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-====Lumières dans la nuit Numéro X – Mois 19XX ==== +
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-  *Titre Article – Auteur -  Page X +
  
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   *D’un livre à l’autre – Etude et réflexions sur les ovni – Jean-claude Sidoun - Gilles Smiéna – Pages 35 – 36\\   *D’un livre à l’autre – Etude et réflexions sur les ovni – Jean-claude Sidoun - Gilles Smiéna – Pages 35 – 36\\
  
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 Montoire, Chatou, Col de Vence, Reims, Grenoble, Gilly sur Isère, Paris, Auray, Rueil-Malmaison, Poitiers, Verruyes, Niort, Ajaccio, entre Vouillé et Ayron, lac de Vouglans, Saint-Gély-du-Fesc, Brest, Arras, Nan King, Madrid, Denison (Texas) Montoire, Chatou, Col de Vence, Reims, Grenoble, Gilly sur Isère, Paris, Auray, Rueil-Malmaison, Poitiers, Verruyes, Niort, Ajaccio, entre Vouillé et Ayron, lac de Vouglans, Saint-Gély-du-Fesc, Brest, Arras, Nan King, Madrid, Denison (Texas)
  
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 +Cette gallerie de photos de sommaires est générée automatiquement par un plugin. Toutes les images dans anciens_numeros:sommaires:sommaires300 du gestionnaire de médias apparaissent ici automatiquement</WRAP> 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 404 - septembre 2011 ==== +{{gallery>:anciens_numeros:sommaires:sommaires400?&4&lightbox&norecursive&showname}}
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-  *Sur la couverture de ce numéro 404 (qui a été envoyé aux abonnés le vendredi 9 septembre), vous trouverez une photo de La Valette (dans l’île de Malte), et deux agrandissements partiels qui montrent une anomalie dans le ciel. C’est Alain Bauquet qui a pris ce cliché, le 17 juin 2011. On se souvient (voir nos numéros 399 et 400) qu’il avait réalisé, tout aussi involontairement, un document extraordinaire, à Rome,  le 27 mai 2010. L’anomalie visible sur la photo de La Valette est beaucoup moins remarquable que celle de Rome, et nous n’avons pas, cette fois-ci, les documents annexes (deux photos et une vidéo) qui corroboraient le cliché pris devant la Basilique Saint-Pierre. Toutefois, il est impossible de ne pas faire le rapprochement entre ces deux documents, d’autant plus que l’auteur de ces photos (un homme parfaitement digne de foi) a fait, au cours de sa vie, de nombreuses observations d’ovnis.  Certains trouveront cela suspect, et leur méfiance est compréhensible. Mais s’ils se penchent vraiment sur le dossier ovni dans son ensemble, ils pourront constater que nous avons là une véritable caractéristique du phénomène certaines personnes vivent plus souvent des expériences de type ovni, que le commun des mortels. C’est d’ailleurs un fait regrettable, car il ne peut que retarder une véritable reconnaissance officielle du problème. Mais c’est un fait. +
-  *Jacques Bonabot nous expose un 29ème exemple de « crash de rien, de type 1 ». Cela s’est passé dans l’île Lewis (archipel des Hébrides, au nord-ouest de l’Ecosse), le 26 octobre 1998. +
-  *Marie-Josée Lucio-Campergue nous raconte ensuite l’observation qu’elle a faite, sur la côte sud du Portugal, le 24 aout 2010, en compagnie de trois membres de sa famille tous ont assisté, d’assez près, au passage d’un « cigare » portant quatre « hublots », qui présentait une caractéristique étonnante il paraissait translucide !  +
-  *Elle nous raconte également un incident qui s’est produit à Viseu (dans le Centre du Portugal) quand elle était adolescente : un après-midi, un bambin de 15 à 18 mois a disparu du lit dans lequel il dormait. La maison a été fouillée de fond en comble : il n’était plus là. Et soudain, il est réapparu, debout, à côté de son lit. +
-  *Vient ensuite un exemple de « cas jumeaux », avec deux observations qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau : Ollioules le 5 juin 1999, et Calella, en août de l’année précédente. A propos de ce phénomène des « cas jumeaux », rappelons que l’exemple le plus frappant nous est fourni par les cas bretons de Landévennec et de Plérin (LDLN 397). Il semble difficile d’attribuer au seul hasard des analogies aussi marquées. +
-  *Frédéric Perrodou nous raconte la vision que son frère et lui ont eue, en mai ou juin 2003, d’un objet qui se déplaçait horizontalement, à quelques mètres du sol. Cet objet avait la forme d’un obus muni de quatre fines protubérances coudées, qui dessinaient comme des pattes. +
-  *Une description précise et détaillée d’un objet très structuré, de grande taille, observé à quelques mètres seulement de distance, nous est fournie par Véronique Abbotts, qui n’oubliera jamais les émotions qu’elle a subies, cette nuit-là, en compagnie du père de ses enfants. +
-  *Depuis longtemps, la nécessité se faisait sentir, de dresser un bilan des observations du 18 mars 1972. Jean-Claude Dufour s’en est chargé, et l’on s’aperçoit que cette soirée présente une ressemblance certaine avec celle du 16 août 1965, également dans le quart sud-est de la France. Dans le cas du 18 mars 1972, les observations commencent vers 18 heures, et se succèdent jusqu’à 20 h 30. Il n’est donc pas possible d’invoquer un unique phénomène astronomique pour expliquer l’ensemble des apparitions de la soirée, bien que ce genre d’explication paraisse très probable pour les observations (très cohérentes entre elles) faites vers 19 h 15, dans le Var et les Bouches-du-Rhône. Mais au même moment, c’est un objet stationnaire qui est observé, à quelques mètres de distance seulement, à Pont-de-Chéruy ! Et comment comprendre le manège de trois boules lumineuses observé à Grenoble de 20 h 30 à 21 h 25 La soirée du 18 mars 1972 apparaît ainsi comme une réplique de celle du 16 août 1965, mais elle rappelle aussi les observations complexes du 18 juillet 1967 (pendant une rentrée de satellite !), et bien sûr, elle préfigure les événements du 5 novembre 1990 ou du 31 mars 1993. +
-  *Il est précisément question du 5 novembre 1990 dans l’article suivant : nos amis suisses du GREPI nous exposent l’observation faite ce soir-là à Coppet (quelques kilomètres au nord-est de Genève). Le témoin est le conducteur d’une locomotive qui se trouvait alors à l’arrêt. Il voit tout d’abord un « énorme disque », muni de projecteurs à sa périphérie, qui surplombe un avion de ligne, puis l’objet plonge, traverse le lac au ras des flots, monte en chandelle au-dessus de la rive française du lac, et disparait. Ce témoignage, en lui-même remarquable, ressemble beaucoup à celui de Nathalie Stotzer, relaté dans notre numéro 362. Il semble très probable que ce soit le même objet qui ait été observé, de Coppet (en Suisse) et de Vésenaz (en France). Et il ne saurait s’agir d’une rentrée de satellite ! +
-  *Jean Sider examine ensuite le mystère des « milliers d’oiseaux morts », signalé en début d’année dans divers pays (notamment aux Etats-Unis). Il cite de nombreux exemples préalables, dont le plus ancien remonte au XIXème siècle. Il y a tant à dire sur ce sujet, que la seconde partie de l’article paraîtra dans notre prochain numéro. +
-  *Gildas Bourdais évoque longuement divers aspects de la polémique au sujet des ovnis, telle qu’elle s’est développée ces dernières années, notamment aux Etats-Unis. De brillantes initiatives (comme le livre de Leslie Kean, intitulé simplement UFOs, ou les conférences de presse de novembre 2007, puis de septembre 2010, à Washington) peinent à faire progresser la situation de manière significative, car dans le même temps, on assiste à une triste floraison de livres absolument consternants, dont l’objet n’est que trop évident : décrédibiliser le sujet. On l’a compris depuis longtemps, mais c’est de plus en plus flagrant : au sujet des ovnis, la guerre de la désinformation fait rage. +
-  *Jean-Pierre D’Hondt nous expose ensuite une observation rapprochée, faite en Belgique, à Frasnes-les-Anvaing, une nuit d’été, en 1998 ou 1999. Le témoin a fourni un beau dessin, réalisé sur ordinateur, de la face inférieure de l’objet. +
-  *La rubrique « observations récentes en France » reflète le faible niveau d’activité du phénomène, que nous constatons depuis le début de l’année. On notera principalement la persistance du phénomène des photos-surprises, qui laisse la porte ouverte à diverses interprétations, puisque l’éventualité de vols d’insectes devant l’objectif, ou d’oiseaux à plus grande distance, peut rarement être écartée. (On notera à cet égard l’exception remarquable que constitue la photo du 27 mai 2010 devant Saint-Pierre de Rome : dans ce cas, on ne saurait parler d’oiseau, ni d’insecte !). +
-  *Après cela, M. Jacques Rollet nous apporte une intéressante mise au point, au sujet de l’affaire du « crash vénézuélien », évoquée dans nos numéros 335 et 400. On a peu de chances, hélas, de connaître un jour le fin mot de l’histoire révélée par José Pereira… +
