspondent en rien à ce qui a été observé deux heures plus tôt. Il y a quelques raisons de se demander si l’ordre n’a pas été donné aux A-10 de l’Air National Guard, de larguer ces fusées, justement pour fournir une explication aux observations de boomerangs/triangles, en favorisant une confusion totale entre les deux séries d’événements. C’est d’autant plus plausible que le gouverneur de l’Arizona, Fife Symington, a ridiculisé les témoins sincères de 20h – 20h30, au cours d’une conférence de presse, en faisant monter sur scène un comparse déguisé en ET.  Dix ans plus tard, son mandat ayant pris fin, pris sans doute de remords, ou bien dégagé de certaines obligations, il a admis publiquement qu’il avait lui-même vu, vers 20h15, un objet triangulaire, de très grandes dimensions, survoler silencieusement la ville. Et il a présenté ses excuses pour le démenti fabriqué de toutes pièces. 
-  *Cette affaire des « __lumières de Phoenix__ » est d’une grande importance, et compte parmi les meilleures observations d’ovnis. Par ailleurs, elle en dit long sur le traitement officiel et médiatique de la question. 
-  *Un autre gros article expose l’enquête réalisée, en __1977__, par __Jean-Louis Gouzien__, sur une observation faite à Saint-Roch (Indre-et-Loire), à 3h10 du matin, le 28 mai de cette année-là. L’objet a été observé de très près, et a laissé des traces au sol qui avaient une forme géométrique précise, et mesuraient 2,45 m dans leur plus grande dimension.  
-  *Le premier article de ce numéro n’est pas des plus réjouissants, puisqu’il nous parle de la __disparition__ récente de ce qui était, incontestablement, la meilleure publication ufologique au monde : __International Ufo Reporter (IUR)__, éditée à Chicago par le __CUFOS__ (John Allen Hynek Center for UFO Studies). Les causes de cette disparition sont connues : effondrement drastique du nombre des abonnés ; désintérêt grandissant du public pour une étude sérieuse du problème OVNI ; effets négatifs de nombreuses émissions de télévision qui  ont présenté ce problème un peu comme Fife Symington avait commenté les observations de Phoenix, au lendemain du 13 mars 1977. Un autre facteur très défavorable à une publication comme IUR est évidemment Internet, où l’on trouve tout et n’importe quoi, et notamment des séquences vidéo de toute évidence trafiquées. Les gens (et notamment les jeunes) aiment mieux taper sur un clavier d’ordinateur, que lire et conserver des documents imprimés. C’est ainsi, mais il est difficile de croire que la recherche de la vérité puisse y trouver son compte.  
-  *Il faut savoir aussi que l’ensemble des facteurs qui sont venus à bout d’IUR menacent tout autant LDLN. 
-Vous trouverez également dans ce numéro 408 des observations récentes en France, trois cas supplémentaires de « crashes de rien, de type 1 ». Vient ensuite un article qui récapitule  un certain nombre de cas de probable « interaction mentale » entre un témoin et l’ovni qu’il observe, et qui présente deux nouveaux exemples. 
-  *Dans un bref 25ème chapitre de le série « Tout ça ne date pas d’hier », __Michel Rabatel__  nous raconte comment, en 1937, son père et son grand-père ont assisté, en plein jour, au passage à basse altitude d’__un disque très sombre qui portait des lumières bleues__. Vient ensuite la __compilation__, par __Claude Abgrall__ et __Jean-Claude Dufour__, de « quelques nouvelles du Reste de la Planète ». Et dans la toute dernière rubrique, « les Nouvelles », on retiendra surtout la sortie du plus récent __livre de Jean Sider__, __La Grande Mystification__ (tome 1 : mimétisme et polymorphisme du phénomène ovni, un cas récent de « gros nounours » dans l’Oregon, et un crop circle découvert le 11 juin à Chécy, près d’Orléans. 