-  *Il ne faut jamais perdre de vue le fait que des témoignages anciens attestent de la présence du phénomène ovni bien avant la seconde guerre mondiale. Un tel témoignage est celui de M. Dumontier, que son fils adoptif a confié à Frédéric Perrodou.  En 1935, M. Dumontier a observé d’assez près les évolutions d’un objet qui, de toute évidence, n’était pas le fruit de la technologie de l’époque. Quant à Maurice Thil, que passionnent les recherches en archives, il nous expose un petit mystère qui remonte à 1907 : des apparitions de hiboux lumineux, en Angleterre ! Elles ont de grandes chances d’être sans rapport avec le problème ovni, mais il est utile de s’intéresser aux divers phénomènes qui, sans relever de l’ufologie, peuvent donner lieu à des confusions. +
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 405 - Décembre 2011 ==== +
-  *Deux photos illustrent la couverture de ce numéro 405. La première est un agrandissement partiel d’une photo prise dans la région de Nice en 1983.  Devant un arrière-plan montagneux, on découvre ce qui ressemble à ‘’un ovni émettant un rayon laser’’. Cette interprétation vaut ce qu’elle vaut, car… le faisceau n’est pas rigoureusement rectiligne ! +
-  *La seconde photo de couverture, prise par Stéphane Brignone, dans le Var, le 22 septembre 2011, montre un hélicoptère et une forme impossible à interpréter. Ce document et six autres, dus au même photographe, renforcent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui ‘’escorteraient’’ des avions et des hélicoptères. Il reste, bien sûr, à savoir si tout ou partie de ces objets ne seraient pas, tout simplement, des insectes passant, de façon intempestive, devant l’objectif. L’hypothèse est séduisante, mais reste à vérifier : au cours des derniers mois, Stéphane Brignone a obtenu au moins neuf photos qui entrent dans cette catégorie. Et d’autres photographes intéressés par l’ufologie obtiennent des clichés comparables. Accepter comme une évidence l’hypothèse des insectes (ou, dans certains cas, de petits oiseaux) revient à admettre que ces petits volatiles apparaissent beaucoup plus sur les clichés numériques que sur nos bonnes vieilles photos argentiques. Il appartient, évidemment, aux spécialistes de la photo (industriels compris), d’examiner le problème. Hélas, on les entend très peu… et le mystère subsiste. C’est d’autant plus regrettable que les photos-surprises divisent le milieu ufologique, avec d’un côté ceux qui n’envisagent qu’une explication rationnelle, et de l’autre, ceux pour qui il est évident que des ‘’ovnis invisibles’’ (à l’œil nu) s’intéressent aux avions. Rares sont ceux qui ne privilégient aucune de ces deux explications… et c’est bien dommage. +
-  *Jacques Bonabot nous expose une quinzaine de cas de catastrophes qui paraissent (à des degrés divers) avoir pu être l’œuvre du phénomène OVNI. Son apport vient consolider ce que LDLN a publié depuis quelques années concernant des cas de destructions apparemment imputables à des ovnis (Hellemmes, Rosoy, Baridiame, Saladare, Sanalakedha, etc…). L’exemple le plus dramatique qu’il signale est celui de Kirimukuyu, au Kenya, en juin 1954, puisqu’il y aurait eu de nombreuses victimes.  +
-  *Si l’on veut vraiment tenter de savoir ce qu’il en est, il faudrait remonter aux sources. Mais qui s’en chargera ? Nous avons vu récemment  (depuis LDLN 399 et 400) combien il était vain d’espérer des compléments sur un incident survenu à Bourges. Quand il s’agit d’un drame qui se serait produit au Kenya, on peut estimer que des éclaircissements nécessaires  sont bien improbables ! Mais ne désespérons pas… des bonnes volontés se manifesteront peut-être +
-  *Maurice Thil a fait un joli travail d’enquête sur l’un des cas (Arpajon, 14 juin 1963) évoqués par Jacques Bonabot, qui ne disposait que d’un article d’un journal belge.  Il en résulte, d’une part, que la catastrophe survenue il y a 48 ans à 30 km de Paris n’est pas imputable à un ovni, et d’autre part, que tout n’a pas été révélé, à l’époque, sur la véritable cause du drame. +
-  *Vient ensuite la seconde (et dernière) partie de l’article concernant les morts mystérieuses de milliers d’oiseaux. Là encore, on aimerait connaître les causes véritables. +
-  *Franck Mairine nous explique l’étonnante observation qu’il a faite, en compagnie de quelques camarades et d’un chauffeur de bus scolaire, lorsqu’il avait 13 ans, un soir de fin mai ou début juin 1981, dans le sud de la Vienne. Ce jour-là, une boule d’aspect métallique a escorté sur trois kilomètres un car de ramassage scolaire, avant de monter haut dans le ciel et de disparaître. +
-  *L’observation que nous expose Gérard Marquès est plus surprenante encore : le soir du 13 novembre 1987, un habitant de Saint-Raphaël (Var) et son épouse ont observé pendant plus de vingt minutes un spectacle incompréhensible : un manège complexe de petites ‘’soucoupes’’  faiblement lumineuses dans une vaste zone du ciel. Le phénomène a eu d’autres témoins, puisque deux jours plus tard, un journal local en donnait une explication (que les témoins jugent très farfelue). +
-  *Grâce à des communications de Mme Bonnin et de MM.  Lang et Sori, le  24ème chapitre de notre série ‘’Tout cela ne date pas d’hier’’ relate quatre apparitions d’ovnis datant respectivement de  1586, 1935, 1941 et 1942. +
-  *Les apparitions d’ovnis ont été si nombreuses, au cours des six derniers mois, que la rubrique ‘’observations récentes en France’’ occupe les pages 21 à 36, et qu’il a fallu reporter six cas au numéro suivant. Les photos-surprises occupent une grande place parmi ces observations récentes, mais on y trouve aussi des témoignages plus ‘’classiques’’ et un cas de bestiole étrange : quelque chose comme un lémurien qui aurait les capacités ‘’sportives’’ d’un kangourou. +
-  *Dans la rubrique ‘’les Nouvelles’’, on remarquera notamment ce qui semble être une belle photo de ‘’soucoupe volante’’ classique. C’est Jean-Christophe Averty en personne qui l’a trouvée… dans un numéro du Monde, qui ne fait aucune allusion à cette anomalie pourtant flagrante. Serait-il le seul à avoir remarqué la chose ? +
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 406 - mars 2012 ==== +
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-  *Dans le numéro 406 de LDLN, Jacques Vallée nous expose tout d’abord un cas de « crash de rien » (de type1) dans le Sud-Ouest de l’Australie, en 1936 ! C’est le 30ème cas répertorié, mais un 31ème est évoqué, p. 37 (Tauranga, en Nouvelle-Zélande, début mai 2003)… et on en trouvera un 32ème dans LDLN 307. Que se passe-t-il ? S’agit-il d’une incroyable  série de coïncidences purement  fortuites ? La notion de « synchronicité », développée par Jacques Vallée, expliquerait-elle une si profonde ressemblance entre ces 32 incidents a priori sans lien entre eux ? Ou bien faut-il considérer que le phénomène OVNI (dont le caractère parfois  mimétique n’est plus à démontrer)… s’amuse à « imiter des accidents d’avions » ? La question reste ouverte, et il ne servirait à rien de choisir une explication : il faut continuer à chercher, en examinant le maximum des données disponibles.  +
-  *Ensuite, Luc Chastan nous présente le récit, par les témoins eux-mêmes, d’une observation rapprochée d’un « triangle », dans le quartier sud de Bourges, le 13 juillet 2007. Ce mot « triangle » est souvent employé pour désigner un simple ensemble de trois lumières, mais ici, il s’agit bel et bien d’un objet matériel, de forme triangulaire. Cette affaire est d’autant plus remarquable qu’elle s’est déroulée à quelques centaines de mètres du lieu de l’extraordinaire apparition qui aurait eu lieu devant une cinquantaine de témoins qui se baignaient dans l’Auron,  pendant la canicule de juin 1949 (voir LDLN 399, p. et 400 p. 22). +
-  *Gérard Marquès nous expose ensuite l’observation, faite par M. Vanni, d’un « cigare à hublots » qui a survolé le département du Var, d’ouest en est, en plein jour, un soir d’août ou septembre  1981 ou 1982. On peut espérer trouver confirmation du fait dans une publication antérieure.  +
-  *Jean-Jacques Petit nous raconte un événement contemporain du précédent, puisqu’il s’est produit un soir d’été en 1981 ou 1982. Il était alors contrôleur (militaire) de la navigation aérienne sur la base de Mont-de-Marsan. Au moment où un Mirage IV se posait,  une personne au sol, ainsi que l’équipage d’un quadriréacteur C-135F, observaient la présence au sol d’un objet émettant des lumières clignotantes, sur la route de Saint-Sever, tout près de la base. La personne qui a alerté la base avait vu la chose se poser. +
-  *Un homme qui était gendarme, en poste à Djibouti à la fin des années soixante-dix, nous raconte ses souvenirs d’un incident dans lequel on peut voir une sorte de « crash de rien », dans le secteur du Grand Bara, dans le Sud du pays. La nature du phénomène observé reste totalement indéterminée, et on ne saurait exclure l’hypothèse d’un phénomène naturel. +
-  *La rubrique « observations récentes en France » comporte l’exposé de 14 observations faites entre le 17 juillet 2011 et le 1er janvier de cette année. Le cas le plus remarquable est incontestablement celui de Lens,  que nous expose Jean-Pierre D’Hondt : il s’agit du survol à très basse altitude, d’un quartier de la ville, par un objet triangulaire décrit avec beaucoup de précision. +