-  *Notons enfin que les trois photos de la dernière page ne sont pas des photos-surprises : elles sont extraites d’une vidéo  montrant le passage, en plein jour, d’un objet  de couleur blanche, dans le ciel de Nantes, le 8 juin 2012. 
  
-==== Lumières dans la nuit Numéro 409 - Septembre 2012 ====+==== Lumières dans la nuit Numéro 409 septembre 2012 ==== 
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   *Trois photos illustrent la première page de couverture de LDLN 409. La plus grande montre une magnifique montagne éclairée par le soleil couchant. Que vient faire cette montagne (le Grand Ferrand) dans une revue d’ufologie ? Elle se trouve là parce qu’elle a été le lieu, en 1974 ou 1975, d’un incident étrange, qu’on pourrait appeler « un crash de rien auditif » : le témoin, Michel Rabatel, n’a pas vu s’écraser un avion, il a entendu le bruit du moteur, puis une explosion, et ensuite, plus rien. Curieusement, la personne qui l’accompagnait n’a pas perçu le bruit de l’explosion. Toujours est-il  que, bien que le soir fût sur le point de tomber, ils ont escaladé la montagne pour porter secours à d’éventuels survivants. Mais ils n’ont rien trouvé, ils ont appelé en vain, puis il leur a fallu redescendre, ce qui n’était pas simple, car la nuit était tombée.    *Trois photos illustrent la première page de couverture de LDLN 409. La plus grande montre une magnifique montagne éclairée par le soleil couchant. Que vient faire cette montagne (le Grand Ferrand) dans une revue d’ufologie ? Elle se trouve là parce qu’elle a été le lieu, en 1974 ou 1975, d’un incident étrange, qu’on pourrait appeler « un crash de rien auditif » : le témoin, Michel Rabatel, n’a pas vu s’écraser un avion, il a entendu le bruit du moteur, puis une explosion, et ensuite, plus rien. Curieusement, la personne qui l’accompagnait n’a pas perçu le bruit de l’explosion. Toujours est-il  que, bien que le soir fût sur le point de tomber, ils ont escaladé la montagne pour porter secours à d’éventuels survivants. Mais ils n’ont rien trouvé, ils ont appelé en vain, puis il leur a fallu redescendre, ce qui n’était pas simple, car la nuit était tombée. 
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   *Plusieurs apparitions d’ovnis sont ensuite exposées, dont deux cas d’atterrissages qui remontent aux années soixante-dix. Et comme tous les autres, ce numéro se termine par la rubrique « les nouvelles » dans laquelle on verra, entre autres choses, qu’un « crash de rien » peut (peut-être) concerner non pas un aéronef, mais bel et bien … une voiture ! Tout cela reste hypothétique, et n’est envisageable que si on veut bien admettre que les explications les plus triviales ne sont pas toujours les meilleures.   *Plusieurs apparitions d’ovnis sont ensuite exposées, dont deux cas d’atterrissages qui remontent aux années soixante-dix. Et comme tous les autres, ce numéro se termine par la rubrique « les nouvelles » dans laquelle on verra, entre autres choses, qu’un « crash de rien » peut (peut-être) concerner non pas un aéronef, mais bel et bien … une voiture ! Tout cela reste hypothétique, et n’est envisageable que si on veut bien admettre que les explications les plus triviales ne sont pas toujours les meilleures.
  
-==== Lumières dans la nuit Numéro 410 - Décembre 2012 ==== 
-  *La question des ‘’interactions mentales’’ commence à préoccuper les observateurs sérieux du phénomène OVNI. C’est ainsi qu’on trouve tout d’abord, dans ce numéro 410, le témoignage d’Arnaud Charpentier, qui cite un exemple d’ ‘’amnésie’’ chez un témoin, membre de sa famille. (Un autre exemple sera exposé, non pas dans le prochain numéro, mais dans le 412). On comprend de moins en moins comment des personnes qui ont assisté à des apparitions extrêmement étranges peuvent, quelque temps plus tard, n’en conserver aucun souvenir … alors que les autres témoins du même événement s’en souviennent très bien. 