-  *Claude Abgrall et Jean-Claude Dufour nous proposent un aperçu, sous formes de tableaux, d’observations faites de par le monde en novembre et décembre 2011, ainsi qu’au début de janvier. Ils nous  fournissent aussi, grâce à un ufologue tchèque nommé Ales Hruska, une liste de 35 observations faites en République tchèque entre le 20 juillet et la 12 novembre 2011. +
-  *Maurice Thil s’est beaucoup intéressé, l’année dernière, aux archives concernant les cas de gigantesques « roues lumineuses sous la mer » signalés, depuis longtemps (au moins depuis le 30 mars 1925) par les capitaines de nombreux bateaux. On peut douter que ce phénomène (dont la réalité est bien établie) soit lié au problème ovni, mais les témoignages contenus dans diverses publications (notamment le Marine Observer) sont remarquablement précis. Six pages de ce numéro sont consacrées à cette question, et la suite de l’article figurera dans LDLN 407. +
-  *Gildas Bourdais connaît mieux que personne, en France, l’affaire de Roswell (mieux, en tout cas, que les réalisateurs d’une récente émission de télé !).  Il nous donne une analyse détaillée d’un livre américain absolument consternant, qui  présente notamment un témoignage indirect « expliquant » l’affaire de Roswell par une sombre manipulation ourdie par … Joseph Staline(!) avec la participation du « Dr »Mengele et à grand renfort d’ailes volantes Horten et autres « soucoupes nazies ».  Nous avons connu beaucoup de mauvais livres et de thèses stupides sur les ovnis, mais là, tous les records sont battus. Puisse cette chose-là n’être jamais traduite en français ! +
-  *Renaud Joseph, qui s’est spécialisé dans la traduction en français d’ouvrages américains de qualité nous explique qu’il existe un lien entre l’un des célèbres remote viewers (espions extrasensoriels) et le problème OVNI. +
-  *Après une interview de Christel Seval, la rubrique « les Nouvelles »clôt ce numéro, avec  une dizaine d’informations dont quelques unes devraient déclencher des recherches ultérieures… si quelqu’un veut bien s’en charger.  +
  
 ====Lumières dans la nuit Numéro 407 - Mai 2012==== ====Lumières dans la nuit Numéro 407 - Mai 2012====
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   *Après une brève recension, par Claude Abgrall et Jean-Claude Dufour,  d’observations faites de par le monde en février et mars de cette année, la rubrique ‘’les Nouvelles’’  aborde divers sujets. Elle nous révèle notamment une observation de la soirée du 5 novembre 1990, illustrée d’un plan précis qui montre que le témoin a tourné le dos à la trajectoire de la rentrée atmosphérique pendant presque toute son observation. Cela rappelle, entre autres, le cas de Montreuil-Juigné, que nous avons publié il y a treize ans :  là aussi, la direction du regard du témoin était révélatrice  de la validité de l’explication officielle.   *Après une brève recension, par Claude Abgrall et Jean-Claude Dufour,  d’observations faites de par le monde en février et mars de cette année, la rubrique ‘’les Nouvelles’’  aborde divers sujets. Elle nous révèle notamment une observation de la soirée du 5 novembre 1990, illustrée d’un plan précis qui montre que le témoin a tourné le dos à la trajectoire de la rentrée atmosphérique pendant presque toute son observation. Cela rappelle, entre autres, le cas de Montreuil-Juigné, que nous avons publié il y a treize ans :  là aussi, la direction du regard du témoin était révélatrice  de la validité de l’explication officielle.
   *La même rubrique nous explique, p. 37, comment Claude Minghelli a réalisé un couplage de deux appareils photo numériques, dans le but d’apporter des éclaircissements sur le problème (irritant !) des photos-surprises.    *La même rubrique nous explique, p. 37, comment Claude Minghelli a réalisé un couplage de deux appareils photo numériques, dans le but d’apporter des éclaircissements sur le problème (irritant !) des photos-surprises. 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 408 - Juillet 2012==== 
-  *La couverture de LDLN 408 illustre les deux plus gros articles de ce numéro. Le premier, dû à un chercheur américain nommé __Larry Lowe__, concerne les activités entreprises par l’un des douze astronautes qui ont marché sur la Lune : le __Dr Edgar Mitchell__, de la mission Apollo XIV (31 janvier – 9 février 1971). On sait que certains de ces douze Américains ont assez mal vécu leur réadaptation à la vie sur Terre, plusieurs d’entre eux sombrant dans différentes formes de dépression. Pour Edgar Mitchell, c’est tout le contraire qui s’est produit : son expérience lunaire a été le déclencheur d’un extraordinaire élan d’inspiration qui l’a amené à entreprendre, avec quelques autres, __une aventure intellectuelle et spirituelle novatrice__. Son ambition n’est rien moins que de « donner à la conscience humaine les moyens de se comprendre elle-même ». 
-  *C’est à __Gildas Bourdais__ que nous devons le second de ces très gros articles : il concerne les observations qui ont été faites à __Phoenix, Arizona__, dans la soirée du 13 mars 1997. Pour résumer les choses en deux mots, disons que ce soir-là, entre 20 heures et 20 h 30, de très nombreuses personnes, dans la ville et ses environs, observent le passage silencieux de gigantesques ovnis, les uns en forme de boomerang, les autres, de triangles sombres. Ces objets sont d’autant plus repérables, qu’ils portent des lumières. Le second épisode se déroule deux heures plus tard, quand on voit des lumières mobiles, au loin, au-dessus d’une chaîne de montagnes.  Les témoins qui signalent leurs observations de 20h – 20h30 s’entendent systématiquement répondre qu’il s’agissait de fusées éclairantes lâchées par des avions d’attaque A-10 dans le cadre d’un exercice. Et sans doute des A-10 ont-ils effectivement largué de ces fusées éclairantes, mais elles ne correspondent en rien à ce qui a été observé deux heures plus tôt. Il y a quelques raisons de se demander si l’ordre n’a pas été donné aux A-10 de l’Air National Guard, de larguer ces fusées, justement pour fournir une explication aux observations de boomerangs/triangles, en favorisant une confusion totale entre les deux séries d’événements. C’est d’autant plus plausible que le gouverneur de l’Arizona, Fife Symington, a ridiculisé les témoins sincères de 20h – 20h30, au cours d’une conférence de presse, en faisant monter sur scène un comparse déguisé en ET.  Dix ans plus tard, son mandat ayant pris fin, pris sans doute de remords, ou bien dégagé de certaines obligations, il a admis publiquement qu’il avait lui-même vu, vers 20h15, un objet triangulaire, de très grandes dimensions, survoler silencieusement la ville. Et il a présenté ses excuses pour le démenti fabriqué de toutes pièces. 
-  *Cette affaire des « __lumières de Phoenix__ » est d’une grande importance, et compte parmi les meilleures observations d’ovnis. Par ailleurs, elle en dit long sur le traitement officiel et médiatique de la question. 
-  *Un autre gros article expose l’enquête réalisée, en __1977__, par __Jean-Louis Gouzien__, sur une observation faite à Saint-Roch (Indre-et-Loire), à 3h10 du matin, le 28 mai de cette année-là. L’objet a été observé de très près, et a laissé des traces au sol qui avaient une forme géométrique précise, et mesuraient 2,45 m dans leur plus grande dimension.  
-  *Le premier article de ce numéro n’est pas des plus réjouissants, puisqu’il nous parle de la __disparition__ récente de ce qui était, incontestablement, la meilleure publication ufologique au monde : __International Ufo Reporter (IUR)__, éditée à Chicago par le __CUFOS__ (John Allen Hynek Center for UFO Studies). Les causes de cette disparition sont connues : effondrement drastique du nombre des abonnés ; désintérêt grandissant du public pour une étude sérieuse du problème OVNI ; effets négatifs de nombreuses émissions de télévision qui  ont présenté ce problème un peu comme Fife Symington avait commenté les observations de Phoenix, au lendemain du 13 mars 1977. Un autre facteur très défavorable à une publication comme IUR est évidemment Internet, où l’on trouve tout et n’importe quoi, et notamment des séquences vidéo de toute évidence trafiquées. Les gens (et notamment les jeunes) aiment mieux taper sur un clavier d’ordinateur, que lire et conserver des documents imprimés. C’est ainsi, mais il est difficile de croire que la recherche de la vérité puisse y trouver son compte.  
-  *Il faut savoir aussi que l’ensemble des facteurs qui sont venus à bout d’IUR menacent tout autant LDLN. 
-  *Vous trouverez également dans ce numéro 408 des observations récentes en France, trois cas supplémentaires de « crashes de rien, de type 1 ». Vient ensuite un article qui récapitule  un certain nombre de cas de probable « interaction mentale » entre un témoin et l’ovni qu’il observe, et qui présente deux nouveaux exemples. 
-  *Dans un bref 25ème chapitre de le série « Tout ça ne date pas d’hier », __Michel Rabatel__  nous raconte comment, en 1937, son père et son grand-père ont assisté, en plein jour, au passage à basse altitude d’__un disque très sombre qui portait des lumières bleues__. Vient ensuite la __compilation__, par __Claude Abgrall__ et __Jean-Claude Dufour__, de « quelques nouvelles du Reste de la Planète ». Et dans la toute dernière rubrique, « les Nouvelles », on retiendra surtout la sortie du plus récent __livre de Jean Sider__, __La Grande Mystification__ (tome 1 : mimétisme et polymorphisme du phénomène ovni, un cas récent de « gros nounours » dans l’Oregon, et un crop circle découvert le 11 juin à Chécy, près d’Orléans. 
-  *Notons enfin que les trois photos de la dernière page ne sont pas des photos-surprises : elles sont extraites d’une vidéo  montrant le passage, en plein jour, d’un objet  de couleur blanche, dans le ciel de Nantes, le 8 juin 2012. 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 409 - Septembre 2012 ==== 
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-  *Trois photos illustrent la première page de couverture de LDLN 409. La plus grande montre une magnifique montagne éclairée par le soleil couchant. Que vient faire cette montagne (le Grand Ferrand) dans une revue d’ufologie ? Elle se trouve là parce qu’elle a été le lieu, en 1974 ou 1975, d’un incident étrange, qu’on pourrait appeler « un crash de rien auditif » : le témoin, Michel Rabatel, n’a pas vu s’écraser un avion, il a entendu le bruit du moteur, puis une explosion, et ensuite, plus rien. Curieusement, la personne qui l’accompagnait n’a pas perçu le bruit de l’explosion. Toujours est-il  que, bien que le soir fût sur le point de tomber, ils ont escaladé la montagne pour porter secours à d’éventuels survivants. Mais ils n’ont rien trouvé, ils ont appelé en vain, puis il leur a fallu redescendre, ce qui n’était pas simple, car la nuit était tombée.  
-  *Les deux autres photos de la page de couverture sont ce qu’on appelle des photos-surprises. Les exemples continuent à se multiplier, et on ne sait toujours pas à quoi on a affaire. On imagine souvent qu’il puisse s’agir d’«ovnis invisibles à l’œil nu », mais rien n’est certain, et les convictions fortes, dans un sens comme dans l’autre, ne résolvent pas le problème, qui dure depuis une quinzaine d’années... 
-  *Jacques Bonabot nous explique comment, le 14 mars 2005, un étrange objet (qui ne ressemble en rien à l’idée qu’on se fait généralement des ovnis !) s’est manifesté sur un aérodrome belge. Il note une certaine ressemblance avec le cas de Guidonia, en Italie, le 17 juin 1993 (voir LDLN 334, pp. 6 à 11). 
-  *Gilbert Rivière a recueilli un témoignage extrêmement étonnant, qui est à ajouter à la longue liste des RR3 françaises : un homme qui était en 1996 un appelé du contingent lui a expliqué comment, une nuit pluvieuse où il était de garde, il a soudain eu affaire à deux personnages, étrangement calmes, qui lui ont dit « avoir un problème avec leur engin ». Leur présence était parfaitement incongrue en ces lieux, mais il les as suivis sans demander d’explication. Cela montre, une fois de plus, qu’en présence de ce genre de phénomène, les témoins peuvent adopter des comportements inadaptés, comme s’ils se trouvaient sous influence.  Il a constaté que ces deux personnages marchaient sans que leurs pieds touchent le sol ! 
-  *Karim Derradji nous raconte ensuite comment, une nuit, un phénomène lumineux lui a paru répondre, immédiatement, à une pensée qu’il avait eue. Ce cas est intéressant, parce qu’on connaît de plus en plus de cas qui semblent prouver la réalité de certaines interactions mentales entre le phénomène ovni et des témoins. 
-  *C’est ensuite un cas d’OMGD (observations multiples à grande distance) qui fait l’objet d’une mise au point. Il s’agit de l’affaire du 6 juin 1983 : ce soir-là vers 23 heures, six témoins ou groupes de témoins (certainement pas moins de 13 personnes) ont observé le passage sur la côte varoise, d’un objet silencieux, en forme de cigare, avec des « hublots » et de fortes lumières à ses extrémités. Nous reviendrons sur cette affaire, puisque c’est très probablement le même objet  qui a été observé sur au moins trois sites, en Italie. 
-  *La rubrique « observations récentes en France » témoigne d’une activité assez faible de phénomène au cours de la fin du printemps et du début de l’été 2012 : nous sommes loin de ce qui se passait en 2011, année riche en observations. C’est ainsi : la fréquence des apparitions fluctue avec une grande amplitude, et la belle saison 2012 semble (à première vue) avoir été dans l’ensemble assez calme. Nous verrons dans le numéro 410 qu’il n’en est rien. Mais n’anticipons pas… 
-  *Jean Sider nous propose ensuite la première partie d’une étude qu’il a réalisée sur un sujet aux frontières de la cryptozoologie, puis nous trouvons la troisième et dernière partie de l’article sur les « roues lumineuses sous la mer ». Ce sujet présente des points communs très marqués avec l’ufologie : les innombrables témoins  de ces « roues lumineuses » ont pu, dans certains cas, être victimes d’un effet d’optique les amenant à percevoir un ensemble de barres lumineuses parallèles comme une roue en rotation, mais cela n’explique en rien le phénomène, et on ne comprend toujours pas pourquoi les avions et les satellites d’observation ne confirme pas (à une exception près) ce que tant de marins ont vu de près. 
-  *Jean-Claude Dufour nous raconte trois observations faites dans la région de Nice, il y a plus de quarante ans. Elles posaient déjà, à l’époque, les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. En particulier, on ne comprend vraiment pas comment un spectacle qui paraît s’offrir à une foule peut passer inaperçu à presque tous. 
-  *Bernard Varizat et trois personnes de sa famille ont été témoins du passage d’un « boomerang » portant des lumières, à Montélimar, le 5 août 1994. Il a eu l’excellente idée, le lendemain matin, de dessiner ce qu’il avait vu, et de demander aux trois autres témoins d’en faire autant, chacun de son côté. Nous disposons ainsi de quatre dessins représentant le même phénomène. On peut constater à peu près autant de similitudes que de différences, mais les quatre dessins ne laissent planer aucun doute sur la réalité de l’observation. 
-  *Plusieurs apparitions d’ovnis sont ensuite exposées, dont deux cas d’atterrissages qui remontent aux années soixante-dix. Et comme tous les autres, ce numéro se termine par la rubrique « les nouvelles » dans laquelle on verra, entre autres choses, qu’un « crash de rien » peut (peut-être) concerner non pas un aéronef, mais bel et bien … une voiture ! Tout cela reste hypothétique, et n’est envisageable que si on veut bien admettre que les explications les plus triviales ne sont pas toujours les meilleures. 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 410 - Décembre 2012 ==== 
-  *La question des ‘’interactions mentales’’ commence à préoccuper les observateurs sérieux du phénomène OVNI. C’est ainsi qu’on trouve tout d’abord, dans ce numéro 410, le témoignage d’Arnaud Charpentier, qui cite un exemple d’ ‘’amnésie’’ chez un témoin, membre de sa famille. (Un autre exemple sera exposé, non pas dans le prochain numéro, mais dans le 412). On comprend de moins en moins comment des personnes qui ont assisté à des apparitions extrêmement étranges peuvent, quelque temps plus tard, n’en conserver aucun souvenir … alors que les autres témoins du même événement s’en souviennent très bien. 
-  *Le second sujet abordé dans ce numéro 410 est plus inquiétant : il s’agit d’une série de disparitions inexpliquées de personnes, dans une région où les apparitions d’ovnis sont particulièrement fréquentes, depuis assez longtemps. Curieusement, l’annonce de ces disparitions dans les médias est restée sans suite. Ce silence pose question 
-  *Jean-Claude Dufour évoque ensuite une étrange affaire (qu’il qualifie d’ « abduction présumée ») dans les Alpes Maritimes, il y a une quinzaine d’années. C’est rare (heureusement !), mais ça existe : il existe des témoins qui, à la suite d’une rencontre rapprochée, changent soudain d’attitude, et refusent d’expliquer ce qui leur est arrivé, comme s’ils éprouvaient une grande peur. On a du mal à imaginer qu’il puisse s’agir là de quelque chose d’anodin. 
-  *Un autre cas de rencontre très rapprochée nous est présenté par Laurent Boulanger. Ce cas est probablement assimilable aux cas d’abductions révélés, aux Etats-Unis, par Budd Hopkins, John Mack, et plusieurs autres chercheurs : il est question, en effet, non seulement d’une rencontre extrêmement rapprochée, mais d’une interruption inexpliquée de grossesse, qui a immédiatement suivi l’incident. 
-  *Denis Porcher apporte un cas de plus au dossier ovnis/nucléaire, avec une seconde observation (voir LDLN 401) d’une lumière nocturne par des militaires assurant, de nuit, la garde de la Base Aérienne de Saint-Dizier, à l’époque des Mirage IV et des Jaguar. Faut-il douter de l’authenticité des faits ? La source de l’information n’est autre que… le site du Geipan ! 
-  *Nous pensions, 58 ans après la grande vague de 1954, n’avoir pratiquement aucune chance de recueillir de nouveaux éléments à son sujet. Erreur ! Alain Raux nous expose la RR3 vécue par sa mère, à Saint-Raphaël (Var), alors qu’il allait avoir un an. La date n’est pas connue avec précision (on sait seulement que c’était en été), mais l’endroit est parfaitement localisé sur le plan cadastral. 