-  *Le second sujet abordé dans ce numéro 410 est plus inquiétant : il s’agit d’une série de disparitions inexpliquées de personnes, dans une région où les apparitions d’ovnis sont particulièrement fréquentes, depuis assez longtemps. Curieusement, l’annonce de ces disparitions dans les médias est restée sans suite. Ce silence pose question 
-  *Jean-Claude Dufour évoque ensuite une étrange affaire (qu’il qualifie d’ « abduction présumée ») dans les Alpes Maritimes, il y a une quinzaine d’années. C’est rare (heureusement !), mais ça existe : il existe des témoins qui, à la suite d’une rencontre rapprochée, changent soudain d’attitude, et refusent d’expliquer ce qui leur est arrivé, comme s’ils éprouvaient une grande peur. On a du mal à imaginer qu’il puisse s’agir là de quelque chose d’anodin. 
-  *Un autre cas de rencontre très rapprochée nous est présenté par Laurent Boulanger. Ce cas est probablement assimilable aux cas d’abductions révélés, aux Etats-Unis, par Budd Hopkins, John Mack, et plusieurs autres chercheurs : il est question, en effet, non seulement d’une rencontre extrêmement rapprochée, mais d’une interruption inexpliquée de grossesse, qui a immédiatement suivi l’incident. 
-  *Denis Porcher apporte un cas de plus au dossier ovnis/nucléaire, avec une seconde observation (voir LDLN 401) d’une lumière nocturne par des militaires assurant, de nuit, la garde de la Base Aérienne de Saint-Dizier, à l’époque des Mirage IV et des Jaguar. Faut-il douter de l’authenticité des faits ? La source de l’information n’est autre que… le site du Geipan ! 
-  *Nous pensions, 58 ans après la grande vague de 1954, n’avoir pratiquement aucune chance de recueillir de nouveaux éléments à son sujet. Erreur ! Alain Raux nous expose la RR3 vécue par sa mère, à Saint-Raphaël (Var), alors qu’il allait avoir un an. La date n’est pas connue avec précision (on sait seulement que c’était en été), mais l’endroit est parfaitement localisé sur le plan cadastral. 
-  *Dans un tout autre registre, Jean Goupil (auteur du livre Les ovnis, une intelligence artificielle) nous explique, entre autres choses, comment, dans un avenir qu’on imagine assez lointain, la science pourrait déboucher sur des technologies permettant de fabriquer des armées de nano-robots qui pourraient produire les ‘’prodiges’’ qu’observent aujourd’hui les témoins d’apparitions d’ovnis. La miniaturisation se poursuivra-t-elle jusqu’à ce stade ? La perspective a quelque chose d’effrayant, mais elle n’a rien d’insensé, et l’existence, d’ores et déjà, de choses comme les drones de très petite taille, rend l’hypothèse envisageable. 
-  *Après un exemple (assez étonnant) de ‘’cas jumeaux’’ la rubrique ‘’observations récentes en France’’ expose dix-neuf cas survenus entre le printemps et le 8 novembre 2012. On retiendra notamment une description précise d’un objet observé à courte distance, en Haute-Loire, le 24 octobre, et un curieux événement qui a déclenché la mise en œuvre des moyens de secours, à Cagnes-sur-Mer, le 8 novembre. 
-  *Vient ensuite la seconde partie de l’étude de Jean Sider sur les « canidés d’un genre très spécial », puis Jean-Michel Marie ajoute une pièce au dossier avec la « bête de Cinglais » (1632) : une affaire qui rappelle beaucoup celle de la bête du Gévaudan. 
-  *Notons que l’offre concernant les anciens numéros (p. 38) est modifiée à partir du 18 janvier 2013: les 96 numéros proposés à un prix très intéressant sont désormais les suivants : 303 à 398, et non plus 302 à 397. 
  
 ==== Lumières dans la nuit Numéro 411 mars 2013 ==== ==== Lumières dans la nuit Numéro 411 mars 2013 ====
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