-  *Dans un tout autre registre, Jean Goupil (auteur du livre Les ovnis, une intelligence artificielle) nous explique, entre autres choses, comment, dans un avenir qu’on imagine assez lointain, la science pourrait déboucher sur des technologies permettant de fabriquer des armées de nano-robots qui pourraient produire les ‘’prodiges’’ qu’observent aujourd’hui les témoins d’apparitions d’ovnis. La miniaturisation se poursuivra-t-elle jusqu’à ce stade ? La perspective a quelque chose d’effrayant, mais elle n’a rien d’insensé, et l’existence, d’ores et déjà, de choses comme les drones de très petite taille, rend l’hypothèse envisageable. 
-  *Après un exemple (assez étonnant) de ‘’cas jumeaux’’ la rubrique ‘’observations récentes en France’’ expose dix-neuf cas survenus entre le printemps et le 8 novembre 2012. On retiendra notamment une description précise d’un objet observé à courte distance, en Haute-Loire, le 24 octobre, et un curieux événement qui a déclenché la mise en œuvre des moyens de secours, à Cagnes-sur-Mer, le 8 novembre. 
-  *Vient ensuite la seconde partie de l’étude de Jean Sider sur les « canidés d’un genre très spécial », puis Jean-Michel Marie ajoute une pièce au dossier avec la « bête de Cinglais » (1632) : une affaire qui rappelle beaucoup celle de la bête du Gévaudan. 
-  *Notons que l’offre concernant les anciens numéros (p. 38) est modifiée à partir du 18 janvier 2013: les 96 numéros proposés à un prix très intéressant sont désormais les suivants : 303 à 398, et non plus 302 à 397. 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 411 mars 2013 ==== 
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-  *Les deux images de couverture de ce numéro 411 se rapportent à des observations récentes en France.  La première est un joli photo-montage de Daniel Olivan, qui illustre une observation faite par deux personnes, à Bodilis (Finistère), le 16 février 2012 à 0 h 30 du matin : un triangle sombre, bordé de lumières rouges, coupe la route juste devant la voiture des témoins, si bas que cet ovni est peut-être responsable du bris d’une branche d’un chêne, qu’on voit  distinctement au premier plan. 
-  *La deuxième image est la photo d’une radiographie qui semble révéler la présence d’un implant !  Le lien entre cette radio et le phénomène ovni est clair : moins de 5 mois après la prise de ce cliché, le sexagénaire concerné et sa fille ont fait une observation assez rapprochée, aussitôt suivie d’anomalies dans leur environnement.  
-  *Ce ne sont là que deux de nos ‘’observations récentes en France’’, mais ce sont les plus frappantes et les mieux documentées. 
-  *Avant cette rubrique, le premier article décrit avec beaucoup de précision l’observation (O combien rapprochée !) d’un ‘’triangle’’, non loin de Béthune, en novembre 2002. Le témoin, qui était en voiture, est passé juste sous l’objet… ce qui lui a permis d’observer de curieux détails sur la surface inférieure. 
-  *Ensuite, après une mise au point (probablement définitive) sur l’affaire des faisceaux coudés de Rebouillon, vous trouverez un témoignage qui vient compléter la documentation sur les étranges événements du 18 mars 1972, puis un long article sur une RR3 marocaine. Plus bref est le récit, par Didier Leroux, de l’incroyable rencontre que son trisaïeul racontait en famille, en affirmant l’avoir réellement vécue. L’affaire devait paraître invraisemblable à l’époque ! 
-  *On retrouve le mystère des implants avec un article de Gildas Bourdais sur le dernier livre du Dr Leir, livre qu’il a traduit en français. 
-  *Grâce à Maurice Thil, nous avons ensuite l’exposé de cinq observations d’ovnis qu’il a trouvées dans la collection du Marine Observer. 
-  *L’article suivant expose quatre affaires révélatrices de caractères qu’on trouve, de manière récurrente, dans les témoignages Ovni.  Dans un cas suisse, l’environnement, généralement très animé à cette heure de la journée, est désert au moment où l’ovni apparaît. A La Neuville-les-Bray (dans la Somme), le témoin vient de s’installer, un soir, pour faire de la photo astronomique ; survient un objet lumineux, qui disparaît derrière des arbres, puis remonte en oblique et disparaît. Le photographe n’a pas eu le réflexe de photographier la chose ! Dans le cas survenu à Nice, le 1er juillet 1996, le témoin se repose sur son lit, quand une soudaine impulsion l’amène à regarder à l’extérieur. Il observe alors le passage d’objets non identifiés… et fort heureusement, il fait des photos. Dans le dernier cas, à Salonique, les témoins sont nombreux, mais la plupart d’entre eux ‘’oublient’’ presque aussitôt ce qu’ils viennent de voir. 
-  *Jean Sider nous entretient ensuite d’un sujet qu’il a beaucoup étudié, et qui constitue une caractéristique majeure du phénomène : le mimétisme et le polymorphisme des ovnis. C’est aussi le sujet de son dernier livre. Dans le même ordre d’idées, Michel Pasdeloup nous cite le témoignage du Prince Youssopof, l’homme qui est venu à bout de Raspoutine : il a tout simplement observé, de nuit et en présence d’autres témoins… un faux train ! 
-  *Dans la rubrique ‘’les Nouvelles’’, on retiendra notamment un récapitulatif de 17 cas de bêtes fauves, signalés en France entre octobre 1995 et janvier 2013 : des panthères noires, des crocodiles, un ours, des pumas, une lionne… qui disparaissent comme par enchantement, et dont on ne retrouve jamais les carcasses. Ironie du sort : au moment où ce numéro de LDLN sortait de l’imprimerie, ce tableau récapitulatif était déjà caduc : il faut maintenant ajouter trois panthères noires de plus, ainsi qu’un puma ! Nous verrons cela dans LDLN 412. 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 412 mai 2013 ==== 
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-  *Le premier article  de ce numéro 412 fait le point sur les événements du 6 juin 1983, un point qui n’est pas définitif, et qu’il faudra réactualiser en fonction des éléments qui feront surface. Rappelons qu’il s’agit d’un cas flagrant d’OMGD (observations multiples à grande distance), et qu’en conséquence, il n’y a pas lieu de s’interroger sur la réalité des témoignages, mais seulement sur la nature de ce que tant de personnes ont observé ce soir-là, quelques minutes avant 23 heures, dans la région PACA et le Nord de l’Italie (ainsi qu’en région parisienne, à Bordeaux et jusqu’en Sardaigne !). Une thèse a été avancée, en 1987, expliquant les observations de cette soirée par « un bolide ». A première vue, l’idée peut paraître raisonnable, si l’on présuppose que tous les témoins ont vu le même objet, et si l’on ne prend en considération que les récits compatibles avec l’explication avancée ! Mais quand on examine les témoignages dans le détail, on s’aperçoit que cette explication ne tient pas : il aurait fallu que le bolide soit capable de changer de cap (ce qui a été signalé aussi bien en Italie que dans la région du Mont Ventoux), et même qu’il soit capable de suivre une trajectoire en forme de siphon d’évier ! Il aurait fallu, également, qu’il fût muni d’une rangée de hublots, et capable de projeter une traînée lumineuse… vers l’avant ! En outre, des témoins, aussi bien en France qu’en Italie, affirment avoir vu « la » chose à très courte distance, et même « rasant les toits ». On l’aura deviné : cette explication ubuesque n’a pas été proposée, mais présentée comme une évidence, à avaler sans discussion. Tout cela nous rappelle bien des souvenirs (18 juillet 1967, 5 novembre 1990, etc). 
-  *Jean-Marie Bigorne nous expose ensuite un cas qui remonte au 20 janvier 1974, et qui mérite de passer à la postérité : il s’agit du passage lent, à très basse altitude, au-dessus d’une centrale électrique, d’un disque lumineux émettant des faisceaux sur tout son pourtour, puis s’élançant dans le ciel « à une vitesse foudroyante ». Les effets physiques intéresseront ceux qui cherchent à comprendre « comment ça marche » : le passage de l’objet a perturbé le fonctionnement de deux postes de télévision encore alimentés en 110 Volts, mais n’a pas affecté les postes alimentés en 220 Volts . En outre, le principal témoin oculaire a noté des effets physiologiques : conjonctivite durant plusieurs jours, et éruption de boutons sur tout le corps. Ce cas est donc à ajouter à notre liste de dommages physiques aux personnes, publiée dans LDLN 339, 344 et 345. 
-  *Après cela, une jeune femme nous expose l’étrange aventure qu’elle a vécue, un soir de juin 2009, sur la côte Sud de la Crète. Nous avons là un exemple de plus d’interaction mentale, puisque le lendemain matin, cette jeune femme a mis un certain à se rappeler ce qui s’était passé au début de la nuit. 
-  *Le sujet suivant concerne une série d’apparitions qui, a priori, n’ont rien à voir avec le phénomène OVNI, mais qui s’intègrent parfaitement parmi les « problèmes connexes » : il s’agit des observations de fauves parfaitement inattendus dans nos contrées, et qui s’évanouissent sans laisser de traces, et surtout, sans qu’on retrouve jamais leurs dépouilles. Nous en avions publié une liste récapitulative dans le numéro précédent, mais voici une avalanche d’exemples supplémentaires, concernant un puma, six (ou sept ?) panthères noires, un tigre, et un gros félin non identifié, suivi de ses deux petits ! Tout cela pourrait paraître farfelu, si les sources d’information n’étaient pas parfaitement identifiées.  C’est à n’y rien comprendre. 
-  *Dans la rubrique ‘’observations récentes en France’’, on trouvera quelque quatorze observations faites entre le 17 août 2012 et le 6 mars de cette année. Deux d’entre elles comportent la prise de photos, qui sont reproduites sur la couverture. Et à tout cela, il faut ajouter les très nombreuses photos obtenues par un chercheur inlassable, Stéphane Brignone, qui passe la plupart de ses nuits à traquer le phénomène. Les résultats qu’il obtient ne sont pas tous convaincants au même degré, mais quelques uns de ses clichés sont stupéfiants (comme on le verra encore  dans LDLN 413). Et il faut savoir que d’autres personnes, sans consacrer autant de temps à l’énigme, obtiennent des résultats comparables. Un exemple est présenté dans ce numéro, avec la photo du « têtard » de Batz-sur-Mer. 
-  *Jean-Pierre D’Hondt nous rappelle divers exemples de ce qu’il appelle « l’effet téléobjectif », effet dont nous avons vu récemment un exemple assez stupéfiant, avec le cas des Estables (LDLN 410) : un témoin observe un objet insolite à une certaine distance, mais il en distingue certains détails, comme s’il avait pratiquement le nez dessus. 
-  *Vient ensuite la seconde partie de l’article de Jean Sider, intitulé « mimétisme et polymorphisme des ovnis ». On est là, probablement, au cœur du problème OVNI, tant sont nombreux les témoignages qui appuient cette interprétation. 
-  *Suite aux articles que nous avons publiés récemment, au sujet des « interactions mentales » entre le phénomène et les témoins, Dominique Moreau nous rappelle un exemple caractéristique : quand un photographe professionnel observe, son appareil en mains, un ovni dans de bonnes conditions, et ne prend pas de photos, on peut supposer que la chose observée exerce sur lui une influence qui inhibe un réflexe. 
-  *Le 27ème chapitre de notre série « Tout ça ne date pas d’hier » concerne deux observations faites en France, pendant l’occupation, par des soldats allemands. L’article est illustré par un tableau qui récapitule 14 autres observations d’ovnis faites pendant la seconde guerre mondiale. 
-  *On trouve ensuite une analyse d’un livre qui concerne la plus remarquable observation d’ovni datant de cette époque : celle de Los Angeles, le 25 février 1942. Le livre est celui de Terrenz Sword, The Battle of Los Angeles. Il s’agit d’un livre extrêmement riche en informations, mais qui laisse diverses questions en suspens. Le 25 février 1942 garde son mystère. 
-  *Ce numéro s’achève sur la rubrique « les Nouvelles » et sur quelques remarquables photos de Stéphane Brignone.  
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 413 - Juillet 2013 ==== 
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-  *Les manifestations ‘’classiques’’ du phénomène OVNI,  celles qui avaient tant attiré l’attention, il y a une quarantaine d’années, continuent à se faire de plus en plus rares : on ne signale quasiment plus d’atterrissages, encore moins de RR3. Le mystère a changé de forme, mais il est toujours présent :  de nos jours, les photos-surprises ont, avec les RR4, pris le relais.  La continuité est assurée, dans la mesure où les anomalies sur photos présentent des aspects conformes aux modèles constatés dans les années 1950 à 1980. 
-  *C’est le cas des quatre photos qui illustrent la couverture de ce numéro 413. L’une d’elles montre un halo solaire, le 2 juin 2013. Sur un premier cliché, on voit le halo seul, mais la seconde, prise quelques instants plus tard, révèle la présence d’un corps sombre, en forme de ballon de rugby, dont la surface reflète la lumière du soleil. Les trois autres photos de cette couverture –et l’une d’elles surtout- rappellent fortement les « soucoupes à coupoles » d’antan.  
-  *Les trois autres pages couleurs montrent d’autres photos-surprises, qui posent autant de problèmes d’interprétation. 
-  *Une jeune femme nous raconte ensuite l’étrange aventure qu’elle a vécue, une nuit, quand elle n’avait que 17 ans. Subitement réveillée, elle est sortie sur un petit balcon, où elle s’est trouvée en présence d’une plaque triangulaire, sombre, immobile et silencieuse. Distance de la jeune fille à cette chose : environ 2,50 ! Toute l’incompréhensible étrangeté du phénomène OVNI est perceptible dans un témoignage comme celui-là. 
-  *Jean-François Péroteau nous confie les informations qu’il a pu recueillir, concernant un cas de dommages aux personnes. Ces informations sont très succinctes, hélas, et il est douteux qu’elles puissent un jour être complétées.  Il est certain que la frilosité de bien des témoins nous prive de données dont il faudrait pouvoir disposer. Un tabou résulte de la méconnaissance de ces phénomènes, et… cette méconnaissance renforce le tabou ! 
-  *Vient ensuite un témoignage concernant une RR3, dont l’existence a été détectée par Alain Poulin. Elle a eu lieu au tout début des années soixante-dix. La qualité du témoin confère une crédibilité excellente à ce témoignage. 
-  *Après cela, un témoin de toute évidence ‘’privilégié’’ nous confie ses souvenirs. L’un d’eux constitue un cas d’implant (le second, en France, dont nous ayons connaissance). Cela s’est passé à Amiens, en 1978, alors que le témoin était étudiant en classe préparatoire. L’implant (indolore)dépassait en partie de l’épiderme de cet homme, qui n’a pas eu trop de difficulté à l’extraire. On devine la suite : il s’en est rapidement débarrassé, et l’implant n’est donc pas disponible pour examen. 
-  *Gérard Tournier d’une part, Gérard Lebat d’autre part, nous exposent deux cas d’ovnis plongeant dans des lacs. Dans l’un de ces cas, l’objet a été vu ressortant quelques centaines de mètres plus loin et s’élançant verticalement vers le ciel. 
-  *Jean Sider complète ensuite le dossier des ‘’fusées-fantômes’’ observées en Suède en 1946, et montre que le phénomène a perduré, jusque dans les années quatre-vingts ! 
-  *De plus en plus, les photos-surprises occupent une place prépondérante  dans notre rubrique ‘’Observations Récentes en France’’.  Ce numéro ne fait pas exception, et une forme se répète curieusement ces derniers temps, une forme qui rappelle les ‘’soucoupes à coupoles’’… et qui rend de moins en moins vraisemblables les explications par des insectes passant près de l’objectif des appareils photo numériques ; un autre caractère intéressant de ces photos-surprises est le pourcentage (impressionnant) de celles qui montrent une anomalie semblant accompagner un avion en vol. 
-  *On trouvera ensuite, dans ce numéro 413, la troisième et dernière partie de l’article de Jean Sider intitulé ‘’mimétisme et polymorphisme des ovnis’’. Claude Lavat nous entretient ensuite d’un concept qui lui est cher, celui de transformation sténopéique, déjà présenté dans son livre publié il y a deux ans. Didier Lang nous décrit (et nous conseille) un système très pratique permettant d’obtenir le spectre de la lumière émise par les ovnis… si ces derniers veulent bien se prêter à l’expérience, ce qui n’est évidemment pas garanti. Quant à Jonathan Giné, il nous explique pourquoi, si on s’intéresse aux anomalies sur photos numérique, le format RAW est préférable au JPEG. 
-  *Le dernier article de ce numéro est le fruit des recherches faites en bibliothèque par Maurice Thil, sur des observations nocturnes de très improbables ‘’dirigeables allemands’’ dans toute la moitié sud des îles britanniques, au début de l’année 1913. Cette question nous ramène vraisemblablement au ‘’mimétisme des ovnis’’, tant il semble improbable que les Allemands se soient livrés à ces dangereuses incursions peu compatibles avec les performances des matériels de l’époque. 
-  *Bonne lecture ! 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 414 - Octobre 2013 ==== 
-  *La couverture de ce numéro 414 est illustrée par deux photos. Il s’agit, dans les deux cas, de __photos-surprises__, ce qui n’a rien d’étonnant, puisque la quasi-totalité des photos d’objets insolites obtenues ces dernières années l’ont été sans que le photographe voit quoi que ce soit d’anormal au moment de la prise de vues. 
-  *L’une d’elles a été prise par __Jonathan Giné__, lors du défilé du 14 juillet 2013 : à proximité immédiate (du moins sur l’image) d’un Super Etendard, on voit distinctement une forme allongée parallèlement à l’axe de l’avion. Cette vue est extraite d’une séquence prise en mode rafale, et aucune anomalie n’apparait sur les vues précédentes et suivantes, ce qui rend improbable la thèse du passage d’un volatile. 
-  *L’autre photo est un agrandissement partiel d’une vue prise par __Stéphane Brignone__, à Montauroux, le 5 mai de cette année. On y voit une forme de boomerang, bien contrastée par rapport au ciel. Il se trouve que Stéphane Brignone a obtenu une anomalie très comparable, le 14 juin, en photographiant un hélicoptère Tigre qui passait à proximité. 
-  *Les lecteurs qui douteraient de la pertinence des __« crashes de rien, de type 1 »__ en trouveront un exemple assez caractéristique, qui date de… mars 1913 ! C’est le trente-sixième cas dont nous ayons eu connaissance. Maurice Thil l’a découvert dans le London Times du 14 mai 1913. Près de Potsdam, deux femmes ont vu un dirigeable en feu s’écraser dans une forêt. Elles ont même précisé que la nacelle, elle-même  en feu, s’était détachée et avait plongé vers le sol. D’importants moyens de secours sont intervenus rapidement, mais n’ont rien trouvé. Aucun dirigeable n’avait disparu. 
-  *__Jacques Vallée__ nous révèle un cas de bruits étranges et de lumières aériennes, qui est presque aussi ancien, puisqu’il date de février 1918. 
-  *Suite à l’article de LDLN 412, dans lequel Jean-Pierre D’Hondt  avait attiré notre attention sur __« l’effet téléobjectif »__ constaté lors de certaines apparitions d’ovnis, __Jacques Bonabot__ nous apprend que ce même effet s’est manifesté à diverses reprises lors des premiers vols spatiaux, dans les années soixante. Il sera intéressant de suivre l’évolution de cette énigme 
-  *C’est un triple témoignage, particulièrement convaincant, qui est ensuite exposé : il y a une trentaine d’années, un soir à la nuit tombante, trois personnes (un couple et leur fille d’une dizaine d’années) ont observé pendant environ un quart d’heure, à une distance de 400 mètres, un objet lumineux immobile à basse altitude, au-dessus d’un bois. Cet objet a changé de forme, de façon soudaine, à deux reprises, et quand il est parti, à grande vitesse, c’est sur une trajectoire qui le rapprochait des témoins… qui ont eu le réflexe de baisser la tête à son passage. 
-  *__Patrick Boutonnet__ nous apporte un exemple supplémentaire au dossier des __« cigares d’Afrique du Nord »__, puis __Claude Lavat__ met nos facultés intellectuelles à rude épreuve, en proposant une variante améliorée de l’__équation de Drake__, par ajout de deux facteurs. 
-  *__Alain Bauquet__ est un témoin privilégié, particulièrement sérieux et crédible. On se souvient de sa toute première observation, quand il était enfant, à Madagascar, et de diverses photos étonnantes qu’il a réalisées depuis quelques années (notamment celle de Rome, qui montre un objet très structuré). Il nous raconte les observations que son entourage proche et lui-même ont faites, dans le Val d’Oise en 1979, puis, dix ans plus tard, à Nice. L’exemple le plus récent n’est autre qu’un cas nocturne intra muros, qui confine à la RR4. 
-  *Ensuite, __Jonathan Giné__ nous raconte la belle enquête qu’il a réalisée avec ses amis du RDO, et aussi avec Maurice Thil, sur un cas de prétendu __crop circle__ en Moselle, cet été. La conclusion est nette : il s’agit d’un faux, probablement réalisé dans un but assez malhonnête. 
-  *Les photos-surprises occupent une place prépondérante dans la rubrique « observations récentes en France », et certaines d’entre elles suggèrent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui accompagneraient des avions en vol. Aucune preuve digne de ce nom ne peut être avancée ; ce sont simplement des indices qui s’accumulent au fil des ans. Le degré d’implication des personnes qui s’intéressent à cette question est variable, et comme toujours, les plus incrédules ne sont pas les plus présents sur le terrain. 
-  *Ces observations récentes en France montrent, une fois de plus, que les départements du Var et des Alpes-Maritimes sont ceux dont nous recevons le plus de rapports d’observations, alors que d’autres régions semblent être de véritables déserts ufologiques. Voilà encore une tendance apparente, qui semble très affirmée. Relèverait-elle, en fin de compte, de l’illusion ? 
-  *__Jean Sider__ nous fait part de ce qu’il a pu apprendre sur un sujet qui ne relève pas directement de l’ufologie, mais qu’on peut considérer comme « un phénomène connexe » : l’énigme (assez terrifiante) des __combustions humaines spontanées__. La suite de son travail paraîtra dans LDLN 415. 
-  *Dans la rubrique « les Nouvelles », il est question, entre autres choses, de deux très bons livres sur les ovnis en Corse (dus à Christophe Canioni), d’une Ford Mustang gravement cabossée par un ovni, d’observations de panthères noires en Espagne, et d’une étrange excavation cylindrique apparue cet été sur la pelouse d’une propriété entourée de hauts murs, en Haute-Vienne." 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 415 décembre 2013 ==== 
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-  *La couverture du numéro 415 présente une photo-surprise assez différente de celles qui nous sont parvenues à un rythme soutenu, depuis une quinzaine d’années : au beau milieu d’un panorama de Lisbonne, pris le 16 août 2013 vers 8 h 30 du matin, apparaît une énorme masse blanche, en forme d’œuf, entourée  -sauf à son sommet-  d’un halo au contour extérieur assez précis. L’arrière-plan est constitué par le paysage urbain, et non par le ciel, ce qui accroît le contraste. 
-  *Sur la deuxième page, au verso de la couverture, deux images réalisées sur ordinateur montrent l’apparence d’un objet observé en position stationnaire (plus précisément en deux positions successives),  quelques mètres au-dessus du sol, à Châtenois, dans les Vosges, le 8 janvier 1993 en début de nuit: pendant plusieurs minutes, trois automobilistes ont observé, dans d’assez bonnes conditions, cet objet qui projetait un faisceau de lumière verte, lequel éclairait une zone de forme carrée sous lui. Deux des témoins (ceux qui ne conduisaient pas) ont observé des détails précis sur cet objet. La conductrice de la voiture a pris peur. 
-  *Le cas d’Agay remonte également à 1993. Un soir de septembre, deux étudiants en vacances ont assisté au passage de quatre objets triangulaires de grande taille. Chacun d’eux portait des lumières, régulièrement espacées, sur leurs côtés avant. L’incident est surtout intéressant par les circonstances qui l’ont accompagné : un silence subit des bruits de la nature, et, pour le témoin qui nous a rapporté ce cas, l’impression de « parler comme dans du coton » et de ne pas percevoir, ou très faiblement, ce que disait son ami. Ce dernier a manifesté aussitôt un « blocage psychologique » a propos de cet incident. 
-  *Viennent ensuite deux témoignages précis et révélateurs sur les événements du 5 novembre 1990. A Tarnos, M. Casabonne et son beau-frère ont pu observer de près un gros objet très structuré, aux formes précises, portant des « hublots » lumineux. Cet objet est resté immobile pendant une minute ou une minute et demie, au-dessus  d’un quartier de la ville, à très basse altitude, avant de s’éloigner.  Quand M. Casabonne a témoigné auprès du service « compétent », on lui a répondu  (évidemment) qu’il avait vu la rentrée du satellite soviétique.  A Eygalières, dans les Bouches-du-Rhône, Mme Thébault, qui rentrait de son travail, a cru voir un deltaplane sur le point de se poser sur sa pelouse. Les arbustes entourant son terrain ne lui ont pas permis d’observer cet objet très longtemps, mais, alerté par les lumières, son compagnon, qui se trouvait à leur domicile, est sorti sur la terrasse et a juste eu le temps de voir la chose reprendre de l’altitude (en silence) et passer au-dessus de la maison. Si c’était l’engin soviétique, que Mme Thébault a vu, elle aurait sous-estimé la distance d’observation d’un facteur 42 500 ! Qui peut croire cela ? 
-  *Jean-Marie Bigorne nous raconte ensuite l’incident vécu, dans l’Aisne, par un jeune homme qui n’a pas hésité, un soir, à se précipiter en direction d’un phénomène lumineux extérieur à sa chambre. La rencontre a rapidement pris fin… 
-  *Le nom de Jabreilles-les-Bordes (une commune de Haute-Vienne) rappellera des souvenirs à ceux qui ont connu la grande vague du milieu des années soixante-dix. Nous avons retrouvé le témoin, qui confirme pleinement son témoignage de l’époque, et nous a livré quelques précisions. Les cas de ce genre, on le sait, ont pratiquement disparu de nos jours (objet très structuré,  observé de près, au sol, et décrit avec beaucoup de précision, de même que les empreintes laissées sur le terrain). Le problème, lui, n’a pas disparu pour autant ! 
-  *Le phénomène OVNI a tellement évolué dans ses formes, au cours des quarante dernières années, que la rubrique « observations récentes en France » comporte surtout des apparitions nocturnes de « boules » lumineuses. On notera quand même quelques exceptions, comme la vision, le 27 ou le 28 juin 2013, d’un « triangle »sombre, aux coins arrondis, portant des lumières à ses extrémités. Le témoignage est remarquablement précis et fiable. De plus, deux autres habitants de la localité ont signalé avoir vu (et, pour l’un d’eux, filmé) un objet triangulaire, à la même heure, dans la soirée du 28. Or, la localité en question est… Lyon !  Il est difficile de comprendre comment un objet aussi insolite, survolant une grande agglomération, a pu être remarqué par trois personnes seulement. On reconnaît là, une fois de plus, ce qui pourrait bien être une caractéristique du phénomène :  il est là, mais pas pour tout le monde. Les interprétations classiques (et sans doute un peu rapides) du phénomène OVNI (HET ou autres) s’opposent à l’acceptation de cette situation difficile à concevoir, mais peu à peu, il devient évident que l’aspect « expérience intime » est prédominant par rapport à l’aspect « véhicule, objet matériel ». En d’autres termes, le phénomène  ne se résume pas aux idées simples qu’on a pu s’en faire. 
-  *Gildas Bourdais a traduit en français le récent livre de Leslie Kean (la dernière compagne de Budd Hopkins), qui sera disponible dans quelques jours. Il a profité de l’occasion pour nous raconter deux remarquables exemples d’interceptions d’ovnis par des avions de chasse : ce sont le cas péruvien du 11 avril 1980, dans la région d’Arequipa et celui de Téhéran, le 18 septembre 1976. 
-  *Claude Lavat nous expose ensuite une conséquence de sa théorie de la « transformation sténopéique » :  c’est l’ «effet Doppler symétrique ».  Quant à Jean Sider, il poursuit son exposé (qui s’achèvera dans le numéro 416) sur les combustions humaines spontanées et les diverses hypothèses émises à leur sujet. 
-  *Dans la rubrique « les Nouvelles » on trouve notamment des indications sur l’étonnante aventure vécue, du 10 au 16 novembre 2013, par un couple de personnes âgées, entre le Var et l’Italie. Les circonstances de l’incident ont permis de supposer qu’ils avaient été victimes d’un cas de « téléportation », et des mesures semblent avoir été prises pour qu’il soit difficile, ou impossible, de clarifier ce sujet. Bien entendu, une explication triviale a été présentée comme l’explication unique et définitive de cette affaire. 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 416 mars 2014==== 
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-  *Pour une bonne part, ce numéro 416 est axé sur le fait qu’on ne connaît toujours pas de « cas parfait » en ufologie. Ce n’est pourtant pas la quantité qui fait défaut :  il est facile, de nos jours, de constituer des catalogues d’observations comportant un nombre d’entrées à 5 (voire 6) chiffres. Pourquoi donc ces milliers et ces milliers de témoignages n’ont-ils pas entraîné une reconnaissance générale et définitive du phénomène ? 
-  *Une première réponse vient immédiatement à l’esprit :  aucun témoignage ne satisfait la totalité des critères nécessaires pour constituer  une preuve.  Mais est-ce bien exact ?  Pas tout-à-fait, si l’on songe, par exemple,  au cas de Bastia, le 3 août 1981 (affaire exposée dans nos numéros  387, 388 et 389) : une apparition d’ovni constatée par des témoins nombreux, ayant entraîné des effets physiques importants, corroborée par un rapport de gendarmerie et par un article dans la presse locale… peut fort bien tomber dans l’oubli.  Ainsi donc, quand un cas d’ovni présente toutes les caractéristiques désirables, c’est au niveau de la transmission de l’information qu’intervient un blocage que rien ne justifie. 
-  *Ce constat est illustré tout d’abord par une observation faite sous Louis XV et publiée, en 1738, par l’académie royale des Sciences : Maurice Thil nous explique qu’elle mériterait d’être largement connue, or elle ne l’est pas… et a peu de chances de le devenir. 
-  *Il est ensuite question d’un témoignage absolument extraordinaire : un soir de juin 1990 (ou peut-être 1991), un grand nombre d’élèves d’un lycée professionnel, à Poligny (Jura) auraient observé le passage d’un objet très structuré et de dimensions gigantesques. Pour le moment, on ne connaît, malheureusement qu’un seul et unique témoin. Comment comprendre que tous les autres (au moins une centaine, apparemment) ne se soient jamais fait connaître ? Aussi longtemps qu’on ne réussira pas à retrouver quelques-uns d’entre eux, un doute  continuera nécessairement à planer sur cette affaire. L’enquête se poursuit, et elle promet d’être longue et délicate… 
-  *L’affaire de l’ovni évoluant à proximité du porte-avions Foch, tôt après le lever du jour, le 7 janvier 1974, ne constitue pas non plus un « cas parfait » : deux témoins seulement se sont exprimés à l’époque, et l’un d’eux semble aujourd’hui introuvable. 
-  *La rubrique « observations récentes en France » apporte de nouvelles évidences à l’appui de cette idée : il manque toujours quelque chose pour qu’une manifestation du phénomène ait valeur de preuve. Il est facile de distinguer deux causes principales de cette situation : le nombre, généralement très réduit, de témoins, et le nombre plus réduit encore d’ufologues disposés à enquêter sur le terrain. L’ufologie en France souffre, depuis 35 ans, d’une véritable crise des vocations. 
-  *Gildas Bourdais nous expose ensuite le dossier (particulièrement complexe) des « documents Majestic 12 », qu’il a longuement exploré et qu’il connaît sur le bout des doigts. Il y a incontestablement de la manipulation dans l’air, et il est bien difficile d’imaginer  la trame globale de l’affaire. Qui cherche à intoxiquer qui, et surtout, dans quel but ? 
-  *Jean-Marie Bigorne nous raconte ensuite une observation faite par  quatre agents EDF, à la limite ouest de Brest, à l’aube du 6 décembre 1973, c’est-à-dire un mois avant l’affaire dite « du Foch ». Les croquis réalisés par trois des quatre témoins donnent du poids à cette affaire, même si un seul d’entre eux s’est fait connaître, à une date récente. 
-  *Laurent Boulanger, Président de l’association Phénomènes,  nous relate ensuite trois cas récents (deux en 2013, le dernier le 15 janvier 2014) de manifestations lumineuses observées en pleine nuit dans des chambres aux volets clos. (Nous avons déjà évoqué quelques cas de ce genre, tel celui de Nice, en mars 1989, qu’Alain Bauquet a relaté dans notre numéro 414.) 
-  *Dans la rubrique « les Nouvelles »,  on notera particulièrement le rappel de deux exemples supplémentaires du syndrome « comme dans du coton », évoqué dans le numéro précédent à propos du cas d’Agay : pendant une observation d’ovni, tous les bruits sont totalement atténués, au point que les témoins entendent à peine le son de leur propre voix. Nous avons eu connaissance, très récemment, d’un quatrième exemple (qui sera exposé prochainement), et il est certain qu’il en existe d’autres. Il serait intéressant de constituer un catalogue, aussi complet que possible, des cas de cette sorte : ils permettront peut-être un jour de mieux comprendre à quoi nous avons affaire. Un appel est donc lancé aux lecteurs qui auraient connaissance d’autres exemples. 
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-==== Lumières dans la nuit Numéro 417 mai 2014 ==== 
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-  *Le numéro 417,  paru en mai, est en grande partie consacré à des cas à haute étrangeté.  II comporte  tout d’abord l’exposé de sept cas de « triangles », complété par une liste chronologique de 28 autres cas, avec les références permettant de remonter aux sources. Depuis plus de vingt ans, le mot « triangle » est utilisé pour décrire des objets d’aspects très différents, comportant ou non une « masse » portant trois lumières, masse qui peut être épaisse ou très fine, noire ou d’aspect métallique, avec parfois divers détails qui varient grandement, d’une observation à une autre. Tout cela ne suggère certainement pas des objets fabriqués en série, comme le sont nos voitures ou nos avions : il faut vraiment chercher pour trouver deux descriptions semblables. 
-  *Jean-Claude Dufour nous fait part de ses souvenirs concernant une suite d’observations d’ovnis et de phénomènes de hantise qui se sont déroulés il y a quarante-trois ans, dans la région de Draguignan. Qu’on le veuille ou non, il existe en effet quantité de témoignages qui semblent montrer qu’ovnis et hantises ne sont pas toujours des phénomènes entièrement disjoints. 
-  *On poursuit dans le domaine des hautes étrangetés avec le témoignage d’un homme, un juriste en retraite, qui a eu à deux reprises affaire à des MIB, en 1990. Les deux fois, cela s’est passé en plein Paris. L’absurdité du comportement de ces personnages est conforme au schéma qui se dégage de la masse des témoignages de ce genre.  
-  *Georges Meunier nous raconte ensuite les étranges observations que sa compagne et lui ont faites dans la Somme, puis c’est Alain Poulin qui nous livre son rapport d’enquête sur… une autre affaire de MIB.  On reste dans le même registre avec le témoignage d’un homme qui dirige une entreprise liée à l’industrie automobile. Circulant un matin sur l’autoroute de Clermont-Ferrand à Lyon, il a vu un étrange objet volant assez proche de la chaussée. Bien qu’il eût un rendez-vous professionnel qui ne lui permettait guère de s’attarder, il s’est arrêté pour mieux observer la chose, et c’est alors que sont intervenus deux hommes qui manifestement se sont intéressés à lui.  Le plus souvent, les MIB ne se manifestent qu’au bout d’un certain temps, mais dans ce cas, ils sont apparus alors que le témoin était en train de regarder l’objet ! 
-  *Vient ensuite le témoignage, tout aussi étonnant, d’un homme qui a vu un ovni… alors qu’il circulait, à Paris, sur les boulevards extérieurs. Il a vu la chose changer d’aspect, et a constaté, pendant l’observation, l’atténuation nette des bruits ambiants. Nous avons vu, dans nos numéros récents, des exemples comparables de cet « effet coton », comme on l’appelle maintenant. 
-  *Après l’habituelle rubrique « observations récentes en France », et un trop bref commentaire du récent livre de Jean-Marie Bigorne, « Chasseur d’ovnis », la rubrique «les  Nouvelles »  évoque divers aspects du mystère et des recherches à son sujet. 
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